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Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 42 | 4 | 588 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Mme H..., 32 ans, en vacances avec ses enfants au mois de juin à la campagne, appelle SOS Médecins un soir à 0h30 pour une gène respiratoire qui l'a réveillée brutalement. A l'arrivée de l’urgentiste, Mme H... est assise dans son lit, polypnéique à 18/min. Elle peut raconter qu'elle tousse depuis 48 h, avec des sifflements, et qu'elle se trouve plus essoufflée depuis 24h, ce qui l'a empêchée par exemple de faire du vélo avec sa famille dans l'après midi. Elle décrit également des éternuements et une rhinorrhée très aqueuse depuis une semaine, qu'elle rapporte à une allergie diagnostiquée depuis l'âge de 10 ans. Vous pensez à une exacerbation d'asthme. Quels éléments de l' interrogatoire peuvent renforcer votre hypothèse diagnostique ? (une ou plusieurs questions) a. Majoration de la dyspnée vers 5 ou 6 heures du matin b. Majoration des sifflements à l'effort c. Association à une douleur thoracique transfixiante d. Présence de crachats blancs très collants e. Présence d'oedème des membres inférieurs dans les jours précédents. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. les omi évoquent bien sur une décompensation cardiaque. sensation d'oppression thoracique fréquente, mais pas de douleur transfixiante, qui doit faire évoquer une dissection aortique. Les crachats blancs et collants sont assez évocateurs d'asthme. ILs sont liées à la présence d'éosinophiles dégranulés et de cristaux de charcot Leyden, qui contribuent à la modificaiton de sa viscosité. Quels éléments de votre examen clinique seraient à considérer comme un élément de gravité ? (une ou plusieurs réponses) a. Somnolence b. Débit expiratoire de pointe à 550 l/min c. Fréquence cardique à 130/min d. Reflux hépatojugulaire e. Absence de sifflements et de murmure vésiculaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Somnolence : signe l'hypercapnie un DEP à 550 L/min est normal chez un adulte. L'examen retrouve des sibilants diffus. Le DEP est à 250L/min, la fréquence cardiaque à 120/min, la SpO2 est à 92% en air ambiant. Elle est consciente et n'a pas de difficulté à finir ses phrases. L'examen cardiaque est normal. Vous considérez qu'il s'agit très probablement d'une première exacerbation d'asthme. Qu'expliquez-vous alors à la patiente ? (une ou plusieurs réponses) a. Il faut la transférer aux urgences de l'hôpital le plus proche b. Elle va se rendre à l'hôpital en voiture, sous réserve que ce soit son mari qui conduise c. Faute de traitement inhalé disponible dans votre sacoche, vous pouvez lui faire une injection de terbutaline (bronchodilatateur de courte durée d'action) avant le transfert d. Il faut prendre avant d'aller à l'hôpital un comprimé d'un anti histaminique. e. Son exacerbation ne présente aucun critère de gravité. A: Choix correct, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. la patiente a un critère de gravité au moins. elle doit être transférée en milieu médicalisé, avec transport médicalisé, au plus vite. ne pas oublier qu'il est minuit, qu'elle n'a pas de beta 2 mimétiques avec elle puisque c'est une première exacerbation. Impensable de la traiter à la maison. aucun interet des anti histaminiques dans une exacerbation d'asthme, meme allergique. Il faut des CORTICOIDES ORAUX les beta 2 mimétiques se donnent au mieux par voie inhalée (chambre d'inhalation ou nébulisation) mais aussi si besoin par voie sous cutanée. Vous appelez donc le SAMU pour la transférer aux urgences. Quel traitement sera instauré par le SAMU ? (une ou plusieurs réponses) a. Nébulisations répétées de salbutamol (beta2 mimétique de courte durée d'action) b. Corticoïdes oraux (prednisone) par voie orale c. Oxygène d. Nébulisations de budésonide (corticoïde) toutes les 3 heures e. Anxiolytiques par voie orale en cas d'agitation dans le camion | A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. oxygene+ cortioides oraux + beta2 mimétiques nébulisés répétés sont les 3 piliers du trt de l'exacerbation. Pas de place pour les nébulisations de corticoides car les doses administrées sont trop faible. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 42 | 5 | 589 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. | Mme H..., 32 ans, en vacances avec ses enfants au mois de juin à la campagne, appelle SOS Médecins un soir à 0h30 pour une gène respiratoire qui l'a réveillée brutalement. A l'arrivée de l’urgentiste, Mme H... est assise dans son lit, polypnéique à 18/min. Elle peut raconter qu'elle tousse depuis 48 h, avec des sifflements, et qu'elle se trouve plus essoufflée depuis 24h, ce qui l'a empêchée par exemple de faire du vélo avec sa famille dans l'après midi. Elle décrit également des éternuements et une rhinorrhée très aqueuse depuis une semaine, qu'elle rapporte à une allergie diagnostiquée depuis l'âge de 10 ans. Vous pensez à une exacerbation d'asthme. Quels éléments de l' interrogatoire peuvent renforcer votre hypothèse diagnostique ? (une ou plusieurs questions) a. Majoration de la dyspnée vers 5 ou 6 heures du matin b. Majoration des sifflements à l'effort c. Association à une douleur thoracique transfixiante d. Présence de crachats blancs très collants e. Présence d'oedème des membres inférieurs dans les jours précédents. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. les omi évoquent bien sur une décompensation cardiaque. sensation d'oppression thoracique fréquente, mais pas de douleur transfixiante, qui doit faire évoquer une dissection aortique. Les crachats blancs et collants sont assez évocateurs d'asthme. ILs sont liées à la présence d'éosinophiles dégranulés et de cristaux de charcot Leyden, qui contribuent à la modificaiton de sa viscosité. Quels éléments de votre examen clinique seraient à considérer comme un élément de gravité ? (une ou plusieurs réponses) a. Somnolence b. Débit expiratoire de pointe à 550 l/min c. Fréquence cardique à 130/min d. Reflux hépatojugulaire e. Absence de sifflements et de murmure vésiculaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Somnolence : signe l'hypercapnie un DEP à 550 L/min est normal chez un adulte. L'examen retrouve des sibilants diffus. Le DEP est à 250L/min, la fréquence cardiaque à 120/min, la SpO2 est à 92% en air ambiant. Elle est consciente et n'a pas de difficulté à finir ses phrases. L'examen cardiaque est normal. Vous considérez qu'il s'agit très probablement d'une première exacerbation d'asthme. Qu'expliquez-vous alors à la patiente ? (une ou plusieurs réponses) a. Il faut la transférer aux urgences de l'hôpital le plus proche b. Elle va se rendre à l'hôpital en voiture, sous réserve que ce soit son mari qui conduise c. Faute de traitement inhalé disponible dans votre sacoche, vous pouvez lui faire une injection de terbutaline (bronchodilatateur de courte durée d'action) avant le transfert d. Il faut prendre avant d'aller à l'hôpital un comprimé d'un anti histaminique. e. Son exacerbation ne présente aucun critère de gravité. A: Choix correct, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. la patiente a un critère de gravité au moins. elle doit être transférée en milieu médicalisé, avec transport médicalisé, au plus vite. ne pas oublier qu'il est minuit, qu'elle n'a pas de beta 2 mimétiques avec elle puisque c'est une première exacerbation. Impensable de la traiter à la maison. aucun interet des anti histaminiques dans une exacerbation d'asthme, meme allergique. Il faut des CORTICOIDES ORAUX les beta 2 mimétiques se donnent au mieux par voie inhalée (chambre d'inhalation ou nébulisation) mais aussi si besoin par voie sous cutanée. Vous appelez donc le SAMU pour la transférer aux urgences. Quel traitement sera instauré par le SAMU ? (une ou plusieurs réponses) a. Nébulisations répétées de salbutamol (beta2 mimétique de courte durée d'action) b. Corticoïdes oraux (prednisone) par voie orale c. Oxygène d. Nébulisations de budésonide (corticoïde) toutes les 3 heures e. Anxiolytiques par voie orale en cas d'agitation dans le camion A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. oxygene+ cortioides oraux + beta2 mimétiques nébulisés répétés sont les 3 piliers du trt de l'exacerbation. Pas de place pour les nébulisations de corticoides car les doses administrées sont trop faible. Mme H. quittera les urgences après 16h, très améliorée, avec une ordonnance de corticoïdes oraux pendant 7 jours et de corticoïdes inhalés à faible dose. On lui a conseillé de prendre un rendez-vous avec un pneumologue 1 mois après cet épisode. Vous la voyez donc pour la première fois en juin. Vous l'interrogez sur le contrôle de sa maladie depuis sa sortie. Que demandez -vous ? (une ou plusieurs réponses) a. Vous arrive-t-il de vous réveiller la nuit pour aller aux toilettes ? b. Est-ce que vous avez des douleurs thoraciques à l'effort ? c. Etes-vous essoufflée lorsque vous êtes allongée à plat ? d. Avez-vous entendu des sifflements en faisant des efforts ? e. Avez vous utilisé votre inhalateur de secours, prescrits par les urgences, depuis la sortie ?. | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 42 | 6 | 590 | null | Mme H..., 32 ans, en vacances avec ses enfants au mois de juin à la campagne, appelle SOS Médecins un soir à 0h30 pour une gène respiratoire qui l'a réveillée brutalement. A l'arrivée de l’urgentiste, Mme H... est assise dans son lit, polypnéique à 18/min. Elle peut raconter qu'elle tousse depuis 48 h, avec des sifflements, et qu'elle se trouve plus essoufflée depuis 24h, ce qui l'a empêchée par exemple de faire du vélo avec sa famille dans l'après midi. Elle décrit également des éternuements et une rhinorrhée très aqueuse depuis une semaine, qu'elle rapporte à une allergie diagnostiquée depuis l'âge de 10 ans. Vous pensez à une exacerbation d'asthme. Quels éléments de l' interrogatoire peuvent renforcer votre hypothèse diagnostique ? (une ou plusieurs questions) a. Majoration de la dyspnée vers 5 ou 6 heures du matin b. Majoration des sifflements à l'effort c. Association à une douleur thoracique transfixiante d. Présence de crachats blancs très collants e. Présence d'oedème des membres inférieurs dans les jours précédents. A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. les omi évoquent bien sur une décompensation cardiaque. sensation d'oppression thoracique fréquente, mais pas de douleur transfixiante, qui doit faire évoquer une dissection aortique. Les crachats blancs et collants sont assez évocateurs d'asthme. ILs sont liées à la présence d'éosinophiles dégranulés et de cristaux de charcot Leyden, qui contribuent à la modificaiton de sa viscosité. Quels éléments de votre examen clinique seraient à considérer comme un élément de gravité ? (une ou plusieurs réponses) a. Somnolence b. Débit expiratoire de pointe à 550 l/min c. Fréquence cardique à 130/min d. Reflux hépatojugulaire e. Absence de sifflements et de murmure vésiculaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Somnolence : signe l'hypercapnie un DEP à 550 L/min est normal chez un adulte. L'examen retrouve des sibilants diffus. Le DEP est à 250L/min, la fréquence cardiaque à 120/min, la SpO2 est à 92% en air ambiant. Elle est consciente et n'a pas de difficulté à finir ses phrases. L'examen cardiaque est normal. Vous considérez qu'il s'agit très probablement d'une première exacerbation d'asthme. Qu'expliquez-vous alors à la patiente ? (une ou plusieurs réponses) a. Il faut la transférer aux urgences de l'hôpital le plus proche b. Elle va se rendre à l'hôpital en voiture, sous réserve que ce soit son mari qui conduise c. Faute de traitement inhalé disponible dans votre sacoche, vous pouvez lui faire une injection de terbutaline (bronchodilatateur de courte durée d'action) avant le transfert d. Il faut prendre avant d'aller à l'hôpital un comprimé d'un anti histaminique. e. Son exacerbation ne présente aucun critère de gravité. A: Choix correct, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. la patiente a un critère de gravité au moins. elle doit être transférée en milieu médicalisé, avec transport médicalisé, au plus vite. ne pas oublier qu'il est minuit, qu'elle n'a pas de beta 2 mimétiques avec elle puisque c'est une première exacerbation. Impensable de la traiter à la maison. aucun interet des anti histaminiques dans une exacerbation d'asthme, meme allergique. Il faut des CORTICOIDES ORAUX les beta 2 mimétiques se donnent au mieux par voie inhalée (chambre d'inhalation ou nébulisation) mais aussi si besoin par voie sous cutanée. Vous appelez donc le SAMU pour la transférer aux urgences. Quel traitement sera instauré par le SAMU ? (une ou plusieurs réponses) a. Nébulisations répétées de salbutamol (beta2 mimétique de courte durée d'action) b. Corticoïdes oraux (prednisone) par voie orale c. Oxygène d. Nébulisations de budésonide (corticoïde) toutes les 3 heures e. Anxiolytiques par voie orale en cas d'agitation dans le camion A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. oxygene+ cortioides oraux + beta2 mimétiques nébulisés répétés sont les 3 piliers du trt de l'exacerbation. Pas de place pour les nébulisations de corticoides car les doses administrées sont trop faible. Mme H. quittera les urgences après 16h, très améliorée, avec une ordonnance de corticoïdes oraux pendant 7 jours et de corticoïdes inhalés à faible dose. On lui a conseillé de prendre un rendez-vous avec un pneumologue 1 mois après cet épisode. Vous la voyez donc pour la première fois en juin. Vous l'interrogez sur le contrôle de sa maladie depuis sa sortie. Que demandez -vous ? (une ou plusieurs réponses) a. Vous arrive-t-il de vous réveiller la nuit pour aller aux toilettes ? b. Est-ce que vous avez des douleurs thoraciques à l'effort ? c. Etes-vous essoufflée lorsque vous êtes allongée à plat ? d. Avez-vous entendu des sifflements en faisant des efforts ? e. Avez vous utilisé votre inhalateur de secours, prescrits par les urgences, depuis la sortie ?. A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Elle a utilisé son inhalateur de salbutamol (beta2 mimétique de courte durée d'action) tous les soirs et se réveille environ une fois par semaine pour en prendre. Elle n'a pas pu reprendre le vélo. Comment considérez vous le niveau de contrôle de son asthme ?. | mal contrôlé. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 43 | 1 | 592 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Une femme de 59 ans est amenée aux urgences par sa famille en raison d'une douleur occipitale associée à un oedème se majorant depuis la veille, date d'une chute mécanique en arrière suivie de l'apparition d'un hématome du cuir chevelu (avec petite plaie ouverte de la peau) . L'interrogatoire ne permet pas d'évoquer d'autre cause qu'une cause mécanique à la chute. Les antécédants médicaux de la malade sont : - une hypertension artérielle chronique, équilibrée par furosémide (40mg/j) et hémifumarate de bisoprolol (1.25mg/j) mais compliquée d'une cardiopathie hypertrophique, - un diabète de type II compliqué d'insufisance rénale chronique terminale (nécessitant une dialyse périodique bihebdomadaire) et d'une rétinopathie diabétique avancée. - une tumeur du colon droit, repérée depuis six mois après des rectorragies, présumée néoplasique, que la malade refuse de se faire enlever chirurgicalement. La malade est examinée par un urgentiste qui confirme la nature traumatique des lésions, fait réaliser un scanner cérébral qui confirme l'hématome extracrânien, sans lésion hémorragique intra ou péricérébrale : dans ces conditions, il la renvoie à domicile avec un antalgique de pallier 1 et lui prescrit un anti-inflammatoire non stéroidien qu'elle n'ira pas acheter. Le lendemain matin, sa fille appelle le SAMU en raison de céphalées généralisées considérées comme "affreuses", d'un visage tuméfié, d'un syndrome fébrile marqué (40°C avec frissons), d'une confusion, et de l'allégation de dificultés respiratoires. A l'arrivée du SAMU, le médecin trouve une patiente au visage très oedématié, en détresse respiratoire, agitée, avec une dysphonie, une ouverture de bouche à 1 cm rendant 0 priori une intubation orale très difficile,et en hypotension artérielle (PA systolique 80 mmHg, FC 135 battements/ min). Un transfert urgent se fait en réanimation avec une oxygénothérapie au masque à FiO2 : 1. La malade est alors intubée avec grande difficultés par le nez en raison d'un trismus non réductible et d'un oedème facial bilatéral et symétrique : au passage du fibroscope toutes les muqueuses sont très inflammatoires et purulentes, la glotte est quasi obstruée par l'oedème mais les voies aériennes sous-glottiques sont propres. D'après l'histoire clinique, parmi les diagnostics suivants, lequel (lesquels) est (sont) le(s) plus probable(s) a. un tétanos céphalique b. un syndrome de Boerhaave (rupture spontanée de l'oesophage) c. un syndrome de Lemierre (thrombophlébite septique de la veine jugulaire) d. une cellulite aigüe cervico-faciale e. une intoxication accidentelle par du bore | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 43 | 2 | 593 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Une femme de 59 ans est amenée aux urgences par sa famille en raison d'une douleur occipitale associée à un oedème se majorant depuis la veille, date d'une chute mécanique en arrière suivie de l'apparition d'un hématome du cuir chevelu (avec petite plaie ouverte de la peau) . L'interrogatoire ne permet pas d'évoquer d'autre cause qu'une cause mécanique à la chute. Les antécédants médicaux de la malade sont : - une hypertension artérielle chronique, équilibrée par furosémide (40mg/j) et hémifumarate de bisoprolol (1.25mg/j) mais compliquée d'une cardiopathie hypertrophique, - un diabète de type II compliqué d'insufisance rénale chronique terminale (nécessitant une dialyse périodique bihebdomadaire) et d'une rétinopathie diabétique avancée. - une tumeur du colon droit, repérée depuis six mois après des rectorragies, présumée néoplasique, que la malade refuse de se faire enlever chirurgicalement. La malade est examinée par un urgentiste qui confirme la nature traumatique des lésions, fait réaliser un scanner cérébral qui confirme l'hématome extracrânien, sans lésion hémorragique intra ou péricérébrale : dans ces conditions, il la renvoie à domicile avec un antalgique de pallier 1 et lui prescrit un anti-inflammatoire non stéroidien qu'elle n'ira pas acheter. Le lendemain matin, sa fille appelle le SAMU en raison de céphalées généralisées considérées comme "affreuses", d'un visage tuméfié, d'un syndrome fébrile marqué (40°C avec frissons), d'une confusion, et de l'allégation de dificultés respiratoires. A l'arrivée du SAMU, le médecin trouve une patiente au visage très oedématié, en détresse respiratoire, agitée, avec une dysphonie, une ouverture de bouche à 1 cm rendant 0 priori une intubation orale très difficile,et en hypotension artérielle (PA systolique 80 mmHg, FC 135 battements/ min). Un transfert urgent se fait en réanimation avec une oxygénothérapie au masque à FiO2 : 1. La malade est alors intubée avec grande difficultés par le nez en raison d'un trismus non réductible et d'un oedème facial bilatéral et symétrique : au passage du fibroscope toutes les muqueuses sont très inflammatoires et purulentes, la glotte est quasi obstruée par l'oedème mais les voies aériennes sous-glottiques sont propres. D'après l'histoire clinique, parmi les diagnostics suivants, lequel (lesquels) est (sont) le(s) plus probable(s) a. un tétanos céphalique b. un syndrome de Boerhaave (rupture spontanée de l'oesophage) c. un syndrome de Lemierre (thrombophlébite septique de la veine jugulaire) d. une cellulite aigüe cervico-faciale e. une intoxication accidentelle par du bore A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette malade présente un trismus aigu s'étant développé en moins de 2 jours. Parmi les étiologies suivantes, lesquelles sont possibles chez cette malade ? a. la rage b. le tétanos c. les infections dentaires ou ORL d. une intoxication grave au CO e. certaines fractures mandibulaires | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les périodes d'incubations de la rage (1 à 3 mois) et du tétanos (au moins 3 jours), l'absence de contexte d'intoxication au CO et la fièvre rendent prioritaires les 2 autres hypothèses. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 43 | 3 | 594 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Une femme de 59 ans est amenée aux urgences par sa famille en raison d'une douleur occipitale associée à un oedème se majorant depuis la veille, date d'une chute mécanique en arrière suivie de l'apparition d'un hématome du cuir chevelu (avec petite plaie ouverte de la peau) . L'interrogatoire ne permet pas d'évoquer d'autre cause qu'une cause mécanique à la chute. Les antécédants médicaux de la malade sont : - une hypertension artérielle chronique, équilibrée par furosémide (40mg/j) et hémifumarate de bisoprolol (1.25mg/j) mais compliquée d'une cardiopathie hypertrophique, - un diabète de type II compliqué d'insufisance rénale chronique terminale (nécessitant une dialyse périodique bihebdomadaire) et d'une rétinopathie diabétique avancée. - une tumeur du colon droit, repérée depuis six mois après des rectorragies, présumée néoplasique, que la malade refuse de se faire enlever chirurgicalement. La malade est examinée par un urgentiste qui confirme la nature traumatique des lésions, fait réaliser un scanner cérébral qui confirme l'hématome extracrânien, sans lésion hémorragique intra ou péricérébrale : dans ces conditions, il la renvoie à domicile avec un antalgique de pallier 1 et lui prescrit un anti-inflammatoire non stéroidien qu'elle n'ira pas acheter. Le lendemain matin, sa fille appelle le SAMU en raison de céphalées généralisées considérées comme "affreuses", d'un visage tuméfié, d'un syndrome fébrile marqué (40°C avec frissons), d'une confusion, et de l'allégation de dificultés respiratoires. A l'arrivée du SAMU, le médecin trouve une patiente au visage très oedématié, en détresse respiratoire, agitée, avec une dysphonie, une ouverture de bouche à 1 cm rendant 0 priori une intubation orale très difficile,et en hypotension artérielle (PA systolique 80 mmHg, FC 135 battements/ min). Un transfert urgent se fait en réanimation avec une oxygénothérapie au masque à FiO2 : 1. La malade est alors intubée avec grande difficultés par le nez en raison d'un trismus non réductible et d'un oedème facial bilatéral et symétrique : au passage du fibroscope toutes les muqueuses sont très inflammatoires et purulentes, la glotte est quasi obstruée par l'oedème mais les voies aériennes sous-glottiques sont propres. D'après l'histoire clinique, parmi les diagnostics suivants, lequel (lesquels) est (sont) le(s) plus probable(s) a. un tétanos céphalique b. un syndrome de Boerhaave (rupture spontanée de l'oesophage) c. un syndrome de Lemierre (thrombophlébite septique de la veine jugulaire) d. une cellulite aigüe cervico-faciale e. une intoxication accidentelle par du bore A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Cette malade présente un trismus aigu s'étant développé en moins de 2 jours. Parmi les étiologies suivantes, lesquelles sont possibles chez cette malade ? a. la rage b. le tétanos c. les infections dentaires ou ORL d. une intoxication grave au CO e. certaines fractures mandibulaires A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Les périodes d'incubations de la rage (1 à 3 mois) et du tétanos (au moins 3 jours), l'absence de contexte d'intoxication au CO et la fièvre rendent prioritaires les 2 autres hypothèses. Vous suspectez une cause locale de trismus. Quel est (quels sont), parmi les suivants, l'(les)examen(s) susceptible(s) de vous apporter les informations les plus pertinentes dans le temps le plus court (en urgence) a. cliché radiologique du massif facial selon Blondeau b. cliché du crâne de profil c. scanner du massif facial avec centrage sur les loges masticatrices d. IRM du massif facial e. ces examens doivent tous être réalisés simultanément | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 44 | 1 | 596 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Mme B. 49 ans consulte aux urgences pour des douleurs épigastriques depuis 3 jours de plus en plus intenses. Ce matin, elle aurait présenté 2 vomissements sanguinolants. Dans ses antécédents on note : une entorse de la cheville droite en 2000, une hyperthyroïdie opérée en 2008, une lombosciatique L5 traitée depuis 5 jours par des antalgiques de palier 1 et des anti-inflammatoires per os. Quand vous rentrez dans le box, la patiente est pâle et somnolente. La TA = 9/6 mmHg, le pouls = 120/min, la saturation en oxygène = 98 %, température 36°7, elle répond de manière confuse à vos questions. Le reste de l’examen clinique est normal. 1- Quels paramètres vous manquent-ils pour évaluer le score de Glasgow ? a. - la diurèse b. - l’ouverture des yeux c. - le reflexe fronto palpébral d. - les reflexes ostéo tendineux e. - la réponse motrice | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres notés Y : Ouverture des yeux V : Réponse verbale M : Réponse motrice. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 44 | 2 | 597 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Mme B. 49 ans consulte aux urgences pour des douleurs épigastriques depuis 3 jours de plus en plus intenses. Ce matin, elle aurait présenté 2 vomissements sanguinolants. Dans ses antécédents on note : une entorse de la cheville droite en 2000, une hyperthyroïdie opérée en 2008, une lombosciatique L5 traitée depuis 5 jours par des antalgiques de palier 1 et des anti-inflammatoires per os. Quand vous rentrez dans le box, la patiente est pâle et somnolente. La TA = 9/6 mmHg, le pouls = 120/min, la saturation en oxygène = 98 %, température 36°7, elle répond de manière confuse à vos questions. Le reste de l’examen clinique est normal. 1- Quels paramètres vous manquent-ils pour évaluer le score de Glasgow ? a. - la diurèse b. - l’ouverture des yeux c. - le reflexe fronto palpébral d. - les reflexes ostéo tendineux e. - la réponse motrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres notés Y : Ouverture des yeux V : Réponse verbale M : Réponse motrice. 2- Quels sont les signes de gravité retrouvés dans cette observation ? a. l’état de conscience b. l’âge c. la tension artérielle d. la saturation en oxygène e. le pouls | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Signes de défaillances d’organe (en gras les signes les plus précoces à dépister) Neuro logique : Score de Glasgow < 13 Cardio- vasculaire : Hypotension systolique < 90 mm Hg (ou baisse de plus de 40 mm Hg) Pression artérielle moyenne < 65 mm Hg , tachycardie > 100/min ou bradycardie < 60/min Cutanée : Marbrures , Extrémités froides et cyanosées Respiratoire : Tirage, hypoxémie Métabolique :Acidose lactique, Lactatémie > 4 mmol/l Rénale : Oligo-anurie < 0,5 ml/kg/h. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 44 | 3 | 598 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. | Mme B. 49 ans consulte aux urgences pour des douleurs épigastriques depuis 3 jours de plus en plus intenses. Ce matin, elle aurait présenté 2 vomissements sanguinolants. Dans ses antécédents on note : une entorse de la cheville droite en 2000, une hyperthyroïdie opérée en 2008, une lombosciatique L5 traitée depuis 5 jours par des antalgiques de palier 1 et des anti-inflammatoires per os. Quand vous rentrez dans le box, la patiente est pâle et somnolente. La TA = 9/6 mmHg, le pouls = 120/min, la saturation en oxygène = 98 %, température 36°7, elle répond de manière confuse à vos questions. Le reste de l’examen clinique est normal. 1- Quels paramètres vous manquent-ils pour évaluer le score de Glasgow ? a. - la diurèse b. - l’ouverture des yeux c. - le reflexe fronto palpébral d. - les reflexes ostéo tendineux e. - la réponse motrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres notés Y : Ouverture des yeux V : Réponse verbale M : Réponse motrice. 2- Quels sont les signes de gravité retrouvés dans cette observation ? a. l’état de conscience b. l’âge c. la tension artérielle d. la saturation en oxygène e. le pouls A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Signes de défaillances d’organe (en gras les signes les plus précoces à dépister) Neuro logique : Score de Glasgow < 13 Cardio- vasculaire : Hypotension systolique < 90 mm Hg (ou baisse de plus de 40 mm Hg) Pression artérielle moyenne < 65 mm Hg , tachycardie > 100/min ou bradycardie < 60/min Cutanée : Marbrures , Extrémités froides et cyanosées Respiratoire : Tirage, hypoxémie Métabolique :Acidose lactique, Lactatémie > 4 mmol/l Rénale : Oligo-anurie < 0,5 ml/kg/h. Vous suspectez une anémie. Comment définissez vous l’anémie ? a. un taux d’hématocrite inférieur à 40% chez la femme b. un taux d’hémoglobine inférieur à 130 g/L chez la femme c. une diminution du taux d’hémoglobine de plus de 2g /dl d. un taux de réticulocyte inférieur à 20 000 x 10^6 /L e. un taux d’hémoglobine inférieur à 12 g/dl chez la femme | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Recommandations OMS http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/85841/1/WHO_NMH_NHD_MNM_11.1_fre.pdf?ua=1 Chez les hommes <13g/dl Chez la femme < 12 g/dl ( sauf femme enceinte (11g/dl). |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 44 | 4 | 599 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. | Mme B. 49 ans consulte aux urgences pour des douleurs épigastriques depuis 3 jours de plus en plus intenses. Ce matin, elle aurait présenté 2 vomissements sanguinolants. Dans ses antécédents on note : une entorse de la cheville droite en 2000, une hyperthyroïdie opérée en 2008, une lombosciatique L5 traitée depuis 5 jours par des antalgiques de palier 1 et des anti-inflammatoires per os. Quand vous rentrez dans le box, la patiente est pâle et somnolente. La TA = 9/6 mmHg, le pouls = 120/min, la saturation en oxygène = 98 %, température 36°7, elle répond de manière confuse à vos questions. Le reste de l’examen clinique est normal. 1- Quels paramètres vous manquent-ils pour évaluer le score de Glasgow ? a. - la diurèse b. - l’ouverture des yeux c. - le reflexe fronto palpébral d. - les reflexes ostéo tendineux e. - la réponse motrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres notés Y : Ouverture des yeux V : Réponse verbale M : Réponse motrice. 2- Quels sont les signes de gravité retrouvés dans cette observation ? a. l’état de conscience b. l’âge c. la tension artérielle d. la saturation en oxygène e. le pouls A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Signes de défaillances d’organe (en gras les signes les plus précoces à dépister) Neuro logique : Score de Glasgow < 13 Cardio- vasculaire : Hypotension systolique < 90 mm Hg (ou baisse de plus de 40 mm Hg) Pression artérielle moyenne < 65 mm Hg , tachycardie > 100/min ou bradycardie < 60/min Cutanée : Marbrures , Extrémités froides et cyanosées Respiratoire : Tirage, hypoxémie Métabolique :Acidose lactique, Lactatémie > 4 mmol/l Rénale : Oligo-anurie < 0,5 ml/kg/h. Vous suspectez une anémie. Comment définissez vous l’anémie ? a. un taux d’hématocrite inférieur à 40% chez la femme b. un taux d’hémoglobine inférieur à 130 g/L chez la femme c. une diminution du taux d’hémoglobine de plus de 2g /dl d. un taux de réticulocyte inférieur à 20 000 x 10^6 /L e. un taux d’hémoglobine inférieur à 12 g/dl chez la femme A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Recommandations OMS http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/85841/1/WHO_NMH_NHD_MNM_11.1_fre.pdf?ua=1 Chez les hommes <13g/dl Chez la femme < 12 g/dl ( sauf femme enceinte (11g/dl). Quel(s) argument(s) biologique(s) est (sont) en faveur d’une anémie ferriprive? a. ferritinémie < 15 microg/L b. coefficient de saturation de la transferrine augmentée >40% c. volume globulaire moyen < 90 fl d. Transferrine augmentée > 3,2 g/L e. coefficient de saturation de la transferrine < 20% | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 44 | 5 | 600 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Mme B. 49 ans consulte aux urgences pour des douleurs épigastriques depuis 3 jours de plus en plus intenses. Ce matin, elle aurait présenté 2 vomissements sanguinolants. Dans ses antécédents on note : une entorse de la cheville droite en 2000, une hyperthyroïdie opérée en 2008, une lombosciatique L5 traitée depuis 5 jours par des antalgiques de palier 1 et des anti-inflammatoires per os. Quand vous rentrez dans le box, la patiente est pâle et somnolente. La TA = 9/6 mmHg, le pouls = 120/min, la saturation en oxygène = 98 %, température 36°7, elle répond de manière confuse à vos questions. Le reste de l’examen clinique est normal. 1- Quels paramètres vous manquent-ils pour évaluer le score de Glasgow ? a. - la diurèse b. - l’ouverture des yeux c. - le reflexe fronto palpébral d. - les reflexes ostéo tendineux e. - la réponse motrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres notés Y : Ouverture des yeux V : Réponse verbale M : Réponse motrice. 2- Quels sont les signes de gravité retrouvés dans cette observation ? a. l’état de conscience b. l’âge c. la tension artérielle d. la saturation en oxygène e. le pouls A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Signes de défaillances d’organe (en gras les signes les plus précoces à dépister) Neuro logique : Score de Glasgow < 13 Cardio- vasculaire : Hypotension systolique < 90 mm Hg (ou baisse de plus de 40 mm Hg) Pression artérielle moyenne < 65 mm Hg , tachycardie > 100/min ou bradycardie < 60/min Cutanée : Marbrures , Extrémités froides et cyanosées Respiratoire : Tirage, hypoxémie Métabolique :Acidose lactique, Lactatémie > 4 mmol/l Rénale : Oligo-anurie < 0,5 ml/kg/h. Vous suspectez une anémie. Comment définissez vous l’anémie ? a. un taux d’hématocrite inférieur à 40% chez la femme b. un taux d’hémoglobine inférieur à 130 g/L chez la femme c. une diminution du taux d’hémoglobine de plus de 2g /dl d. un taux de réticulocyte inférieur à 20 000 x 10^6 /L e. un taux d’hémoglobine inférieur à 12 g/dl chez la femme A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Recommandations OMS http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/85841/1/WHO_NMH_NHD_MNM_11.1_fre.pdf?ua=1 Chez les hommes <13g/dl Chez la femme < 12 g/dl ( sauf femme enceinte (11g/dl). Quel(s) argument(s) biologique(s) est (sont) en faveur d’une anémie ferriprive? a. ferritinémie < 15 microg/L b. coefficient de saturation de la transferrine augmentée >40% c. volume globulaire moyen < 90 fl d. Transferrine augmentée > 3,2 g/L e. coefficient de saturation de la transferrine < 20% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Vous récupérez le bilan biologique : Hb = 7g/dL, VGM 78 µm3, plaquettes = 255 000 /mm3 , CRP < 3 mg/L., Na + 140 mmol/L, K+ 4 mmol/L, chlore 102 mmol/L, bicarbonates 25 mmol/L, urée 8 mmol/L, créatinémie 53 µmol/l, lipase 20 UI/L, ASAT = 20 UI/L, ALAT = 25 UI/L , GGT = 18 UI/L , Pal = 35 UI/L, bilirubine totale = 5 µmol/l Quel diagnostic évoquez vous ? a. Un choc hémorragique b. Un choc cardiogénique c. Une perforation digestive d. Un Accident vasculaire cérébrale hémorragique e. Une déshydratation sévère | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 44 | 6 | 601 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Mme B. 49 ans consulte aux urgences pour des douleurs épigastriques depuis 3 jours de plus en plus intenses. Ce matin, elle aurait présenté 2 vomissements sanguinolants. Dans ses antécédents on note : une entorse de la cheville droite en 2000, une hyperthyroïdie opérée en 2008, une lombosciatique L5 traitée depuis 5 jours par des antalgiques de palier 1 et des anti-inflammatoires per os. Quand vous rentrez dans le box, la patiente est pâle et somnolente. La TA = 9/6 mmHg, le pouls = 120/min, la saturation en oxygène = 98 %, température 36°7, elle répond de manière confuse à vos questions. Le reste de l’examen clinique est normal. 1- Quels paramètres vous manquent-ils pour évaluer le score de Glasgow ? a. - la diurèse b. - l’ouverture des yeux c. - le reflexe fronto palpébral d. - les reflexes ostéo tendineux e. - la réponse motrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres notés Y : Ouverture des yeux V : Réponse verbale M : Réponse motrice. 2- Quels sont les signes de gravité retrouvés dans cette observation ? a. l’état de conscience b. l’âge c. la tension artérielle d. la saturation en oxygène e. le pouls A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Signes de défaillances d’organe (en gras les signes les plus précoces à dépister) Neuro logique : Score de Glasgow < 13 Cardio- vasculaire : Hypotension systolique < 90 mm Hg (ou baisse de plus de 40 mm Hg) Pression artérielle moyenne < 65 mm Hg , tachycardie > 100/min ou bradycardie < 60/min Cutanée : Marbrures , Extrémités froides et cyanosées Respiratoire : Tirage, hypoxémie Métabolique :Acidose lactique, Lactatémie > 4 mmol/l Rénale : Oligo-anurie < 0,5 ml/kg/h. Vous suspectez une anémie. Comment définissez vous l’anémie ? a. un taux d’hématocrite inférieur à 40% chez la femme b. un taux d’hémoglobine inférieur à 130 g/L chez la femme c. une diminution du taux d’hémoglobine de plus de 2g /dl d. un taux de réticulocyte inférieur à 20 000 x 10^6 /L e. un taux d’hémoglobine inférieur à 12 g/dl chez la femme A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Recommandations OMS http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/85841/1/WHO_NMH_NHD_MNM_11.1_fre.pdf?ua=1 Chez les hommes <13g/dl Chez la femme < 12 g/dl ( sauf femme enceinte (11g/dl). Quel(s) argument(s) biologique(s) est (sont) en faveur d’une anémie ferriprive? a. ferritinémie < 15 microg/L b. coefficient de saturation de la transferrine augmentée >40% c. volume globulaire moyen < 90 fl d. Transferrine augmentée > 3,2 g/L e. coefficient de saturation de la transferrine < 20% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Vous récupérez le bilan biologique : Hb = 7g/dL, VGM 78 µm3, plaquettes = 255 000 /mm3 , CRP < 3 mg/L., Na + 140 mmol/L, K+ 4 mmol/L, chlore 102 mmol/L, bicarbonates 25 mmol/L, urée 8 mmol/L, créatinémie 53 µmol/l, lipase 20 UI/L, ASAT = 20 UI/L, ALAT = 25 UI/L , GGT = 18 UI/L , Pal = 35 UI/L, bilirubine totale = 5 µmol/l Quel diagnostic évoquez vous ? a. Un choc hémorragique b. Un choc cardiogénique c. Une perforation digestive d. Un Accident vasculaire cérébrale hémorragique e. Une déshydratation sévère A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels paramètres cliniques pourraient vous permettre d’objectiver l’hémorragie digestive ? a. le toucher rectal b. le test à l’eau oxygéné dans les selles c. le test à l’eau oxygéné de la salive d. une défense abdominale e. une pâleur cutanéomuqueuse | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 44 | 7 | 602 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Mme B. 49 ans consulte aux urgences pour des douleurs épigastriques depuis 3 jours de plus en plus intenses. Ce matin, elle aurait présenté 2 vomissements sanguinolants. Dans ses antécédents on note : une entorse de la cheville droite en 2000, une hyperthyroïdie opérée en 2008, une lombosciatique L5 traitée depuis 5 jours par des antalgiques de palier 1 et des anti-inflammatoires per os. Quand vous rentrez dans le box, la patiente est pâle et somnolente. La TA = 9/6 mmHg, le pouls = 120/min, la saturation en oxygène = 98 %, température 36°7, elle répond de manière confuse à vos questions. Le reste de l’examen clinique est normal. 1- Quels paramètres vous manquent-ils pour évaluer le score de Glasgow ? a. - la diurèse b. - l’ouverture des yeux c. - le reflexe fronto palpébral d. - les reflexes ostéo tendineux e. - la réponse motrice A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres notés Y : Ouverture des yeux V : Réponse verbale M : Réponse motrice. 2- Quels sont les signes de gravité retrouvés dans cette observation ? a. l’état de conscience b. l’âge c. la tension artérielle d. la saturation en oxygène e. le pouls A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Signes de défaillances d’organe (en gras les signes les plus précoces à dépister) Neuro logique : Score de Glasgow < 13 Cardio- vasculaire : Hypotension systolique < 90 mm Hg (ou baisse de plus de 40 mm Hg) Pression artérielle moyenne < 65 mm Hg , tachycardie > 100/min ou bradycardie < 60/min Cutanée : Marbrures , Extrémités froides et cyanosées Respiratoire : Tirage, hypoxémie Métabolique :Acidose lactique, Lactatémie > 4 mmol/l Rénale : Oligo-anurie < 0,5 ml/kg/h. Vous suspectez une anémie. Comment définissez vous l’anémie ? a. un taux d’hématocrite inférieur à 40% chez la femme b. un taux d’hémoglobine inférieur à 130 g/L chez la femme c. une diminution du taux d’hémoglobine de plus de 2g /dl d. un taux de réticulocyte inférieur à 20 000 x 10^6 /L e. un taux d’hémoglobine inférieur à 12 g/dl chez la femme A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Recommandations OMS http://apps.who.int/iris/bitstream/10665/85841/1/WHO_NMH_NHD_MNM_11.1_fre.pdf?ua=1 Chez les hommes <13g/dl Chez la femme < 12 g/dl ( sauf femme enceinte (11g/dl). Quel(s) argument(s) biologique(s) est (sont) en faveur d’une anémie ferriprive? a. ferritinémie < 15 microg/L b. coefficient de saturation de la transferrine augmentée >40% c. volume globulaire moyen < 90 fl d. Transferrine augmentée > 3,2 g/L e. coefficient de saturation de la transferrine < 20% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Vous récupérez le bilan biologique : Hb = 7g/dL, VGM 78 µm3, plaquettes = 255 000 /mm3 , CRP < 3 mg/L., Na + 140 mmol/L, K+ 4 mmol/L, chlore 102 mmol/L, bicarbonates 25 mmol/L, urée 8 mmol/L, créatinémie 53 µmol/l, lipase 20 UI/L, ASAT = 20 UI/L, ALAT = 25 UI/L , GGT = 18 UI/L , Pal = 35 UI/L, bilirubine totale = 5 µmol/l Quel diagnostic évoquez vous ? a. Un choc hémorragique b. Un choc cardiogénique c. Une perforation digestive d. Un Accident vasculaire cérébrale hémorragique e. Une déshydratation sévère A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quels paramètres cliniques pourraient vous permettre d’objectiver l’hémorragie digestive ? a. le toucher rectal b. le test à l’eau oxygéné dans les selles c. le test à l’eau oxygéné de la salive d. une défense abdominale e. une pâleur cutanéomuqueuse A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Quel examen complémentaire en urgence réalisez vous pour objectiver l’hémorragie digestive ? a. un scanner abdomino-pelvien injecté b. une pan-endoscopie c. une fibroscopie oeso – gastro – duodénale d. une FAST échographie au lit e. aucun examen | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 1 | 605 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 2 | 606 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 3 | 607 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’examen clinique est normal, le poids est stable depuis plusieurs années. Les constantes à l'admission aux urgences sont : PA 125/75 mmHg, FC 67 bpm, T° 37,2°C, SatO2 98% en air ambiant. D'une manière générale, quelles sont les causes d'hémoptysie éventuellement graves parmi les propositions suivantes ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Cancer broncho-pulmonaire b. Bronchopneumopathie chronique obstructive c. dilatation des bronches d. Tuberculose e. Rétrécissement mitral | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La BPCO en soi n'est pas une cause d'hémoptysie et doit motiver la recherche d'une pathologie surajoutée (cancer bronchopulmonaire+). |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 4 | 608 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’examen clinique est normal, le poids est stable depuis plusieurs années. Les constantes à l'admission aux urgences sont : PA 125/75 mmHg, FC 67 bpm, T° 37,2°C, SatO2 98% en air ambiant. D'une manière générale, quelles sont les causes d'hémoptysie éventuellement graves parmi les propositions suivantes ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Cancer broncho-pulmonaire b. Bronchopneumopathie chronique obstructive c. dilatation des bronches d. Tuberculose e. Rétrécissement mitral A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La BPCO en soi n'est pas une cause d'hémoptysie et doit motiver la recherche d'une pathologie surajoutée (cancer bronchopulmonaire+). Devant l'absence d'altération de l'état général, vous évoquez la possibilité d'un rétrecissement mitral. Quelq éléments recherchez-vous à l'auscultation cardiaque en faveur de cette hypothèse ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. souffle diastolique avec renforcement en télédiastole b. éclat de B1 c. souffle à caractère doux et aspiratif d. souffle maximal au foyer aortique e. abolition de B2 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 5 | 609 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’examen clinique est normal, le poids est stable depuis plusieurs années. Les constantes à l'admission aux urgences sont : PA 125/75 mmHg, FC 67 bpm, T° 37,2°C, SatO2 98% en air ambiant. D'une manière générale, quelles sont les causes d'hémoptysie éventuellement graves parmi les propositions suivantes ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Cancer broncho-pulmonaire b. Bronchopneumopathie chronique obstructive c. dilatation des bronches d. Tuberculose e. Rétrécissement mitral A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La BPCO en soi n'est pas une cause d'hémoptysie et doit motiver la recherche d'une pathologie surajoutée (cancer bronchopulmonaire+). Devant l'absence d'altération de l'état général, vous évoquez la possibilité d'un rétrecissement mitral. Quelq éléments recherchez-vous à l'auscultation cardiaque en faveur de cette hypothèse ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. souffle diastolique avec renforcement en télédiastole b. éclat de B1 c. souffle à caractère doux et aspiratif d. souffle maximal au foyer aortique e. abolition de B2 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'examen clinique est sensiblement normal, notamment l'auscultation cardiopulmonaire. Les aires ganglionnaires sont libres. Quels examens proposez-vous aux urgences ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. groupe sanguin Rhésus RAI b. Radiographie du thorax c. Tests immunologiques de la tuberculose d. TP, TCA e. BK tubage Pas aux urgences. Doit être réalisé préférentiellement le matin à jeun | A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 6 | 610 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’examen clinique est normal, le poids est stable depuis plusieurs années. Les constantes à l'admission aux urgences sont : PA 125/75 mmHg, FC 67 bpm, T° 37,2°C, SatO2 98% en air ambiant. D'une manière générale, quelles sont les causes d'hémoptysie éventuellement graves parmi les propositions suivantes ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Cancer broncho-pulmonaire b. Bronchopneumopathie chronique obstructive c. dilatation des bronches d. Tuberculose e. Rétrécissement mitral A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La BPCO en soi n'est pas une cause d'hémoptysie et doit motiver la recherche d'une pathologie surajoutée (cancer bronchopulmonaire+). Devant l'absence d'altération de l'état général, vous évoquez la possibilité d'un rétrecissement mitral. Quelq éléments recherchez-vous à l'auscultation cardiaque en faveur de cette hypothèse ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. souffle diastolique avec renforcement en télédiastole b. éclat de B1 c. souffle à caractère doux et aspiratif d. souffle maximal au foyer aortique e. abolition de B2 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'examen clinique est sensiblement normal, notamment l'auscultation cardiopulmonaire. Les aires ganglionnaires sont libres. Quels examens proposez-vous aux urgences ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. groupe sanguin Rhésus RAI b. Radiographie du thorax c. Tests immunologiques de la tuberculose d. TP, TCA e. BK tubage Pas aux urgences. Doit être réalisé préférentiellement le matin à jeun A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Du fait d'une activité importante aux urgences, la réalisation des examens complémentaires est un peu retardée. Le patient se sentant plutôt bien et ne comprenant pas pourquoi vous souhaitez lui faire tous ces examens dit qu'il va partir. Vous lui expliquez que son pronostic vital serait potentiellement engagé en cas de récidive hémorragique plus marquée hors de l'hôpital. Il est surpris et vous demande ce qu'il risque réellement. Que lui répondez-vous ? (une seule réponse attendue) a. Choc hémorragique b. Infection pulmonaire grave c. Coma par hypercapnie d. Embolie gazeuse e. Asphyxie | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 7 | 611 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’examen clinique est normal, le poids est stable depuis plusieurs années. Les constantes à l'admission aux urgences sont : PA 125/75 mmHg, FC 67 bpm, T° 37,2°C, SatO2 98% en air ambiant. D'une manière générale, quelles sont les causes d'hémoptysie éventuellement graves parmi les propositions suivantes ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Cancer broncho-pulmonaire b. Bronchopneumopathie chronique obstructive c. dilatation des bronches d. Tuberculose e. Rétrécissement mitral A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La BPCO en soi n'est pas une cause d'hémoptysie et doit motiver la recherche d'une pathologie surajoutée (cancer bronchopulmonaire+). Devant l'absence d'altération de l'état général, vous évoquez la possibilité d'un rétrecissement mitral. Quelq éléments recherchez-vous à l'auscultation cardiaque en faveur de cette hypothèse ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. souffle diastolique avec renforcement en télédiastole b. éclat de B1 c. souffle à caractère doux et aspiratif d. souffle maximal au foyer aortique e. abolition de B2 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'examen clinique est sensiblement normal, notamment l'auscultation cardiopulmonaire. Les aires ganglionnaires sont libres. Quels examens proposez-vous aux urgences ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. groupe sanguin Rhésus RAI b. Radiographie du thorax c. Tests immunologiques de la tuberculose d. TP, TCA e. BK tubage Pas aux urgences. Doit être réalisé préférentiellement le matin à jeun A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Du fait d'une activité importante aux urgences, la réalisation des examens complémentaires est un peu retardée. Le patient se sentant plutôt bien et ne comprenant pas pourquoi vous souhaitez lui faire tous ces examens dit qu'il va partir. Vous lui expliquez que son pronostic vital serait potentiellement engagé en cas de récidive hémorragique plus marquée hors de l'hôpital. Il est surpris et vous demande ce qu'il risque réellement. Que lui répondez-vous ? (une seule réponse attendue) a. Choc hémorragique b. Infection pulmonaire grave c. Coma par hypercapnie d. Embolie gazeuse e. Asphyxie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Inquiet du risque asphyxique, le patient reste finalement à l'hôpital. Il présente de nouveau une hémoptysie d'environ 5 ml. Il reste par ailleurs asymptomatique. Quel examen vous semble le plus efficace pour identifier la cause et l'origine du saignement ? (une seule réponse attendue) a. Fibroscopie bronchique b. artériographie bronchique c. Scanner pulmonaire injecté au temps artériel d. Scanner pumonaire injecté au temps tardif e. Artériographie bronchique | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 8 | 612 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’examen clinique est normal, le poids est stable depuis plusieurs années. Les constantes à l'admission aux urgences sont : PA 125/75 mmHg, FC 67 bpm, T° 37,2°C, SatO2 98% en air ambiant. D'une manière générale, quelles sont les causes d'hémoptysie éventuellement graves parmi les propositions suivantes ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Cancer broncho-pulmonaire b. Bronchopneumopathie chronique obstructive c. dilatation des bronches d. Tuberculose e. Rétrécissement mitral A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La BPCO en soi n'est pas une cause d'hémoptysie et doit motiver la recherche d'une pathologie surajoutée (cancer bronchopulmonaire+). Devant l'absence d'altération de l'état général, vous évoquez la possibilité d'un rétrecissement mitral. Quelq éléments recherchez-vous à l'auscultation cardiaque en faveur de cette hypothèse ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. souffle diastolique avec renforcement en télédiastole b. éclat de B1 c. souffle à caractère doux et aspiratif d. souffle maximal au foyer aortique e. abolition de B2 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'examen clinique est sensiblement normal, notamment l'auscultation cardiopulmonaire. Les aires ganglionnaires sont libres. Quels examens proposez-vous aux urgences ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. groupe sanguin Rhésus RAI b. Radiographie du thorax c. Tests immunologiques de la tuberculose d. TP, TCA e. BK tubage Pas aux urgences. Doit être réalisé préférentiellement le matin à jeun A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Du fait d'une activité importante aux urgences, la réalisation des examens complémentaires est un peu retardée. Le patient se sentant plutôt bien et ne comprenant pas pourquoi vous souhaitez lui faire tous ces examens dit qu'il va partir. Vous lui expliquez que son pronostic vital serait potentiellement engagé en cas de récidive hémorragique plus marquée hors de l'hôpital. Il est surpris et vous demande ce qu'il risque réellement. Que lui répondez-vous ? (une seule réponse attendue) a. Choc hémorragique b. Infection pulmonaire grave c. Coma par hypercapnie d. Embolie gazeuse e. Asphyxie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Inquiet du risque asphyxique, le patient reste finalement à l'hôpital. Il présente de nouveau une hémoptysie d'environ 5 ml. Il reste par ailleurs asymptomatique. Quel examen vous semble le plus efficace pour identifier la cause et l'origine du saignement ? (une seule réponse attendue) a. Fibroscopie bronchique b. artériographie bronchique c. Scanner pulmonaire injecté au temps artériel d. Scanner pumonaire injecté au temps tardif e. Artériographie bronchique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Faute de disponibilité immédiate du scanner que vous souhaitiez réaliser, une radiographie de thorax est faite aux urgences :Quelles anomalies visualisez-vous ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Volumineuse adénopathie sous-carénaire b. Foyer alvéolaire du lobe inférieur droit c. Masse pédiculée au sein d'une cavité d. Excavation lobaire supérieure droite e. Aspect de miliaire | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 9 | 613 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’examen clinique est normal, le poids est stable depuis plusieurs années. Les constantes à l'admission aux urgences sont : PA 125/75 mmHg, FC 67 bpm, T° 37,2°C, SatO2 98% en air ambiant. D'une manière générale, quelles sont les causes d'hémoptysie éventuellement graves parmi les propositions suivantes ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Cancer broncho-pulmonaire b. Bronchopneumopathie chronique obstructive c. dilatation des bronches d. Tuberculose e. Rétrécissement mitral A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La BPCO en soi n'est pas une cause d'hémoptysie et doit motiver la recherche d'une pathologie surajoutée (cancer bronchopulmonaire+). Devant l'absence d'altération de l'état général, vous évoquez la possibilité d'un rétrecissement mitral. Quelq éléments recherchez-vous à l'auscultation cardiaque en faveur de cette hypothèse ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. souffle diastolique avec renforcement en télédiastole b. éclat de B1 c. souffle à caractère doux et aspiratif d. souffle maximal au foyer aortique e. abolition de B2 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'examen clinique est sensiblement normal, notamment l'auscultation cardiopulmonaire. Les aires ganglionnaires sont libres. Quels examens proposez-vous aux urgences ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. groupe sanguin Rhésus RAI b. Radiographie du thorax c. Tests immunologiques de la tuberculose d. TP, TCA e. BK tubage Pas aux urgences. Doit être réalisé préférentiellement le matin à jeun A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Du fait d'une activité importante aux urgences, la réalisation des examens complémentaires est un peu retardée. Le patient se sentant plutôt bien et ne comprenant pas pourquoi vous souhaitez lui faire tous ces examens dit qu'il va partir. Vous lui expliquez que son pronostic vital serait potentiellement engagé en cas de récidive hémorragique plus marquée hors de l'hôpital. Il est surpris et vous demande ce qu'il risque réellement. Que lui répondez-vous ? (une seule réponse attendue) a. Choc hémorragique b. Infection pulmonaire grave c. Coma par hypercapnie d. Embolie gazeuse e. Asphyxie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Inquiet du risque asphyxique, le patient reste finalement à l'hôpital. Il présente de nouveau une hémoptysie d'environ 5 ml. Il reste par ailleurs asymptomatique. Quel examen vous semble le plus efficace pour identifier la cause et l'origine du saignement ? (une seule réponse attendue) a. Fibroscopie bronchique b. artériographie bronchique c. Scanner pulmonaire injecté au temps artériel d. Scanner pumonaire injecté au temps tardif e. Artériographie bronchique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Faute de disponibilité immédiate du scanner que vous souhaitiez réaliser, une radiographie de thorax est faite aux urgences :Quelles anomalies visualisez-vous ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Volumineuse adénopathie sous-carénaire b. Foyer alvéolaire du lobe inférieur droit c. Masse pédiculée au sein d'une cavité d. Excavation lobaire supérieure droite e. Aspect de miliaire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quel est votre hypothèse diagnostique principale pour expliquer l'hémoptysie ? (une seule réponse attendue) a. cancer bronchopulmonaire b. embolie pulmonaire avec infarctus pulmonaire c. Granulomatose avec polyangéite d. Aspergillome e. Tuberculose pulmonaire évolutive | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 46 | 10 | 614 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Un homme de 32 ans originaire du Cameroun, sans antécédent, consulte aux urgences pour hémoptysie. Il est en France depuis 1 an. Il vous explique qu’il a déjà craché à 2 reprises du sang depuis 3 semaines. A l'interrogatoire, quelle question vous semble la plus à même de confirmer l'hypothèse d'une hémoptysie en opposition aux autres causes d'évacuation de sang par le haut ? (une seule réponse attendue) a. Avez-vous émis le sang au cours d'un effort de toux ? b. Avez-vous des douleurs dans la poitrine ? c. Avez-vous observé des caillots dans les crachats de sang ? d. Fumez-vous ? e. Êtes-vous essouflé ?. A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Vous suspectez fortement une hémoptysie devant une description évocatrice : émission de sang rouge vif au cours d'un effort de toux. Dans ce contexte, quels sont les deux paramètres fondamentaux à apprécier pour juger de la gravité du saignement ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Valeur de l'hémoglobine b. Abondance du saignement c. Présence d'une dyspnée la tolérance respiratoire est l'élément majeur à surveiller. d. valeur des plaquettes e. Valeur de la pression artérielle A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L’examen clinique est normal, le poids est stable depuis plusieurs années. Les constantes à l'admission aux urgences sont : PA 125/75 mmHg, FC 67 bpm, T° 37,2°C, SatO2 98% en air ambiant. D'une manière générale, quelles sont les causes d'hémoptysie éventuellement graves parmi les propositions suivantes ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Cancer broncho-pulmonaire b. Bronchopneumopathie chronique obstructive c. dilatation des bronches d. Tuberculose e. Rétrécissement mitral A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. La BPCO en soi n'est pas une cause d'hémoptysie et doit motiver la recherche d'une pathologie surajoutée (cancer bronchopulmonaire+). Devant l'absence d'altération de l'état général, vous évoquez la possibilité d'un rétrecissement mitral. Quelq éléments recherchez-vous à l'auscultation cardiaque en faveur de cette hypothèse ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. souffle diastolique avec renforcement en télédiastole b. éclat de B1 c. souffle à caractère doux et aspiratif d. souffle maximal au foyer aortique e. abolition de B2 A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. L'examen clinique est sensiblement normal, notamment l'auscultation cardiopulmonaire. Les aires ganglionnaires sont libres. Quels examens proposez-vous aux urgences ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. groupe sanguin Rhésus RAI b. Radiographie du thorax c. Tests immunologiques de la tuberculose d. TP, TCA e. BK tubage Pas aux urgences. Doit être réalisé préférentiellement le matin à jeun A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Du fait d'une activité importante aux urgences, la réalisation des examens complémentaires est un peu retardée. Le patient se sentant plutôt bien et ne comprenant pas pourquoi vous souhaitez lui faire tous ces examens dit qu'il va partir. Vous lui expliquez que son pronostic vital serait potentiellement engagé en cas de récidive hémorragique plus marquée hors de l'hôpital. Il est surpris et vous demande ce qu'il risque réellement. Que lui répondez-vous ? (une seule réponse attendue) a. Choc hémorragique b. Infection pulmonaire grave c. Coma par hypercapnie d. Embolie gazeuse e. Asphyxie A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Inquiet du risque asphyxique, le patient reste finalement à l'hôpital. Il présente de nouveau une hémoptysie d'environ 5 ml. Il reste par ailleurs asymptomatique. Quel examen vous semble le plus efficace pour identifier la cause et l'origine du saignement ? (une seule réponse attendue) a. Fibroscopie bronchique b. artériographie bronchique c. Scanner pulmonaire injecté au temps artériel d. Scanner pumonaire injecté au temps tardif e. Artériographie bronchique A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Faute de disponibilité immédiate du scanner que vous souhaitiez réaliser, une radiographie de thorax est faite aux urgences :Quelles anomalies visualisez-vous ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Volumineuse adénopathie sous-carénaire b. Foyer alvéolaire du lobe inférieur droit c. Masse pédiculée au sein d'une cavité d. Excavation lobaire supérieure droite e. Aspect de miliaire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quel est votre hypothèse diagnostique principale pour expliquer l'hémoptysie ? (une seule réponse attendue) a. cancer bronchopulmonaire b. embolie pulmonaire avec infarctus pulmonaire c. Granulomatose avec polyangéite d. Aspergillome e. Tuberculose pulmonaire évolutive A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. Il crache de nouveau 5 ml de sang rouge vif devant vous. Les constantes sont stables, la saturation artérielle en oxygène est évaluée à 96% au doigt. Il ne présente pas de signe clinique de défaillance respiratoire. Le scanner va être rapidement disponible. Quelles mesures vous semblent pertinentes à ce stade ? (une ou plusieurs réponses exactes) a. Intubation et ventilation mécanique b. Transfert en unité de surveillance continue ou en réanimation c. Agent vasoconstricteur intraveineux d. Isolement respiratoire de type "air" oui, car l'hypothèse est un aspergillome compliquant une tuberculose pulmonaire qui peut être toujours bacillifère bien qu'il n'y ait pas d'altération de l'état général. e. Fibroscopie bronchique pour instillation d'une solution adrénalinée | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 1 | 621 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 2 | 622 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 3 | 623 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 4 | 624 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen anatomo-pathologique de la biopsie rénale montre l’absence de prolifération cellulaire endo capillaire et extra capillaire dans les glomérules. La membrane basale glomérulaire est épaissie et spiculée sur son versant externe. L’interstitium est normal. Un vaisseau montre des lésions d’endartérite fibreuse. L’examen par immunofluorescence retrouve des dépôts granuleux sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire d’IgG et de C3. Quel diagnostic est compatible avec les résultats histologiques et le tableau clinique ? a. néphropathie vasculaire b. néphropathie à IgG primitive c. glomérulonéphrite aigue d. glomérulonéphrite extramembraneuse e. amylose rénale | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 5 | 625 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen anatomo-pathologique de la biopsie rénale montre l’absence de prolifération cellulaire endo capillaire et extra capillaire dans les glomérules. La membrane basale glomérulaire est épaissie et spiculée sur son versant externe. L’interstitium est normal. Un vaisseau montre des lésions d’endartérite fibreuse. L’examen par immunofluorescence retrouve des dépôts granuleux sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire d’IgG et de C3. Quel diagnostic est compatible avec les résultats histologiques et le tableau clinique ? a. néphropathie vasculaire b. néphropathie à IgG primitive c. glomérulonéphrite aigue d. glomérulonéphrite extramembraneuse e. amylose rénale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Parmi les complications suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) favorisée(s) par le syndrome néphrotique : a. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle b. œdèmes c. thrombose du sinus caverneux d. pneumopathie à pneumocoque e. hypercholestérolémie | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 6 | 626 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen anatomo-pathologique de la biopsie rénale montre l’absence de prolifération cellulaire endo capillaire et extra capillaire dans les glomérules. La membrane basale glomérulaire est épaissie et spiculée sur son versant externe. L’interstitium est normal. Un vaisseau montre des lésions d’endartérite fibreuse. L’examen par immunofluorescence retrouve des dépôts granuleux sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire d’IgG et de C3. Quel diagnostic est compatible avec les résultats histologiques et le tableau clinique ? a. néphropathie vasculaire b. néphropathie à IgG primitive c. glomérulonéphrite aigue d. glomérulonéphrite extramembraneuse e. amylose rénale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Parmi les complications suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) favorisée(s) par le syndrome néphrotique : a. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle b. œdèmes c. thrombose du sinus caverneux d. pneumopathie à pneumocoque e. hypercholestérolémie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) est (sont) le(s) mécanisme(s) des œdèmes au cours du syndrome néphrotique : a. diminution de l’élimination rénale du sodium b. diminution de la pression oncotique plasmatique c. diminution de la pression oncotique interstitielle d. diminution de la pression hydrostatique capillaire e. diminution de la pression hydrostatique interstitielle | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 7 | 627 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen anatomo-pathologique de la biopsie rénale montre l’absence de prolifération cellulaire endo capillaire et extra capillaire dans les glomérules. La membrane basale glomérulaire est épaissie et spiculée sur son versant externe. L’interstitium est normal. Un vaisseau montre des lésions d’endartérite fibreuse. L’examen par immunofluorescence retrouve des dépôts granuleux sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire d’IgG et de C3. Quel diagnostic est compatible avec les résultats histologiques et le tableau clinique ? a. néphropathie vasculaire b. néphropathie à IgG primitive c. glomérulonéphrite aigue d. glomérulonéphrite extramembraneuse e. amylose rénale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Parmi les complications suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) favorisée(s) par le syndrome néphrotique : a. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle b. œdèmes c. thrombose du sinus caverneux d. pneumopathie à pneumocoque e. hypercholestérolémie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) est (sont) le(s) mécanisme(s) des œdèmes au cours du syndrome néphrotique : a. diminution de l’élimination rénale du sodium b. diminution de la pression oncotique plasmatique c. diminution de la pression oncotique interstitielle d. diminution de la pression hydrostatique capillaire e. diminution de la pression hydrostatique interstitielle A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quel(s) traitement(s) symptomatique(s) du syndrome néphrotique faut-il proposer à ce patient ? a. inhibiteur de l’enzyme de conversion b. diurétique c. anticoagulant d. apports sodés réduits à 6 g de NaCl par jour e. apports protidiques limités à 60 g/j | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question annulée. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 8 | 628 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen anatomo-pathologique de la biopsie rénale montre l’absence de prolifération cellulaire endo capillaire et extra capillaire dans les glomérules. La membrane basale glomérulaire est épaissie et spiculée sur son versant externe. L’interstitium est normal. Un vaisseau montre des lésions d’endartérite fibreuse. L’examen par immunofluorescence retrouve des dépôts granuleux sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire d’IgG et de C3. Quel diagnostic est compatible avec les résultats histologiques et le tableau clinique ? a. néphropathie vasculaire b. néphropathie à IgG primitive c. glomérulonéphrite aigue d. glomérulonéphrite extramembraneuse e. amylose rénale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Parmi les complications suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) favorisée(s) par le syndrome néphrotique : a. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle b. œdèmes c. thrombose du sinus caverneux d. pneumopathie à pneumocoque e. hypercholestérolémie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) est (sont) le(s) mécanisme(s) des œdèmes au cours du syndrome néphrotique : a. diminution de l’élimination rénale du sodium b. diminution de la pression oncotique plasmatique c. diminution de la pression oncotique interstitielle d. diminution de la pression hydrostatique capillaire e. diminution de la pression hydrostatique interstitielle A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quel(s) traitement(s) symptomatique(s) du syndrome néphrotique faut-il proposer à ce patient ? a. inhibiteur de l’enzyme de conversion b. diurétique c. anticoagulant d. apports sodés réduits à 6 g de NaCl par jour e. apports protidiques limités à 60 g/j A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question annulée. Le diagnostic de glomérulonéphrite extramembraneuse est retenu. Un traitement symptomatique est mis en place : le ramipril (inhibiteur de l’enzyme de conversion) est introduit puis progressivement augmenté jusqu’à la dose maximale (10 mg/j). Un diurétique de l’anse (furosémide) est ajouté au traitement à la dose de 40 mg X 2 /j. Un régime limité à 6 g de NaCl est mis en place et bien suivi par le patient. La tension artérielle est mesurée à 150/90 mmHg en consultation sous trithérapie (amlodipine 5 mg/j, ramipril 10 mg/j et furosémide 40 mg X2/j). Il persiste des œdèmes des membres inférieurs. Les examens biologiques montrent dans le sang : créatininémie 80 µM, Na 140 mmol/L ; K 3 mmol/L. Quelle attitude proposer pour renforcer le traitement anti-hypertenseur et diminuer les oedèmes ? a. augmenter la posologie du furosémide b. ajouter un diurétique épargneur de potassium (aldactone 25 mg/j) c. ajouter un diurétique thiazidique (esidrex 25 mg/j) d. ajouter un inhibiteur de l’anhydrase carbonique (acétazolamide 250 mg X 3/j) e. associer une restriction hydrique | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 9 | 629 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen anatomo-pathologique de la biopsie rénale montre l’absence de prolifération cellulaire endo capillaire et extra capillaire dans les glomérules. La membrane basale glomérulaire est épaissie et spiculée sur son versant externe. L’interstitium est normal. Un vaisseau montre des lésions d’endartérite fibreuse. L’examen par immunofluorescence retrouve des dépôts granuleux sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire d’IgG et de C3. Quel diagnostic est compatible avec les résultats histologiques et le tableau clinique ? a. néphropathie vasculaire b. néphropathie à IgG primitive c. glomérulonéphrite aigue d. glomérulonéphrite extramembraneuse e. amylose rénale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Parmi les complications suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) favorisée(s) par le syndrome néphrotique : a. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle b. œdèmes c. thrombose du sinus caverneux d. pneumopathie à pneumocoque e. hypercholestérolémie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) est (sont) le(s) mécanisme(s) des œdèmes au cours du syndrome néphrotique : a. diminution de l’élimination rénale du sodium b. diminution de la pression oncotique plasmatique c. diminution de la pression oncotique interstitielle d. diminution de la pression hydrostatique capillaire e. diminution de la pression hydrostatique interstitielle A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quel(s) traitement(s) symptomatique(s) du syndrome néphrotique faut-il proposer à ce patient ? a. inhibiteur de l’enzyme de conversion b. diurétique c. anticoagulant d. apports sodés réduits à 6 g de NaCl par jour e. apports protidiques limités à 60 g/j A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question annulée. Le diagnostic de glomérulonéphrite extramembraneuse est retenu. Un traitement symptomatique est mis en place : le ramipril (inhibiteur de l’enzyme de conversion) est introduit puis progressivement augmenté jusqu’à la dose maximale (10 mg/j). Un diurétique de l’anse (furosémide) est ajouté au traitement à la dose de 40 mg X 2 /j. Un régime limité à 6 g de NaCl est mis en place et bien suivi par le patient. La tension artérielle est mesurée à 150/90 mmHg en consultation sous trithérapie (amlodipine 5 mg/j, ramipril 10 mg/j et furosémide 40 mg X2/j). Il persiste des œdèmes des membres inférieurs. Les examens biologiques montrent dans le sang : créatininémie 80 µM, Na 140 mmol/L ; K 3 mmol/L. Quelle attitude proposer pour renforcer le traitement anti-hypertenseur et diminuer les oedèmes ? a. augmenter la posologie du furosémide b. ajouter un diurétique épargneur de potassium (aldactone 25 mg/j) c. ajouter un diurétique thiazidique (esidrex 25 mg/j) d. ajouter un inhibiteur de l’anhydrase carbonique (acétazolamide 250 mg X 3/j) e. associer une restriction hydrique A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement par ramipril (10 mg/j), amlodipine (5 mg/j), furosémide (40 mg X2/j) et aldactone (25 mg/j) est bien suivi par le patient. Par contre, Il a arrêté de lui-même le traitement anticoagulant en raison d’un épistaxis récidivant. Quelques semaines plus tard il revient aux urgences pour des douleurs aigues basithoraciques et lombaires. Il décrit une oligurie et des urines hématuriques depuis 2 jours. Il n’a pas de signe fonctionnel urinaire (pas de brûlures urinaires, pas de dysurie). Il est dyspnéique. A l’examen clinique, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mmHg en position assise. Le pouls est régulier à 120 /min, la fréquence respiratoire à 25/min. Il pèse 85 Kg. Il est apyrétique. Il n’a pas de trouble de la conscience. Il existe des œdèmes importants des membres inférieures remontant jusqu’aux lombes, une turgescence des jugulaires, sans reflux hépato jugulaires. L’auscultation pulmonaire note une abolition du murmure vésiculaire à la base droite. Il existe une matité thoracique base droite. Le toucher rectal est normal. Biologie dans le sang : Na 120 mmol/L ; K 7 mmol/L ; Cl 90 mmol/L ; HCO3- 12 mmol/L ; protides 55 g/L ; glycémie 5 mmol/L ; créatinine 600 µmol/L; urée 35 mmol/L GDS artériel: pH = 7,34 ; PO2 = 60 mmHg ; PCO2 = 20 mmHg Biologie dans les urines (échantillon) : Na 15 mmol/L; K 20 mmol/L ; Cl 30 mmol/L; créatinine 5 mmol/L ; urée 150 mmol/L. Bandelette urinaire : sang 3+ Radio de thorax : épanchement pleural bilatéral de moyenne abondance Echographie rénale : pas de dilatation des cavités pyélocalicielles ECG : rythme sinusal à 120/min avec des complexes QRS élargis (184 ms) et des ondes T pointues. Indiquer l’état d’hydratation : a. hyperhydratation extracellulaire b. hyperhydratation intracellulaire c. déshydratation extracellulaire d. déshydratation intracellulaire e. hydratation intracellulaire normale | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 10 | 630 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen anatomo-pathologique de la biopsie rénale montre l’absence de prolifération cellulaire endo capillaire et extra capillaire dans les glomérules. La membrane basale glomérulaire est épaissie et spiculée sur son versant externe. L’interstitium est normal. Un vaisseau montre des lésions d’endartérite fibreuse. L’examen par immunofluorescence retrouve des dépôts granuleux sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire d’IgG et de C3. Quel diagnostic est compatible avec les résultats histologiques et le tableau clinique ? a. néphropathie vasculaire b. néphropathie à IgG primitive c. glomérulonéphrite aigue d. glomérulonéphrite extramembraneuse e. amylose rénale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Parmi les complications suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) favorisée(s) par le syndrome néphrotique : a. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle b. œdèmes c. thrombose du sinus caverneux d. pneumopathie à pneumocoque e. hypercholestérolémie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) est (sont) le(s) mécanisme(s) des œdèmes au cours du syndrome néphrotique : a. diminution de l’élimination rénale du sodium b. diminution de la pression oncotique plasmatique c. diminution de la pression oncotique interstitielle d. diminution de la pression hydrostatique capillaire e. diminution de la pression hydrostatique interstitielle A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quel(s) traitement(s) symptomatique(s) du syndrome néphrotique faut-il proposer à ce patient ? a. inhibiteur de l’enzyme de conversion b. diurétique c. anticoagulant d. apports sodés réduits à 6 g de NaCl par jour e. apports protidiques limités à 60 g/j A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question annulée. Le diagnostic de glomérulonéphrite extramembraneuse est retenu. Un traitement symptomatique est mis en place : le ramipril (inhibiteur de l’enzyme de conversion) est introduit puis progressivement augmenté jusqu’à la dose maximale (10 mg/j). Un diurétique de l’anse (furosémide) est ajouté au traitement à la dose de 40 mg X 2 /j. Un régime limité à 6 g de NaCl est mis en place et bien suivi par le patient. La tension artérielle est mesurée à 150/90 mmHg en consultation sous trithérapie (amlodipine 5 mg/j, ramipril 10 mg/j et furosémide 40 mg X2/j). Il persiste des œdèmes des membres inférieurs. Les examens biologiques montrent dans le sang : créatininémie 80 µM, Na 140 mmol/L ; K 3 mmol/L. Quelle attitude proposer pour renforcer le traitement anti-hypertenseur et diminuer les oedèmes ? a. augmenter la posologie du furosémide b. ajouter un diurétique épargneur de potassium (aldactone 25 mg/j) c. ajouter un diurétique thiazidique (esidrex 25 mg/j) d. ajouter un inhibiteur de l’anhydrase carbonique (acétazolamide 250 mg X 3/j) e. associer une restriction hydrique A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement par ramipril (10 mg/j), amlodipine (5 mg/j), furosémide (40 mg X2/j) et aldactone (25 mg/j) est bien suivi par le patient. Par contre, Il a arrêté de lui-même le traitement anticoagulant en raison d’un épistaxis récidivant. Quelques semaines plus tard il revient aux urgences pour des douleurs aigues basithoraciques et lombaires. Il décrit une oligurie et des urines hématuriques depuis 2 jours. Il n’a pas de signe fonctionnel urinaire (pas de brûlures urinaires, pas de dysurie). Il est dyspnéique. A l’examen clinique, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mmHg en position assise. Le pouls est régulier à 120 /min, la fréquence respiratoire à 25/min. Il pèse 85 Kg. Il est apyrétique. Il n’a pas de trouble de la conscience. Il existe des œdèmes importants des membres inférieures remontant jusqu’aux lombes, une turgescence des jugulaires, sans reflux hépato jugulaires. L’auscultation pulmonaire note une abolition du murmure vésiculaire à la base droite. Il existe une matité thoracique base droite. Le toucher rectal est normal. Biologie dans le sang : Na 120 mmol/L ; K 7 mmol/L ; Cl 90 mmol/L ; HCO3- 12 mmol/L ; protides 55 g/L ; glycémie 5 mmol/L ; créatinine 600 µmol/L; urée 35 mmol/L GDS artériel: pH = 7,34 ; PO2 = 60 mmHg ; PCO2 = 20 mmHg Biologie dans les urines (échantillon) : Na 15 mmol/L; K 20 mmol/L ; Cl 30 mmol/L; créatinine 5 mmol/L ; urée 150 mmol/L. Bandelette urinaire : sang 3+ Radio de thorax : épanchement pleural bilatéral de moyenne abondance Echographie rénale : pas de dilatation des cavités pyélocalicielles ECG : rythme sinusal à 120/min avec des complexes QRS élargis (184 ms) et des ondes T pointues. Indiquer l’état d’hydratation : a. hyperhydratation extracellulaire b. hyperhydratation intracellulaire c. déshydratation extracellulaire d. déshydratation intracellulaire e. hydratation intracellulaire normale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Biologie dans le sang : Na 120 mmol/L ; K 7 mmol/L ; Cl 90 mmol/L ; HCO3- 12 mmol/L ; protides 55 g/L ; glycémie 5 mmol/L ; créatinine 600 µmol/L; urée 35 mmol/L GDS artériels: pH = 7,34 ; PO2 = 60 mmHg ; PCO2 = 20 mmHg Biologie dans les urines (échantillon) : Na 15 mmol/L; K 20 mmol/L ; Cl 30 mmol/L; créatinine 5 mmol/L ; urée 150 mmol/L. Interpréter les troubles acido-basiques : a. acidose métabolique simple b. acidose métabolique et respiratoire c. acidose métabolique associée à une alcalose respiratoire d. acidose métabolique avec trou anionique sanguin augmenté e. acidose métabolique hyperchlorémique avec trou anionique urinaire positif | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 48 | 11 | 631 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un homme de 45 ans est adressé par son médecin traitant en consultation de néphrologie pour protéinurie et œdèmes. Il n’a pas d’antécédent personnel ou familial notable en dehors d’une HTA traitée depuis 3 ans par amlodipine 5 mg /j (inhibiteur calcique). Il fume 10 cigarettes par jour et boit 300 ml de vin par jour. A l’examen, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mm Hg en position assise après 5 min de repos. Le pouls est à 68/min. Le poids de 80 Kg pour 1,80 m. Il existe des œdèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas de lésion cutanée. Le reste de l’examen clinique est sans particularité. Les examens biologiques prélevés quelques jours avant la consultation montrent : Dans le sang : créatininémie 80 µmol/L; protidémie 55 g/L ; calcémie totale 2 mmol/L, Hb 14g/dL, Dans les urines : protéinurie 4g/g créatininurie. Bandelette urinaire : sang négatif, protéinurie 3+, leucocytes négatif L’échographie réalisée la veille de la consultation montre 2 reins mesurant 12 cm de longueur, sans dilatation des cavités pyélocalicielles. Indiquer le(s) syndrome(s) néphrologique(s) compatible(s) avec le tableau clinique et biologique : a. syndrome néphrotique pur b. syndrome néphrotique impur c. syndrome de glomérulonéphrite chronique d. syndrome néphritique aigu e. syndrome de glomérulonéphrite rapidement progressif A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) doit (doivent) être réalisé(s) pour compléter les explorations de la maladie rénale : a. recherche de microalbuminurie b. électrophorèse des protéines sériques c. électrophorèse des protéines urinaires d. ponction biopsie rénale e. biopsie des glandes salivaires A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L’électrophorèse des protéines sériques montre une hypoalbuminémie à 18g/L. L’électrophorèse urinaire montre une protéinurie composée majoritairement d’albumine. Une ponction biopsie rénale est réalisée. Quelle(s) est (sont) la (les) contre-indication(s) de la ponction biopsie rénale ? a. atrophie rénale unilatérale b. tension artérielle à 180/100 mm Hg le jour de la biopsie c. prise d’aspirine les jours qui précèdent la biopsie d. rein en fer à cheval e. thrombopénie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’examen anatomo-pathologique de la biopsie rénale montre l’absence de prolifération cellulaire endo capillaire et extra capillaire dans les glomérules. La membrane basale glomérulaire est épaissie et spiculée sur son versant externe. L’interstitium est normal. Un vaisseau montre des lésions d’endartérite fibreuse. L’examen par immunofluorescence retrouve des dépôts granuleux sur le versant externe de la membrane basale glomérulaire d’IgG et de C3. Quel diagnostic est compatible avec les résultats histologiques et le tableau clinique ? a. néphropathie vasculaire b. néphropathie à IgG primitive c. glomérulonéphrite aigue d. glomérulonéphrite extramembraneuse e. amylose rénale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Parmi les complications suivantes, la(les)quelle(s) est (sont) favorisée(s) par le syndrome néphrotique : a. insuffisance rénale aiguë fonctionnelle b. œdèmes c. thrombose du sinus caverneux d. pneumopathie à pneumocoque e. hypercholestérolémie A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Quel(s) est (sont) le(s) mécanisme(s) des œdèmes au cours du syndrome néphrotique : a. diminution de l’élimination rénale du sodium b. diminution de la pression oncotique plasmatique c. diminution de la pression oncotique interstitielle d. diminution de la pression hydrostatique capillaire e. diminution de la pression hydrostatique interstitielle A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Quel(s) traitement(s) symptomatique(s) du syndrome néphrotique faut-il proposer à ce patient ? a. inhibiteur de l’enzyme de conversion b. diurétique c. anticoagulant d. apports sodés réduits à 6 g de NaCl par jour e. apports protidiques limités à 60 g/j A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Question annulée. Le diagnostic de glomérulonéphrite extramembraneuse est retenu. Un traitement symptomatique est mis en place : le ramipril (inhibiteur de l’enzyme de conversion) est introduit puis progressivement augmenté jusqu’à la dose maximale (10 mg/j). Un diurétique de l’anse (furosémide) est ajouté au traitement à la dose de 40 mg X 2 /j. Un régime limité à 6 g de NaCl est mis en place et bien suivi par le patient. La tension artérielle est mesurée à 150/90 mmHg en consultation sous trithérapie (amlodipine 5 mg/j, ramipril 10 mg/j et furosémide 40 mg X2/j). Il persiste des œdèmes des membres inférieurs. Les examens biologiques montrent dans le sang : créatininémie 80 µM, Na 140 mmol/L ; K 3 mmol/L. Quelle attitude proposer pour renforcer le traitement anti-hypertenseur et diminuer les oedèmes ? a. augmenter la posologie du furosémide b. ajouter un diurétique épargneur de potassium (aldactone 25 mg/j) c. ajouter un diurétique thiazidique (esidrex 25 mg/j) d. ajouter un inhibiteur de l’anhydrase carbonique (acétazolamide 250 mg X 3/j) e. associer une restriction hydrique A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement par ramipril (10 mg/j), amlodipine (5 mg/j), furosémide (40 mg X2/j) et aldactone (25 mg/j) est bien suivi par le patient. Par contre, Il a arrêté de lui-même le traitement anticoagulant en raison d’un épistaxis récidivant. Quelques semaines plus tard il revient aux urgences pour des douleurs aigues basithoraciques et lombaires. Il décrit une oligurie et des urines hématuriques depuis 2 jours. Il n’a pas de signe fonctionnel urinaire (pas de brûlures urinaires, pas de dysurie). Il est dyspnéique. A l’examen clinique, la pression artérielle est mesurée à 160/90 mmHg en position assise. Le pouls est régulier à 120 /min, la fréquence respiratoire à 25/min. Il pèse 85 Kg. Il est apyrétique. Il n’a pas de trouble de la conscience. Il existe des œdèmes importants des membres inférieures remontant jusqu’aux lombes, une turgescence des jugulaires, sans reflux hépato jugulaires. L’auscultation pulmonaire note une abolition du murmure vésiculaire à la base droite. Il existe une matité thoracique base droite. Le toucher rectal est normal. Biologie dans le sang : Na 120 mmol/L ; K 7 mmol/L ; Cl 90 mmol/L ; HCO3- 12 mmol/L ; protides 55 g/L ; glycémie 5 mmol/L ; créatinine 600 µmol/L; urée 35 mmol/L GDS artériel: pH = 7,34 ; PO2 = 60 mmHg ; PCO2 = 20 mmHg Biologie dans les urines (échantillon) : Na 15 mmol/L; K 20 mmol/L ; Cl 30 mmol/L; créatinine 5 mmol/L ; urée 150 mmol/L. Bandelette urinaire : sang 3+ Radio de thorax : épanchement pleural bilatéral de moyenne abondance Echographie rénale : pas de dilatation des cavités pyélocalicielles ECG : rythme sinusal à 120/min avec des complexes QRS élargis (184 ms) et des ondes T pointues. Indiquer l’état d’hydratation : a. hyperhydratation extracellulaire b. hyperhydratation intracellulaire c. déshydratation extracellulaire d. déshydratation intracellulaire e. hydratation intracellulaire normale A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Biologie dans le sang : Na 120 mmol/L ; K 7 mmol/L ; Cl 90 mmol/L ; HCO3- 12 mmol/L ; protides 55 g/L ; glycémie 5 mmol/L ; créatinine 600 µmol/L; urée 35 mmol/L GDS artériels: pH = 7,34 ; PO2 = 60 mmHg ; PCO2 = 20 mmHg Biologie dans les urines (échantillon) : Na 15 mmol/L; K 20 mmol/L ; Cl 30 mmol/L; créatinine 5 mmol/L ; urée 150 mmol/L. Interpréter les troubles acido-basiques : a. acidose métabolique simple b. acidose métabolique et respiratoire c. acidose métabolique associée à une alcalose respiratoire d. acidose métabolique avec trou anionique sanguin augmenté e. acidose métabolique hyperchlorémique avec trou anionique urinaire positif A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Il s’agit d’une acidose métabolique avec un trou anionique sanguin augmenté. En tenant compte du tableau clinique et biologique, indiquez la cause la plus probable de l’acidose métabolique : a. insuffisance rénale b. acidose lactique c. acidocétose d. acidose tubulaire rénale distale de type 1 e. acidose tubulaire rénale distale de type 4 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 49 | 1 | 636 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. | Madame B. 26 ans vous consulte car on lui a trouvé un souffle cardiaque lors d’une consultation à la médecine du travail. Elle est sportive, non fumeuse et asymptomatique. Elle n’a pas d’allergie ni de traitement. L’auscultation retrouve un souffle d'insuffisance mitrale. Quel(s) élément(s) caractérise(nt) le souffle d'insuffisance mitrale ? a. souffle diastolique b. mieux entendu lorsque le patient est penché en avant c. en « jet de vapeur », doux d. maximum à l'apex e. irradiation vers l'aisselle | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 49 | 2 | 637 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. | Madame B. 26 ans vous consulte car on lui a trouvé un souffle cardiaque lors d’une consultation à la médecine du travail. Elle est sportive, non fumeuse et asymptomatique. Elle n’a pas d’allergie ni de traitement. L’auscultation retrouve un souffle d'insuffisance mitrale. Quel(s) élément(s) caractérise(nt) le souffle d'insuffisance mitrale ? a. souffle diastolique b. mieux entendu lorsque le patient est penché en avant c. en « jet de vapeur », doux d. maximum à l'apex e. irradiation vers l'aisselle A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’échocardiographie transthoracique confirme l’auscultation, elle retrouve une insuffisance mitrale grade II/III. La petite et la grande valve mitrale sont ballonnisées et dépassent le plan de l’anneau lors de la systole ventriculaire. Le jeu valvulaire est exagéré avec prolapsus de la valve mitrale dans l’oreillette gauche. A propos de cette coupe d'échocardiographie transthoracique, diriez vous : a. A est le ventricule gauche b. il s'agit d'une coupe parasternale grand axe c. les valves mitrale et tricuspide sont visibles d. l'aorte ascendante est visible e. le ventricule droite est visible | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A est l'oreillette gauche les valves mitrales et aortique sont visibles sur cette coupe parasternale grand axe description typique de l'insuffisance mitrale dystrophique avec dégénérescence myxoïde de la Maladie de Barlow. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 49 | 3 | 638 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Madame B. 26 ans vous consulte car on lui a trouvé un souffle cardiaque lors d’une consultation à la médecine du travail. Elle est sportive, non fumeuse et asymptomatique. Elle n’a pas d’allergie ni de traitement. L’auscultation retrouve un souffle d'insuffisance mitrale. Quel(s) élément(s) caractérise(nt) le souffle d'insuffisance mitrale ? a. souffle diastolique b. mieux entendu lorsque le patient est penché en avant c. en « jet de vapeur », doux d. maximum à l'apex e. irradiation vers l'aisselle A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L’échocardiographie transthoracique confirme l’auscultation, elle retrouve une insuffisance mitrale grade II/III. La petite et la grande valve mitrale sont ballonnisées et dépassent le plan de l’anneau lors de la systole ventriculaire. Le jeu valvulaire est exagéré avec prolapsus de la valve mitrale dans l’oreillette gauche. A propos de cette coupe d'échocardiographie transthoracique, diriez vous : a. A est le ventricule gauche b. il s'agit d'une coupe parasternale grand axe c. les valves mitrale et tricuspide sont visibles d. l'aorte ascendante est visible e. le ventricule droite est visible A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. A est l'oreillette gauche les valves mitrales et aortique sont visibles sur cette coupe parasternale grand axe description typique de l'insuffisance mitrale dystrophique avec dégénérescence myxoïde de la Maladie de Barlow. Vous prescrivez à cette patiente une surveillance clinique et écho-cardiographique car la patiente est asymptomatique. Trois ans plus tard, elle consulte aux urgences pour une dyspnée aiguë avec douleur thoracique. L’examen clinique oriente vers un œdème aigu pulmonaire. Quel(s) élément(s) clinique(s) vous oriente en faveur de ce diagnostic ? a. la patiente présente une orthopnée avec wheezing b. l'auscultation retrouve des crépitants bilatéraux c. les expectorations sont mousseuses d. la douleur est augmentée par l'inspiration e. les mollets sont souples et discrètement oedématiés | A: Choix correct et indispensable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 50 | 1 | 640 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Vous êtes interne aux Urgences le 07 janvier 2019. L'infirmière d'accueil et d'orientation vous appelle pour un patient de 22 ans qui vient d'être amené par sa maman pour confusion et syndrome fébrile. La pression artérielle systolique est à 80 MmHg. La fréquence cardiaque est à 75/min. La fréquence respiratoire est à 30/min. Il ouvre les yeux à l'appel de son nom et tient des propos confus. La réponse motrice est volontaire. Il existe des marbrures au niveau des genoux. La saturation artérielle en oxygène est à 90%. La température est à 39 degré Celsius. Il a présenté les jours précédents son admission aux urgences un syndrome grippal avec des douleurs abdominales et des nausées. Il n'a pas d'antécédent particulier. Il est étudiant en droit vivant chez ses parents. Il n'est pas vacciné contre la grippe. Le patient est admis en salle de déchocage, vous le scopez, vous mettez en place une pression artérielle non invasive, vous demandez à l'infirmière de mettre en place 2 voies veineuses periphériques et de le sonder. Une oxygénothérapie au masque à 10L/min est mise en place permettant de remonter la saturation en oxygène à 92 %. L'auscultation pulmonaire montre des rales crépitants dans les deux champs avec une diminution du murmure vésiculaire à gauche vous faisant évoquer une pneumopathie. Quelles sont les propositions exactes concernant cette situation clinique et votre prise en charge? a. Le Quick SOFA est à 3. b. Le score de Glasgow est à 13. c. Vous réalisez un ECG. d. Vous réalisez une glycémie capillaire. e. Vous demandez à l'infirmière de perfuser 500 mL de Voluven (HEA) en raison de l'hypotension. | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Info-antibio N°68: Juin 2016 Un service du journal Médecine et Maladies Infectieuses & de la SPILF (Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française), membre de la Fédération Française d’Infectiologie. Rédigé par le Dr S. Alfandari. Sources d’information nationales sur l’utilisation des antibiotiques Recommandations sur les ATB: infectiologie.com. ATB rationnelle en soins primaires : antibioclic.com ANSM : AMM des ATB, surveillance des effets indésirables. Site sur les ATB du Ministère de la Santé. Évaluation des pratiques : HAS - SPILF. Nouvelles définitions du sepsis publiés dans le numéro du 23 février 2016 du JAMA Consensus sepsis et choc septique évaluation des critères clinique du sepsis – définition et critères du choc septique Ces nouvelles définitions sont issues d’un groupe de travail de la « Society of Critical Care Medicine » et de la « European Society of Intensive Care Medicine ». Le processus a comporté une analyse de la littérature, la rédaction de critères sur la base d’une méthode delphi, une analyse « big data » de bases de données hospitalières. Le draft a ensuite été diffusé à de multiples sociétés savantes pour commentaires et approbation. Les définitions précédentes dataient de 2001, et maintenaient les concepts de sepsis, sepsis grave et choc septique proposés depuis Bone en 1991, reposant largement sur le niveau d’inflammation et une hypothèse de continuum entre les 3 concepts. Les nouvelles définitions du sepsis sont basées sur la dysfonction d’organe et le niveau de mortalité observé. Sepsis : Il est maintenant défini comme une dysfonction d’organe menaçant le pronostic vital et causé par une réponse inappropriée de l’hôte à une infection. Il n’y a plus de distinguo sepsis/sepsis grave. Il est aussi proposé une définition opérationnelle, pratique. Augmentation du score SOFA (Sequential Organ Failure Assessment) d’au moins 2 points lié à l’infection La mortalité hospitalière est estimée autour de 10%, justifiant d’une prise en charge adaptée rapide. Le SOFA basal est supposé être à zéro en l’absence de dysfonction d’organe, aigue ou chronique, prééexistante. Des critères simplifiés, utilisables hors réanimation, sont proposés en dépistage de patients pouvant avoir un sepsis: • Pression artérielle systolique ≤ 100 mm Hg • Fréquence respiratoire ≥ 22/mn • Confusion La présence de 2 critères quick SOFA (qSOFA) identifie des patients risquant d’avoir un mauvais pronostic et justifiant d’un monitorage accru, et/ou d’un traitement spécifique et/ou de prendre un avis en réanimation. Choc septique : sous groupe du sepsis avec anomalies importantes circulatoires et métabolique et une mortalité d’environ 40%. Il est défini par l’association de : • Sepsis • Besoin de drogues vasopressives pour maintenir une PAM ≥ 65 mm Hg • Lactates > 2 mmol/l (18mg/dl) malgré un remplissage adéquat Ces nouvelles définitions ont l’avantage supplémentaire de la simplicité. Un autre avantage est de supprimer la confusion, fréquente en pratique courante, entre sepsis et sepsis grave. Le SOFA est utilisé en routine en réanimation, et pour les services informatisés, facilement calculé automatiquement. Il devient par contre plus difficile, hors réanimation, de diagnostiquer un choc septique. Le quick SOFA est immédiatement accessible et très intuitif. A l’échelon individuel, il doit probablement être tempéré par l’état basal du patient (TA habituelle et confusion prééexistante). Calcul du score SOFA 0 point 1 point 2 points 3 points 4 point Le score de Glasgow (3 à 15) est obtenu par addition des chiffres relevés pour chacun des 3 items suivants : Critères Score : Observations : Ouverture des yeux (E) 4 Spontanée 3 A l’appel 2 A la douleur 1 Nulle Réponse verbale (V) 5 Orientée 4 Confuse 3 Incohérente 2 Incompréhensible 1 Aucune réponse Réponse motrice (M) 6 Volontaire (sur commande) A la stimulation douloureuse : 5 localisatrice 4 mouvement de retrait 3 stéréotypée en flexion 2 stéréotypée en extension 1 aucune réponse Le score de Glasgow est donc à 13. Le score de Glasgow ne teste pas les réflexes du tronc cérébral. Il est absolument nécessaire de faire une glycémie capillaire pour vérifier l'absence d' hypoglycémie en raison de la confusion. La perfusion de Voluven est contre indiquée en cas de sepsis en raison de la publication d'études qui ont montrées un risque d'augmentation de l'apparition d'insuffisance rénale aigue et d'une augmentation de la mortalité. Pour le remplissage vasculaire en cas de défaillance hémodynamique au cours du sepsis, vous devez utiliser en première intention du chlorure de sodium à 9 pour 1000. Il est aussi possible d'utiliser de l'albumine à 20% ou à 4%. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 1 | 642 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 2 | 643 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 3 | 644 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 4 | 645 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. Quelle est votre attitude pratique face à cette situation ? a. mise en place d'une oxygénothérapie à haut débit b. mettre un masque au patient c. vous ne mettez pas de masque car vous êtes vacciné contre la grippe d. remplissage vasculaire avec des colloïdes e. remplissage vasculaire avec des cristalloïdes | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il y a une suspicion de grippe, et même si vous êtes vacciné, vous devez mettre un masque et mettre un masque au patient. les colloïdes ne doivent plus être utilisés en raison de leurs effets secondaires (risque d'insuffisance rénale aigue, et augmentation de la mortalité au cours du sepsis). |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 5 | 646 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. Quelle est votre attitude pratique face à cette situation ? a. mise en place d'une oxygénothérapie à haut débit b. mettre un masque au patient c. vous ne mettez pas de masque car vous êtes vacciné contre la grippe d. remplissage vasculaire avec des colloïdes e. remplissage vasculaire avec des cristalloïdes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il y a une suspicion de grippe, et même si vous êtes vacciné, vous devez mettre un masque et mettre un masque au patient. les colloïdes ne doivent plus être utilisés en raison de leurs effets secondaires (risque d'insuffisance rénale aigue, et augmentation de la mortalité au cours du sepsis). Malgré un remplissage vasculaire adéquat, le patient garde une préssion artérielle à 80 mmHg. Quelle drogue vaso-active mettez-vous en place? a. Adrénaline b. Noradrénaline c. Dopamine d. Dobutamine e. Isoprénaline | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au cours du choc septique, l'hypovolémie relative (vaso dilatation) est l'element essentiel de la dysfonction vasculaire. Cela necessite donc après remplissage vasculaire adéquat l'utilisation d'un vaso-constricteur. La Noradrénaline est la drogue de choix en première intention. La Dopamine n'est plus utilisée. L'Isoprénaline est vaso-dilatatrice. La Dobutamine a une action inotrope positive et est vaso-dilatratrice. Elle n'est utlisée en association avec la Noradrénaline que qu'en il existe une dysfonction myocardique associée. L'Adrénaline est une alternative à l'association Dobutamine Noradrénaline. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 6 | 647 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. Quelle est votre attitude pratique face à cette situation ? a. mise en place d'une oxygénothérapie à haut débit b. mettre un masque au patient c. vous ne mettez pas de masque car vous êtes vacciné contre la grippe d. remplissage vasculaire avec des colloïdes e. remplissage vasculaire avec des cristalloïdes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il y a une suspicion de grippe, et même si vous êtes vacciné, vous devez mettre un masque et mettre un masque au patient. les colloïdes ne doivent plus être utilisés en raison de leurs effets secondaires (risque d'insuffisance rénale aigue, et augmentation de la mortalité au cours du sepsis). Malgré un remplissage vasculaire adéquat, le patient garde une préssion artérielle à 80 mmHg. Quelle drogue vaso-active mettez-vous en place? a. Adrénaline b. Noradrénaline c. Dopamine d. Dobutamine e. Isoprénaline A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au cours du choc septique, l'hypovolémie relative (vaso dilatation) est l'element essentiel de la dysfonction vasculaire. Cela necessite donc après remplissage vasculaire adéquat l'utilisation d'un vaso-constricteur. La Noradrénaline est la drogue de choix en première intention. La Dopamine n'est plus utilisée. L'Isoprénaline est vaso-dilatatrice. La Dobutamine a une action inotrope positive et est vaso-dilatratrice. Elle n'est utlisée en association avec la Noradrénaline que qu'en il existe une dysfonction myocardique associée. L'Adrénaline est une alternative à l'association Dobutamine Noradrénaline. Une antibiothéraphie probabiliste est mise en place. Quelles sont la ou les possibilités thérapeutiques? a. Cefotaxime et Ofloxacine b. Cefotaxime et Macrolide c. Cefotaxime et Amikacine d. Ofloxacine et Amikacine e. Cefotaxime | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement probabiliste anti-infectieux d'une pneumopathie communautaire associé à des signes de gravité repose sur l'association d'une céphalosporine de troisième génération avec une fluoroquilonone ou un macrolide. Ceci permet d'avoir une activité sur le pneumocoque et les germes intra-cellulaires. L'Amikacine diffuse mal dans le parenchyme pulmonaire et n'a pas d'activité sur les germes en cause. Le Cefotaxime n'a aucune activité sur les germes intra-cellulaires. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 7 | 648 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. Quelle est votre attitude pratique face à cette situation ? a. mise en place d'une oxygénothérapie à haut débit b. mettre un masque au patient c. vous ne mettez pas de masque car vous êtes vacciné contre la grippe d. remplissage vasculaire avec des colloïdes e. remplissage vasculaire avec des cristalloïdes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il y a une suspicion de grippe, et même si vous êtes vacciné, vous devez mettre un masque et mettre un masque au patient. les colloïdes ne doivent plus être utilisés en raison de leurs effets secondaires (risque d'insuffisance rénale aigue, et augmentation de la mortalité au cours du sepsis). Malgré un remplissage vasculaire adéquat, le patient garde une préssion artérielle à 80 mmHg. Quelle drogue vaso-active mettez-vous en place? a. Adrénaline b. Noradrénaline c. Dopamine d. Dobutamine e. Isoprénaline A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au cours du choc septique, l'hypovolémie relative (vaso dilatation) est l'element essentiel de la dysfonction vasculaire. Cela necessite donc après remplissage vasculaire adéquat l'utilisation d'un vaso-constricteur. La Noradrénaline est la drogue de choix en première intention. La Dopamine n'est plus utilisée. L'Isoprénaline est vaso-dilatatrice. La Dobutamine a une action inotrope positive et est vaso-dilatratrice. Elle n'est utlisée en association avec la Noradrénaline que qu'en il existe une dysfonction myocardique associée. L'Adrénaline est une alternative à l'association Dobutamine Noradrénaline. Une antibiothéraphie probabiliste est mise en place. Quelles sont la ou les possibilités thérapeutiques? a. Cefotaxime et Ofloxacine b. Cefotaxime et Macrolide c. Cefotaxime et Amikacine d. Ofloxacine et Amikacine e. Cefotaxime A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement probabiliste anti-infectieux d'une pneumopathie communautaire associé à des signes de gravité repose sur l'association d'une céphalosporine de troisième génération avec une fluoroquilonone ou un macrolide. Ceci permet d'avoir une activité sur le pneumocoque et les germes intra-cellulaires. L'Amikacine diffuse mal dans le parenchyme pulmonaire et n'a pas d'activité sur les germes en cause. Le Cefotaxime n'a aucune activité sur les germes intra-cellulaires. Le patient est admis en réanimation en raison de la gravité de son état, il doit être intubé et ventilé. La radio pulmonaire montre une extension des lésions avec un épanchement pleural droit, des opacités alvéolaires diffuses dans les deux champs pulmonaires ainsi que l’impression d’une image aérique au niveau du foyer de pneumonie. Les secrétions trachéales sont hémmoragiques . Il existe à l'examen direct des sécrétions trachéales des cocci gram + les gaz du sang sous ventilation mécanique et une FIO2 sous 100% montre un pH à 7.30 ; une PAO2 à 150 mmHg ; une PCO2 à 48 mmHg une RA à 17 mmol/L et une hyperlactacidémie à 5mmol/L. Le médecin réanimateur réalise un examen qui lui permet de porter avec certitude le diagnostic de SDRA. Quelles sont la ou les propositions justes ? a. le patient présente un SDRA sévère b. le patient présente un SDRA léger c. le patient présente un SDRA modéré d. l'examen réalisé par le médecin réanimateur pour porter le diagnostic de SDRA est un scanner thoracique e. le principe du traitement du SDRA repose sur une ventilation protectrice | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il est nécessaire de réaliser un examen permettant d'éliminer une dysfonction ventriculaire gauche. le scanner thoracique est important pour ce patient mais ce n'est pas cet examen qui permet de manière formelle de porter le diagnostic de SDRA. Se référer à la classification de Berlin pour la classification de la gravité du SDRA. la ventilation protectrice avec des petits volumes courants afin d'éviter le volotraumatisme et la barotraumatisme est un élément déterminant dans la prise en charge du SDRA. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 8 | 649 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. Quelle est votre attitude pratique face à cette situation ? a. mise en place d'une oxygénothérapie à haut débit b. mettre un masque au patient c. vous ne mettez pas de masque car vous êtes vacciné contre la grippe d. remplissage vasculaire avec des colloïdes e. remplissage vasculaire avec des cristalloïdes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il y a une suspicion de grippe, et même si vous êtes vacciné, vous devez mettre un masque et mettre un masque au patient. les colloïdes ne doivent plus être utilisés en raison de leurs effets secondaires (risque d'insuffisance rénale aigue, et augmentation de la mortalité au cours du sepsis). Malgré un remplissage vasculaire adéquat, le patient garde une préssion artérielle à 80 mmHg. Quelle drogue vaso-active mettez-vous en place? a. Adrénaline b. Noradrénaline c. Dopamine d. Dobutamine e. Isoprénaline A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au cours du choc septique, l'hypovolémie relative (vaso dilatation) est l'element essentiel de la dysfonction vasculaire. Cela necessite donc après remplissage vasculaire adéquat l'utilisation d'un vaso-constricteur. La Noradrénaline est la drogue de choix en première intention. La Dopamine n'est plus utilisée. L'Isoprénaline est vaso-dilatatrice. La Dobutamine a une action inotrope positive et est vaso-dilatratrice. Elle n'est utlisée en association avec la Noradrénaline que qu'en il existe une dysfonction myocardique associée. L'Adrénaline est une alternative à l'association Dobutamine Noradrénaline. Une antibiothéraphie probabiliste est mise en place. Quelles sont la ou les possibilités thérapeutiques? a. Cefotaxime et Ofloxacine b. Cefotaxime et Macrolide c. Cefotaxime et Amikacine d. Ofloxacine et Amikacine e. Cefotaxime A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement probabiliste anti-infectieux d'une pneumopathie communautaire associé à des signes de gravité repose sur l'association d'une céphalosporine de troisième génération avec une fluoroquilonone ou un macrolide. Ceci permet d'avoir une activité sur le pneumocoque et les germes intra-cellulaires. L'Amikacine diffuse mal dans le parenchyme pulmonaire et n'a pas d'activité sur les germes en cause. Le Cefotaxime n'a aucune activité sur les germes intra-cellulaires. Le patient est admis en réanimation en raison de la gravité de son état, il doit être intubé et ventilé. La radio pulmonaire montre une extension des lésions avec un épanchement pleural droit, des opacités alvéolaires diffuses dans les deux champs pulmonaires ainsi que l’impression d’une image aérique au niveau du foyer de pneumonie. Les secrétions trachéales sont hémmoragiques . Il existe à l'examen direct des sécrétions trachéales des cocci gram + les gaz du sang sous ventilation mécanique et une FIO2 sous 100% montre un pH à 7.30 ; une PAO2 à 150 mmHg ; une PCO2 à 48 mmHg une RA à 17 mmol/L et une hyperlactacidémie à 5mmol/L. Le médecin réanimateur réalise un examen qui lui permet de porter avec certitude le diagnostic de SDRA. Quelles sont la ou les propositions justes ? a. le patient présente un SDRA sévère b. le patient présente un SDRA léger c. le patient présente un SDRA modéré d. l'examen réalisé par le médecin réanimateur pour porter le diagnostic de SDRA est un scanner thoracique e. le principe du traitement du SDRA repose sur une ventilation protectrice A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il est nécessaire de réaliser un examen permettant d'éliminer une dysfonction ventriculaire gauche. le scanner thoracique est important pour ce patient mais ce n'est pas cet examen qui permet de manière formelle de porter le diagnostic de SDRA. Se référer à la classification de Berlin pour la classification de la gravité du SDRA. la ventilation protectrice avec des petits volumes courants afin d'éviter le volotraumatisme et la barotraumatisme est un élément déterminant dans la prise en charge du SDRA. Le médecin réanimateur a réalisé un scanner thoracique qui montre une pneumopathie nécrosante, quel est le germe le plus probablement responsable de ce tableau clinique ? a. pneumocoque b. Klebsiella pneumoniae c. legionella pneumophila d. entérocoque e. staphylocoque aureus | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. devant une pneumopathie nécrosante chez un jeune patient, sans antécédent particulier, il est nécessaire d'évoquer la responsabilité d'un staphylocoque aureus méti-sensible ou méti-résistant secrétant une leucocidine de panton valentine. cette pathologie présente une mortalité importante d'environ 50% et nécessite de mettre en route un traitement antibiotique probabiliste immédiat actif sur ce germe.Klebsiella pneumoniae et legionella pneumophila peuvent être responsables de pneumopathie nécrosante mais ce ne sont pas des cocci Gram+. l'entérocoque n'est pas responsable de pneumopathie nécrosante. le pneumocoque peut être responsable de pneumopathie nécrosante mais ce n'est pas habituel. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 9 | 650 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. Quelle est votre attitude pratique face à cette situation ? a. mise en place d'une oxygénothérapie à haut débit b. mettre un masque au patient c. vous ne mettez pas de masque car vous êtes vacciné contre la grippe d. remplissage vasculaire avec des colloïdes e. remplissage vasculaire avec des cristalloïdes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il y a une suspicion de grippe, et même si vous êtes vacciné, vous devez mettre un masque et mettre un masque au patient. les colloïdes ne doivent plus être utilisés en raison de leurs effets secondaires (risque d'insuffisance rénale aigue, et augmentation de la mortalité au cours du sepsis). Malgré un remplissage vasculaire adéquat, le patient garde une préssion artérielle à 80 mmHg. Quelle drogue vaso-active mettez-vous en place? a. Adrénaline b. Noradrénaline c. Dopamine d. Dobutamine e. Isoprénaline A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au cours du choc septique, l'hypovolémie relative (vaso dilatation) est l'element essentiel de la dysfonction vasculaire. Cela necessite donc après remplissage vasculaire adéquat l'utilisation d'un vaso-constricteur. La Noradrénaline est la drogue de choix en première intention. La Dopamine n'est plus utilisée. L'Isoprénaline est vaso-dilatatrice. La Dobutamine a une action inotrope positive et est vaso-dilatratrice. Elle n'est utlisée en association avec la Noradrénaline que qu'en il existe une dysfonction myocardique associée. L'Adrénaline est une alternative à l'association Dobutamine Noradrénaline. Une antibiothéraphie probabiliste est mise en place. Quelles sont la ou les possibilités thérapeutiques? a. Cefotaxime et Ofloxacine b. Cefotaxime et Macrolide c. Cefotaxime et Amikacine d. Ofloxacine et Amikacine e. Cefotaxime A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement probabiliste anti-infectieux d'une pneumopathie communautaire associé à des signes de gravité repose sur l'association d'une céphalosporine de troisième génération avec une fluoroquilonone ou un macrolide. Ceci permet d'avoir une activité sur le pneumocoque et les germes intra-cellulaires. L'Amikacine diffuse mal dans le parenchyme pulmonaire et n'a pas d'activité sur les germes en cause. Le Cefotaxime n'a aucune activité sur les germes intra-cellulaires. Le patient est admis en réanimation en raison de la gravité de son état, il doit être intubé et ventilé. La radio pulmonaire montre une extension des lésions avec un épanchement pleural droit, des opacités alvéolaires diffuses dans les deux champs pulmonaires ainsi que l’impression d’une image aérique au niveau du foyer de pneumonie. Les secrétions trachéales sont hémmoragiques . Il existe à l'examen direct des sécrétions trachéales des cocci gram + les gaz du sang sous ventilation mécanique et une FIO2 sous 100% montre un pH à 7.30 ; une PAO2 à 150 mmHg ; une PCO2 à 48 mmHg une RA à 17 mmol/L et une hyperlactacidémie à 5mmol/L. Le médecin réanimateur réalise un examen qui lui permet de porter avec certitude le diagnostic de SDRA. Quelles sont la ou les propositions justes ? a. le patient présente un SDRA sévère b. le patient présente un SDRA léger c. le patient présente un SDRA modéré d. l'examen réalisé par le médecin réanimateur pour porter le diagnostic de SDRA est un scanner thoracique e. le principe du traitement du SDRA repose sur une ventilation protectrice A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il est nécessaire de réaliser un examen permettant d'éliminer une dysfonction ventriculaire gauche. le scanner thoracique est important pour ce patient mais ce n'est pas cet examen qui permet de manière formelle de porter le diagnostic de SDRA. Se référer à la classification de Berlin pour la classification de la gravité du SDRA. la ventilation protectrice avec des petits volumes courants afin d'éviter le volotraumatisme et la barotraumatisme est un élément déterminant dans la prise en charge du SDRA. Le médecin réanimateur a réalisé un scanner thoracique qui montre une pneumopathie nécrosante, quel est le germe le plus probablement responsable de ce tableau clinique ? a. pneumocoque b. Klebsiella pneumoniae c. legionella pneumophila d. entérocoque e. staphylocoque aureus A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. devant une pneumopathie nécrosante chez un jeune patient, sans antécédent particulier, il est nécessaire d'évoquer la responsabilité d'un staphylocoque aureus méti-sensible ou méti-résistant secrétant une leucocidine de panton valentine. cette pathologie présente une mortalité importante d'environ 50% et nécessite de mettre en route un traitement antibiotique probabiliste immédiat actif sur ce germe.Klebsiella pneumoniae et legionella pneumophila peuvent être responsables de pneumopathie nécrosante mais ce ne sont pas des cocci Gram+. l'entérocoque n'est pas responsable de pneumopathie nécrosante. le pneumocoque peut être responsable de pneumopathie nécrosante mais ce n'est pas habituel. l'antibiothérapie est modifiée, quelle est la ou les propositions justes ? a. poursuite de céfotaxime et de l'ofloxacine avec ajout d'autres antibiotiques b. ajout de vancomycine en association avec le céfotaxime et de l'ofloxacine c. ajout de linézolide en association avec le céfotaxime et de l'ofloxacine et la vancomycine d. ajout de clindamycine avec le céfotaxime et de l'ofloxacine et la vancomycine e. ajout d'amikacine avec le céfotaxime et de l'ofloxacine | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. il est nécessaire de continuer à prendre en charge le pneumocoque et legionella pneumophila en maintenant le cefotaxime et l'ofloxacine. Il est nécessaire de prendre en charge un possible staphylocoque aureus méti-sensible ou méti-résistant secrétant une leucocidine de panton valentine. il est donc nécessaire d'avoir une activité bactéricide mais aussi anti-toxinique. la vancomycine a une activité anti staphylococcique avec une bactericidie lente mais n'inhibe pas l'expression de cette toxine. le linézolide et la clindamycine ont une activité anti staphylococcique bactériostatique mais inhibent la synthèse de cette toxine. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 10 | 651 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. Quelle est votre attitude pratique face à cette situation ? a. mise en place d'une oxygénothérapie à haut débit b. mettre un masque au patient c. vous ne mettez pas de masque car vous êtes vacciné contre la grippe d. remplissage vasculaire avec des colloïdes e. remplissage vasculaire avec des cristalloïdes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il y a une suspicion de grippe, et même si vous êtes vacciné, vous devez mettre un masque et mettre un masque au patient. les colloïdes ne doivent plus être utilisés en raison de leurs effets secondaires (risque d'insuffisance rénale aigue, et augmentation de la mortalité au cours du sepsis). Malgré un remplissage vasculaire adéquat, le patient garde une préssion artérielle à 80 mmHg. Quelle drogue vaso-active mettez-vous en place? a. Adrénaline b. Noradrénaline c. Dopamine d. Dobutamine e. Isoprénaline A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au cours du choc septique, l'hypovolémie relative (vaso dilatation) est l'element essentiel de la dysfonction vasculaire. Cela necessite donc après remplissage vasculaire adéquat l'utilisation d'un vaso-constricteur. La Noradrénaline est la drogue de choix en première intention. La Dopamine n'est plus utilisée. L'Isoprénaline est vaso-dilatatrice. La Dobutamine a une action inotrope positive et est vaso-dilatratrice. Elle n'est utlisée en association avec la Noradrénaline que qu'en il existe une dysfonction myocardique associée. L'Adrénaline est une alternative à l'association Dobutamine Noradrénaline. Une antibiothéraphie probabiliste est mise en place. Quelles sont la ou les possibilités thérapeutiques? a. Cefotaxime et Ofloxacine b. Cefotaxime et Macrolide c. Cefotaxime et Amikacine d. Ofloxacine et Amikacine e. Cefotaxime A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement probabiliste anti-infectieux d'une pneumopathie communautaire associé à des signes de gravité repose sur l'association d'une céphalosporine de troisième génération avec une fluoroquilonone ou un macrolide. Ceci permet d'avoir une activité sur le pneumocoque et les germes intra-cellulaires. L'Amikacine diffuse mal dans le parenchyme pulmonaire et n'a pas d'activité sur les germes en cause. Le Cefotaxime n'a aucune activité sur les germes intra-cellulaires. Le patient est admis en réanimation en raison de la gravité de son état, il doit être intubé et ventilé. La radio pulmonaire montre une extension des lésions avec un épanchement pleural droit, des opacités alvéolaires diffuses dans les deux champs pulmonaires ainsi que l’impression d’une image aérique au niveau du foyer de pneumonie. Les secrétions trachéales sont hémmoragiques . Il existe à l'examen direct des sécrétions trachéales des cocci gram + les gaz du sang sous ventilation mécanique et une FIO2 sous 100% montre un pH à 7.30 ; une PAO2 à 150 mmHg ; une PCO2 à 48 mmHg une RA à 17 mmol/L et une hyperlactacidémie à 5mmol/L. Le médecin réanimateur réalise un examen qui lui permet de porter avec certitude le diagnostic de SDRA. Quelles sont la ou les propositions justes ? a. le patient présente un SDRA sévère b. le patient présente un SDRA léger c. le patient présente un SDRA modéré d. l'examen réalisé par le médecin réanimateur pour porter le diagnostic de SDRA est un scanner thoracique e. le principe du traitement du SDRA repose sur une ventilation protectrice A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il est nécessaire de réaliser un examen permettant d'éliminer une dysfonction ventriculaire gauche. le scanner thoracique est important pour ce patient mais ce n'est pas cet examen qui permet de manière formelle de porter le diagnostic de SDRA. Se référer à la classification de Berlin pour la classification de la gravité du SDRA. la ventilation protectrice avec des petits volumes courants afin d'éviter le volotraumatisme et la barotraumatisme est un élément déterminant dans la prise en charge du SDRA. Le médecin réanimateur a réalisé un scanner thoracique qui montre une pneumopathie nécrosante, quel est le germe le plus probablement responsable de ce tableau clinique ? a. pneumocoque b. Klebsiella pneumoniae c. legionella pneumophila d. entérocoque e. staphylocoque aureus A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. devant une pneumopathie nécrosante chez un jeune patient, sans antécédent particulier, il est nécessaire d'évoquer la responsabilité d'un staphylocoque aureus méti-sensible ou méti-résistant secrétant une leucocidine de panton valentine. cette pathologie présente une mortalité importante d'environ 50% et nécessite de mettre en route un traitement antibiotique probabiliste immédiat actif sur ce germe.Klebsiella pneumoniae et legionella pneumophila peuvent être responsables de pneumopathie nécrosante mais ce ne sont pas des cocci Gram+. l'entérocoque n'est pas responsable de pneumopathie nécrosante. le pneumocoque peut être responsable de pneumopathie nécrosante mais ce n'est pas habituel. l'antibiothérapie est modifiée, quelle est la ou les propositions justes ? a. poursuite de céfotaxime et de l'ofloxacine avec ajout d'autres antibiotiques b. ajout de vancomycine en association avec le céfotaxime et de l'ofloxacine c. ajout de linézolide en association avec le céfotaxime et de l'ofloxacine et la vancomycine d. ajout de clindamycine avec le céfotaxime et de l'ofloxacine et la vancomycine e. ajout d'amikacine avec le céfotaxime et de l'ofloxacine A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. il est nécessaire de continuer à prendre en charge le pneumocoque et legionella pneumophila en maintenant le cefotaxime et l'ofloxacine. Il est nécessaire de prendre en charge un possible staphylocoque aureus méti-sensible ou méti-résistant secrétant une leucocidine de panton valentine. il est donc nécessaire d'avoir une activité bactéricide mais aussi anti-toxinique. la vancomycine a une activité anti staphylococcique avec une bactericidie lente mais n'inhibe pas l'expression de cette toxine. le linézolide et la clindamycine ont une activité anti staphylococcique bactériostatique mais inhibent la synthèse de cette toxine. à propos du staphylocoque aureus secrétant la Leucocidine de Panton-Valentine (PLV), quelle(s) sont la ou les propositions justes ? a. le staphylocoque aureus méti-résistant peut secréter une PLV b. le staphylocoque aureus méti-sensible peut secréter une PLV c. environ 20% des staphylocoque aureus secrétent une PLV d. les staphylocoques aureus secrétant une PLV sont le plus souvent d'origine nosocomiale e. les staphylocoques aureus secrétant une PLV sont le plus souvent d'origine communautaire | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 51 | 11 | 652 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Un patient de 19 ans est adressé par son médecin traitant aux urgences pour hyperthermie, dyspnée et toux évoluant depuis plus de 72h malgré un traitement par AUGMENTINR . A l’examen on note : température à 39.3°C, fréquence respiratoire à 32/min, fréquence cardiaque à 120/min, une cyanose des extrémités et des marbrures des genoux. Il n’existe pas de signe de focalisation neurologique ni de raideur méningée. L’abdomen est souple, non douloureux. Il n’y a pas de lésion cutanée. À l’auscultation pulmonaire on note des râles crépitants dans le champ pulmonaire droit où on perçoit aussi un souffle tubaire. Le patient ouvre les yeux à la douleur, a une réponse motrice à la douleur et tient des propos confus. La toux est grasse mais peu productive. La saturation percutanée en oxygène est mesurée à 70% en air ambiant. Les bruits du cœur sont réguliers sans souffle audible. Il n’y a pas d’insuffisance cardiaque droite ou gauche et l’examen des membres inférieurs est sans particularité. L’interrogatoire de la maman qui est venue aux urgences avec son fils vous apprend qu’il est lycéen en terminale S ayant redoublé sa première suite à une conduite addictive concernant une toxicomanie par voie intra veineuse mais dont la prise en charge efficace a permis à son fils de retrouver une vie normale. Il a présenté un syndrome grippal quelques jours auparavant. Les examens complémentaires montrent les résultats suivants : ECG: normal Radiographie du thorax réalisé en ville 24 h avant hospitalisation aux urgences: pneumopathie lobe moyen droit Biologie : sodium 136 mmol/L ; potassium 5.3 mmol/L ; chlore 91 mmol/L ; protéine 70g/L ; créatinine 200µmol/L ; urée 18 mmol/L ; glycémie 8.2 mmol/L ; bilirubine totale 19 µmol/L ; leucocytes 3000 /mm3 ; hématies 4 500 000/ mm3 ; hémoglobine 13.3g/dl ; plaquettes 80 000 / mm3 ; TP 40% ; fibrinogène 2g/L ; INR 1.8. GDS sous oxygène à 6L /min : pH 7.30 ; PAO2 55 mmHg ; PACO2 48 mmHg ; SAO2 88% ; bicarbonate 15 mmol/L. A propos de l'Augmentin® ? Quels sont la ou les propositions justes ? a. l'Augmentin® est une association d'amoxicilline, et d'acide clavulanique b. l'Augmentin® est une association d'ampicilline et d'acide clavulanique c. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des pénicillinases d. l'acide clavulanique inhibe essentiellement des céphalosporinases e. l'Augmentin® est plus actif sur le pneumocoque que la pénicilline seule A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. l'acide clavulanique est un inhibiteur de bêta-lactamase ayant une action essentiellement sur les pénicillinases. l'ampicilline est en association avec un autre inhibateur de bêta-lactamase qui est le sulbactam. le mécanisme de résistance des pneumocoques aux bêta-lactamines est une modification de la cible et non pas une sécrétion de bêta-lactamases. Quel est le score de Glasgow de ce patient ? a. Y2 M5 V4 b. Y3 M4 V4 c. Y3 M5 V2 d. Y4 M5 V2 e. Y4 M4 V2 A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Il faut connaitre le score de Glasgow. le patient ouvre les yeux à la douleur (Y2), a une réponse motrice à la douleur (M5) et a des propos confus (V4). son score de Glasgow est à 11. concernant les examens biologiques à votre disposition, quels sont la ou les propositions justes ? a. Potassium probablement supérieur à 6 mmol/L b. le trou anionique est à 20 c. il existe une acidose mixte métabolique et respiratoire non compensée d. il n'existe qu' une acidose respiratoire non compensée e. il existe une CIVD biologique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. ECG normal donc potassium à priori normal la PAC02 est augmentée à 48mmHg, et les bicabonartes sont diminuées à 15mmol/L. il s'agit donc d'une acidose mixte non compensée (Ph <7,38) il est possible de calculer le trou anionique sans le potassium. Quelle est votre attitude pratique face à cette situation ? a. mise en place d'une oxygénothérapie à haut débit b. mettre un masque au patient c. vous ne mettez pas de masque car vous êtes vacciné contre la grippe d. remplissage vasculaire avec des colloïdes e. remplissage vasculaire avec des cristalloïdes A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il y a une suspicion de grippe, et même si vous êtes vacciné, vous devez mettre un masque et mettre un masque au patient. les colloïdes ne doivent plus être utilisés en raison de leurs effets secondaires (risque d'insuffisance rénale aigue, et augmentation de la mortalité au cours du sepsis). Malgré un remplissage vasculaire adéquat, le patient garde une préssion artérielle à 80 mmHg. Quelle drogue vaso-active mettez-vous en place? a. Adrénaline b. Noradrénaline c. Dopamine d. Dobutamine e. Isoprénaline A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Au cours du choc septique, l'hypovolémie relative (vaso dilatation) est l'element essentiel de la dysfonction vasculaire. Cela necessite donc après remplissage vasculaire adéquat l'utilisation d'un vaso-constricteur. La Noradrénaline est la drogue de choix en première intention. La Dopamine n'est plus utilisée. L'Isoprénaline est vaso-dilatatrice. La Dobutamine a une action inotrope positive et est vaso-dilatratrice. Elle n'est utlisée en association avec la Noradrénaline que qu'en il existe une dysfonction myocardique associée. L'Adrénaline est une alternative à l'association Dobutamine Noradrénaline. Une antibiothéraphie probabiliste est mise en place. Quelles sont la ou les possibilités thérapeutiques? a. Cefotaxime et Ofloxacine b. Cefotaxime et Macrolide c. Cefotaxime et Amikacine d. Ofloxacine et Amikacine e. Cefotaxime A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le traitement probabiliste anti-infectieux d'une pneumopathie communautaire associé à des signes de gravité repose sur l'association d'une céphalosporine de troisième génération avec une fluoroquilonone ou un macrolide. Ceci permet d'avoir une activité sur le pneumocoque et les germes intra-cellulaires. L'Amikacine diffuse mal dans le parenchyme pulmonaire et n'a pas d'activité sur les germes en cause. Le Cefotaxime n'a aucune activité sur les germes intra-cellulaires. Le patient est admis en réanimation en raison de la gravité de son état, il doit être intubé et ventilé. La radio pulmonaire montre une extension des lésions avec un épanchement pleural droit, des opacités alvéolaires diffuses dans les deux champs pulmonaires ainsi que l’impression d’une image aérique au niveau du foyer de pneumonie. Les secrétions trachéales sont hémmoragiques . Il existe à l'examen direct des sécrétions trachéales des cocci gram + les gaz du sang sous ventilation mécanique et une FIO2 sous 100% montre un pH à 7.30 ; une PAO2 à 150 mmHg ; une PCO2 à 48 mmHg une RA à 17 mmol/L et une hyperlactacidémie à 5mmol/L. Le médecin réanimateur réalise un examen qui lui permet de porter avec certitude le diagnostic de SDRA. Quelles sont la ou les propositions justes ? a. le patient présente un SDRA sévère b. le patient présente un SDRA léger c. le patient présente un SDRA modéré d. l'examen réalisé par le médecin réanimateur pour porter le diagnostic de SDRA est un scanner thoracique e. le principe du traitement du SDRA repose sur une ventilation protectrice A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. il est nécessaire de réaliser un examen permettant d'éliminer une dysfonction ventriculaire gauche. le scanner thoracique est important pour ce patient mais ce n'est pas cet examen qui permet de manière formelle de porter le diagnostic de SDRA. Se référer à la classification de Berlin pour la classification de la gravité du SDRA. la ventilation protectrice avec des petits volumes courants afin d'éviter le volotraumatisme et la barotraumatisme est un élément déterminant dans la prise en charge du SDRA. Le médecin réanimateur a réalisé un scanner thoracique qui montre une pneumopathie nécrosante, quel est le germe le plus probablement responsable de ce tableau clinique ? a. pneumocoque b. Klebsiella pneumoniae c. legionella pneumophila d. entérocoque e. staphylocoque aureus A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct et indispensable. devant une pneumopathie nécrosante chez un jeune patient, sans antécédent particulier, il est nécessaire d'évoquer la responsabilité d'un staphylocoque aureus méti-sensible ou méti-résistant secrétant une leucocidine de panton valentine. cette pathologie présente une mortalité importante d'environ 50% et nécessite de mettre en route un traitement antibiotique probabiliste immédiat actif sur ce germe.Klebsiella pneumoniae et legionella pneumophila peuvent être responsables de pneumopathie nécrosante mais ce ne sont pas des cocci Gram+. l'entérocoque n'est pas responsable de pneumopathie nécrosante. le pneumocoque peut être responsable de pneumopathie nécrosante mais ce n'est pas habituel. l'antibiothérapie est modifiée, quelle est la ou les propositions justes ? a. poursuite de céfotaxime et de l'ofloxacine avec ajout d'autres antibiotiques b. ajout de vancomycine en association avec le céfotaxime et de l'ofloxacine c. ajout de linézolide en association avec le céfotaxime et de l'ofloxacine et la vancomycine d. ajout de clindamycine avec le céfotaxime et de l'ofloxacine et la vancomycine e. ajout d'amikacine avec le céfotaxime et de l'ofloxacine A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. il est nécessaire de continuer à prendre en charge le pneumocoque et legionella pneumophila en maintenant le cefotaxime et l'ofloxacine. Il est nécessaire de prendre en charge un possible staphylocoque aureus méti-sensible ou méti-résistant secrétant une leucocidine de panton valentine. il est donc nécessaire d'avoir une activité bactéricide mais aussi anti-toxinique. la vancomycine a une activité anti staphylococcique avec une bactericidie lente mais n'inhibe pas l'expression de cette toxine. le linézolide et la clindamycine ont une activité anti staphylococcique bactériostatique mais inhibent la synthèse de cette toxine. à propos du staphylocoque aureus secrétant la Leucocidine de Panton-Valentine (PLV), quelle(s) sont la ou les propositions justes ? a. le staphylocoque aureus méti-résistant peut secréter une PLV b. le staphylocoque aureus méti-sensible peut secréter une PLV c. environ 20% des staphylocoque aureus secrétent une PLV d. les staphylocoques aureus secrétant une PLV sont le plus souvent d'origine nosocomiale e. les staphylocoques aureus secrétant une PLV sont le plus souvent d'origine communautaire A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. En raison du contexte décrit dans la vignette clinique initiale, vous décidez de réaliser des examens biologiques. Quelle est la ou les propositions justes? a. Sérologie HiV b. Sérologie Hépatite B c. Sérologie Hépatite C d. Sérologie mycoplasme e. Sérologie Syphilis | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Le patient ayant des antécedants de toxycomanie intraveineuse il faut rechercher une infection à virus HiV et les Hépatite B et C. Les sérologie mycoplasme et syphilis n'ont pas d'intérêt dans ce contexte là. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 1 | 654 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 2 | 655 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 3 | 656 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 4 | 657 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 5 | 658 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. Vous recevez le patient suivant. Il s'agit d'un garçon, c'est le premier enfant d'un couple âgé de 20 ans. Il est âgé de 3 mois, et nourri par allaitement artificiel (lait premier âge). Il prend bien ses biberons et pèse 5,5 kg (pour un poids à 4,7 kg à la consultation des 2 mois). Il présente des vomissements alimentaires post-prandiaux de moyenne abondance, au moment où il est "recouché", selon la mère. Quelle devrait être sa ration alimentaire? a. Entre 200 et 300 ml par jour b. Entre 400 et 500 ml par jour c. Entre 600 et 700 ml par jour d. Entre 800 et 900 ml par jour e. Entre 1000 et 1100 ml par jour | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. REGLE D'APPERT: Ration à proposer à l'enfant (en ml) = (Poids en grammes/10)+250 ml. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 6 | 659 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. Vous recevez le patient suivant. Il s'agit d'un garçon, c'est le premier enfant d'un couple âgé de 20 ans. Il est âgé de 3 mois, et nourri par allaitement artificiel (lait premier âge). Il prend bien ses biberons et pèse 5,5 kg (pour un poids à 4,7 kg à la consultation des 2 mois). Il présente des vomissements alimentaires post-prandiaux de moyenne abondance, au moment où il est "recouché", selon la mère. Quelle devrait être sa ration alimentaire? a. Entre 200 et 300 ml par jour b. Entre 400 et 500 ml par jour c. Entre 600 et 700 ml par jour d. Entre 800 et 900 ml par jour e. Entre 1000 et 1100 ml par jour A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. REGLE D'APPERT: Ration à proposer à l'enfant (en ml) = (Poids en grammes/10)+250 ml. L’enfant boit 5x160 ml de lait premier âge par jour. Le transit est normal. Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ? a. Intolérance aux protéines de lait de vache b. Invagination intestinale aigüe c. Oesophagite d. Reflux gastro-oesophagien non compliqué e. Sténose du pylore | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans l'intolérance aux protéines de lait de vache, on retrouve des signes assosiés (une éruption cutanée, un trouble du transit, une stagnation de la courbe pondérale...) L'invagination intestinale aiguë se révèle classiquement par un malaise douloureux avec pâleur, des rectorragies. En cas d'oesophagite l'enfant est douloureux à la prise des biberons, il a des difficultés à les finir, une hématémèse peut survenir. Sténose du pylore: âge non en faveur, absence de cassure de la courbe pondérale. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 7 | 660 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. Vous recevez le patient suivant. Il s'agit d'un garçon, c'est le premier enfant d'un couple âgé de 20 ans. Il est âgé de 3 mois, et nourri par allaitement artificiel (lait premier âge). Il prend bien ses biberons et pèse 5,5 kg (pour un poids à 4,7 kg à la consultation des 2 mois). Il présente des vomissements alimentaires post-prandiaux de moyenne abondance, au moment où il est "recouché", selon la mère. Quelle devrait être sa ration alimentaire? a. Entre 200 et 300 ml par jour b. Entre 400 et 500 ml par jour c. Entre 600 et 700 ml par jour d. Entre 800 et 900 ml par jour e. Entre 1000 et 1100 ml par jour A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. REGLE D'APPERT: Ration à proposer à l'enfant (en ml) = (Poids en grammes/10)+250 ml. L’enfant boit 5x160 ml de lait premier âge par jour. Le transit est normal. Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ? a. Intolérance aux protéines de lait de vache b. Invagination intestinale aigüe c. Oesophagite d. Reflux gastro-oesophagien non compliqué e. Sténose du pylore A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans l'intolérance aux protéines de lait de vache, on retrouve des signes assosiés (une éruption cutanée, un trouble du transit, une stagnation de la courbe pondérale...) L'invagination intestinale aiguë se révèle classiquement par un malaise douloureux avec pâleur, des rectorragies. En cas d'oesophagite l'enfant est douloureux à la prise des biberons, il a des difficultés à les finir, une hématémèse peut survenir. Sténose du pylore: âge non en faveur, absence de cassure de la courbe pondérale. Vous retenez un reflux gastro-oesophagien non compliqué. Quels moyens thérapeutiques prescrivez vous en 1 ère intention ? a. Changement du lait pour un hydrolysat de protéines de lait de vache b. épaississement du lait c. Inhibiteur de la pompe à protons d. Proclive dorsal 30° e. Prokinétique | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas d'indication de prokinétique en 1ère intention. En 1ère intention ce sont les règles hygiéno diététiques qui sont indiquées. L'IPP n'est en aucun cas le traitement du RGO non compliqué. Il est indiqué en cas d'oesophagite. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 8 | 661 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. Vous recevez le patient suivant. Il s'agit d'un garçon, c'est le premier enfant d'un couple âgé de 20 ans. Il est âgé de 3 mois, et nourri par allaitement artificiel (lait premier âge). Il prend bien ses biberons et pèse 5,5 kg (pour un poids à 4,7 kg à la consultation des 2 mois). Il présente des vomissements alimentaires post-prandiaux de moyenne abondance, au moment où il est "recouché", selon la mère. Quelle devrait être sa ration alimentaire? a. Entre 200 et 300 ml par jour b. Entre 400 et 500 ml par jour c. Entre 600 et 700 ml par jour d. Entre 800 et 900 ml par jour e. Entre 1000 et 1100 ml par jour A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. REGLE D'APPERT: Ration à proposer à l'enfant (en ml) = (Poids en grammes/10)+250 ml. L’enfant boit 5x160 ml de lait premier âge par jour. Le transit est normal. Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ? a. Intolérance aux protéines de lait de vache b. Invagination intestinale aigüe c. Oesophagite d. Reflux gastro-oesophagien non compliqué e. Sténose du pylore A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans l'intolérance aux protéines de lait de vache, on retrouve des signes assosiés (une éruption cutanée, un trouble du transit, une stagnation de la courbe pondérale...) L'invagination intestinale aiguë se révèle classiquement par un malaise douloureux avec pâleur, des rectorragies. En cas d'oesophagite l'enfant est douloureux à la prise des biberons, il a des difficultés à les finir, une hématémèse peut survenir. Sténose du pylore: âge non en faveur, absence de cassure de la courbe pondérale. Vous retenez un reflux gastro-oesophagien non compliqué. Quels moyens thérapeutiques prescrivez vous en 1 ère intention ? a. Changement du lait pour un hydrolysat de protéines de lait de vache b. épaississement du lait c. Inhibiteur de la pompe à protons d. Proclive dorsal 30° e. Prokinétique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas d'indication de prokinétique en 1ère intention. En 1ère intention ce sont les règles hygiéno diététiques qui sont indiquées. L'IPP n'est en aucun cas le traitement du RGO non compliqué. Il est indiqué en cas d'oesophagite. Vous le revoyez pour l’examen des 9 mois. Quelles devraient être ses acquisitions psychomotrices ? a. A peur de l'étranger b. Donne sur ordre c. Marche à 4 pattes d. Tient debout avec appui e. Tient son biberon | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'enfant donne sur ordre à partir de 1 an. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 9 | 662 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. Vous recevez le patient suivant. Il s'agit d'un garçon, c'est le premier enfant d'un couple âgé de 20 ans. Il est âgé de 3 mois, et nourri par allaitement artificiel (lait premier âge). Il prend bien ses biberons et pèse 5,5 kg (pour un poids à 4,7 kg à la consultation des 2 mois). Il présente des vomissements alimentaires post-prandiaux de moyenne abondance, au moment où il est "recouché", selon la mère. Quelle devrait être sa ration alimentaire? a. Entre 200 et 300 ml par jour b. Entre 400 et 500 ml par jour c. Entre 600 et 700 ml par jour d. Entre 800 et 900 ml par jour e. Entre 1000 et 1100 ml par jour A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. REGLE D'APPERT: Ration à proposer à l'enfant (en ml) = (Poids en grammes/10)+250 ml. L’enfant boit 5x160 ml de lait premier âge par jour. Le transit est normal. Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ? a. Intolérance aux protéines de lait de vache b. Invagination intestinale aigüe c. Oesophagite d. Reflux gastro-oesophagien non compliqué e. Sténose du pylore A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans l'intolérance aux protéines de lait de vache, on retrouve des signes assosiés (une éruption cutanée, un trouble du transit, une stagnation de la courbe pondérale...) L'invagination intestinale aiguë se révèle classiquement par un malaise douloureux avec pâleur, des rectorragies. En cas d'oesophagite l'enfant est douloureux à la prise des biberons, il a des difficultés à les finir, une hématémèse peut survenir. Sténose du pylore: âge non en faveur, absence de cassure de la courbe pondérale. Vous retenez un reflux gastro-oesophagien non compliqué. Quels moyens thérapeutiques prescrivez vous en 1 ère intention ? a. Changement du lait pour un hydrolysat de protéines de lait de vache b. épaississement du lait c. Inhibiteur de la pompe à protons d. Proclive dorsal 30° e. Prokinétique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas d'indication de prokinétique en 1ère intention. En 1ère intention ce sont les règles hygiéno diététiques qui sont indiquées. L'IPP n'est en aucun cas le traitement du RGO non compliqué. Il est indiqué en cas d'oesophagite. Vous le revoyez pour l’examen des 9 mois. Quelles devraient être ses acquisitions psychomotrices ? a. A peur de l'étranger b. Donne sur ordre c. Marche à 4 pattes d. Tient debout avec appui e. Tient son biberon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'enfant donne sur ordre à partir de 1 an. Vous le revoyez quelques mois plus tard, il est alors âgé de 3 ans et demi, il présente de la fièvre depuis 48 heures, bien tolérée. L'examen retrouve des adénopathies cervicales bilatérales, et une angine érythémateuse. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) réalisez vous en première intention ? a. Aucun examen complémentaire b. Numération formule sanguine, protéine C réactive, procalcitonine c. Radiographie thoracique d. Sérologie Ebstein Barr Virus e. Test de diagnostic rapide du Streptocoque de groupe A | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Devant une angine érythémateuse ou érythémato-pultacée, il est recommandé de pratiquer un TDR chez tous les enfants à partir de 3 ans (AFSSAPS 2011). |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 10 | 663 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. Vous recevez le patient suivant. Il s'agit d'un garçon, c'est le premier enfant d'un couple âgé de 20 ans. Il est âgé de 3 mois, et nourri par allaitement artificiel (lait premier âge). Il prend bien ses biberons et pèse 5,5 kg (pour un poids à 4,7 kg à la consultation des 2 mois). Il présente des vomissements alimentaires post-prandiaux de moyenne abondance, au moment où il est "recouché", selon la mère. Quelle devrait être sa ration alimentaire? a. Entre 200 et 300 ml par jour b. Entre 400 et 500 ml par jour c. Entre 600 et 700 ml par jour d. Entre 800 et 900 ml par jour e. Entre 1000 et 1100 ml par jour A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. REGLE D'APPERT: Ration à proposer à l'enfant (en ml) = (Poids en grammes/10)+250 ml. L’enfant boit 5x160 ml de lait premier âge par jour. Le transit est normal. Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ? a. Intolérance aux protéines de lait de vache b. Invagination intestinale aigüe c. Oesophagite d. Reflux gastro-oesophagien non compliqué e. Sténose du pylore A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans l'intolérance aux protéines de lait de vache, on retrouve des signes assosiés (une éruption cutanée, un trouble du transit, une stagnation de la courbe pondérale...) L'invagination intestinale aiguë se révèle classiquement par un malaise douloureux avec pâleur, des rectorragies. En cas d'oesophagite l'enfant est douloureux à la prise des biberons, il a des difficultés à les finir, une hématémèse peut survenir. Sténose du pylore: âge non en faveur, absence de cassure de la courbe pondérale. Vous retenez un reflux gastro-oesophagien non compliqué. Quels moyens thérapeutiques prescrivez vous en 1 ère intention ? a. Changement du lait pour un hydrolysat de protéines de lait de vache b. épaississement du lait c. Inhibiteur de la pompe à protons d. Proclive dorsal 30° e. Prokinétique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas d'indication de prokinétique en 1ère intention. En 1ère intention ce sont les règles hygiéno diététiques qui sont indiquées. L'IPP n'est en aucun cas le traitement du RGO non compliqué. Il est indiqué en cas d'oesophagite. Vous le revoyez pour l’examen des 9 mois. Quelles devraient être ses acquisitions psychomotrices ? a. A peur de l'étranger b. Donne sur ordre c. Marche à 4 pattes d. Tient debout avec appui e. Tient son biberon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'enfant donne sur ordre à partir de 1 an. Vous le revoyez quelques mois plus tard, il est alors âgé de 3 ans et demi, il présente de la fièvre depuis 48 heures, bien tolérée. L'examen retrouve des adénopathies cervicales bilatérales, et une angine érythémateuse. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) réalisez vous en première intention ? a. Aucun examen complémentaire b. Numération formule sanguine, protéine C réactive, procalcitonine c. Radiographie thoracique d. Sérologie Ebstein Barr Virus e. Test de diagnostic rapide du Streptocoque de groupe A A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Devant une angine érythémateuse ou érythémato-pultacée, il est recommandé de pratiquer un TDR chez tous les enfants à partir de 3 ans (AFSSAPS 2011). Vous posez l’indication du test de diagnostic rapide du Streptocoque de groupe A. Quelle serait votre prise en charge thérapeutique en cas de positivité du test ? a. Amoxicilline 100 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 6 jours b. Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 6 jours c. Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 10 jours d. Paracétamol 60 mg/kg/6 heures par voire orale si température > 38.5°C e. Paracétamol 15 mg/kg/6 heures par voie orale si température > 38.5°C | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. TDR: Spécificité 95% Sensibilité 90% Traitement angine: AFSSAPS novembre 2011 Le traitement anti pyrétique contient le paracétamol et les mesures physiques (ne pas couvrir l'enfant, aérer la pièce, hydratation abondante) AFSSAPS janvier 2005. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 11 | 664 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. Vous recevez le patient suivant. Il s'agit d'un garçon, c'est le premier enfant d'un couple âgé de 20 ans. Il est âgé de 3 mois, et nourri par allaitement artificiel (lait premier âge). Il prend bien ses biberons et pèse 5,5 kg (pour un poids à 4,7 kg à la consultation des 2 mois). Il présente des vomissements alimentaires post-prandiaux de moyenne abondance, au moment où il est "recouché", selon la mère. Quelle devrait être sa ration alimentaire? a. Entre 200 et 300 ml par jour b. Entre 400 et 500 ml par jour c. Entre 600 et 700 ml par jour d. Entre 800 et 900 ml par jour e. Entre 1000 et 1100 ml par jour A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. REGLE D'APPERT: Ration à proposer à l'enfant (en ml) = (Poids en grammes/10)+250 ml. L’enfant boit 5x160 ml de lait premier âge par jour. Le transit est normal. Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ? a. Intolérance aux protéines de lait de vache b. Invagination intestinale aigüe c. Oesophagite d. Reflux gastro-oesophagien non compliqué e. Sténose du pylore A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans l'intolérance aux protéines de lait de vache, on retrouve des signes assosiés (une éruption cutanée, un trouble du transit, une stagnation de la courbe pondérale...) L'invagination intestinale aiguë se révèle classiquement par un malaise douloureux avec pâleur, des rectorragies. En cas d'oesophagite l'enfant est douloureux à la prise des biberons, il a des difficultés à les finir, une hématémèse peut survenir. Sténose du pylore: âge non en faveur, absence de cassure de la courbe pondérale. Vous retenez un reflux gastro-oesophagien non compliqué. Quels moyens thérapeutiques prescrivez vous en 1 ère intention ? a. Changement du lait pour un hydrolysat de protéines de lait de vache b. épaississement du lait c. Inhibiteur de la pompe à protons d. Proclive dorsal 30° e. Prokinétique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas d'indication de prokinétique en 1ère intention. En 1ère intention ce sont les règles hygiéno diététiques qui sont indiquées. L'IPP n'est en aucun cas le traitement du RGO non compliqué. Il est indiqué en cas d'oesophagite. Vous le revoyez pour l’examen des 9 mois. Quelles devraient être ses acquisitions psychomotrices ? a. A peur de l'étranger b. Donne sur ordre c. Marche à 4 pattes d. Tient debout avec appui e. Tient son biberon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'enfant donne sur ordre à partir de 1 an. Vous le revoyez quelques mois plus tard, il est alors âgé de 3 ans et demi, il présente de la fièvre depuis 48 heures, bien tolérée. L'examen retrouve des adénopathies cervicales bilatérales, et une angine érythémateuse. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) réalisez vous en première intention ? a. Aucun examen complémentaire b. Numération formule sanguine, protéine C réactive, procalcitonine c. Radiographie thoracique d. Sérologie Ebstein Barr Virus e. Test de diagnostic rapide du Streptocoque de groupe A A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Devant une angine érythémateuse ou érythémato-pultacée, il est recommandé de pratiquer un TDR chez tous les enfants à partir de 3 ans (AFSSAPS 2011). Vous posez l’indication du test de diagnostic rapide du Streptocoque de groupe A. Quelle serait votre prise en charge thérapeutique en cas de positivité du test ? a. Amoxicilline 100 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 6 jours b. Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 6 jours c. Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 10 jours d. Paracétamol 60 mg/kg/6 heures par voire orale si température > 38.5°C e. Paracétamol 15 mg/kg/6 heures par voie orale si température > 38.5°C A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. TDR: Spécificité 95% Sensibilité 90% Traitement angine: AFSSAPS novembre 2011 Le traitement anti pyrétique contient le paracétamol et les mesures physiques (ne pas couvrir l'enfant, aérer la pièce, hydratation abondante) AFSSAPS janvier 2005. Le test diagnostic rapide est finalement négatif. Vous autorisez le retour à domicile avec un traitement antalgique antipyrétique et une surveillance de la fièvre. 4 jours plus tard, la maman consulte à nouveau aux urgences pédiatriques, car elle est très inquiète: son fils a une fièvre à 40°C, il est grognon, abattu, et depuis 2 jours présente une éruption cutanée, une conjonctivite et ses lèvres sont « très rouges et gonflées ». Quel diagnostic suspectez vous ? a. Angine herpétique b. Herpangine c. Maladie de Kawasaki d. Phlegmon péri-amygdalien e. Scarlatine | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parallèlement à la fièvre, il existe 5 autres critères, le diagnostic de maladie de Kawasaki pouvant être retenu si la fièvre est associée à au moins 4 de ces 5 critères. - L’éruption cutanée est dans la majorité des cas polymorphe, non spécifique, diffuse et maculopapulaire. - La conjonctivite. - Les atteintes oropharyngées comprennent un érythème des lèvres, une sécheresse, des fissures et parfois des saignements. La langue est framboisée, avec des papilles saillantes et un énanthème. - Les adénopathies cervicales sont souvent antérieures, avec un diamètre supérieur à 1,5 cm, avec ou sans érythème. - Les atteintes des pieds et des mains comportent un érythème des paumes ou des plantes ainsi qu’un œdème. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 52 | 12 | 665 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Vous êtes sollicité(e) pour une consultation auprès d'un enfant âgé de 2 ans et demi. La maman n’a pas apporté le carnet de santé, elle précise d'ailleurs qu'elle n'a pas eu besoin de voir un médecin pour son fils depuis au moins 1 an et demi. Elle vous consulte car il présente depuis 24 heures une éruption cutanée érythémateuse au niveau du visage qui s’étend progressivement au niveau du cou et du tronc. La température rectale est à 37.8°C, les aires ganglionnaires sont libres, et la gorge est propre. Il présente un catarrhe occulo-nasal et une bronchite. Quel est votre diagnostic ? a. Roséole infantile b. Rougeole c. Rubéole d. Scarlatine e. Syndrome de Kawasaki A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Scarlatine: absence d'angine. Rubéole: absence d'adénopathies. Roséole: absence de fièvre élevée à 39-40° puis baisse brutale et apparition rapide d'une éruption maculo papuleuse sur le tronc et les membres. Syndrome de Kawasaki: à évoquer devant une fièvre prolongée pendant 5 jours minimum. Vous posez le diagnostic de rougeole. Quelle est votre prise en charge ? a. Aciclovir par voie orale b. Anti histaminique par voie orale c. Déclaration obligatoire d. éviction scolaire e. Repos A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Anti histaminique non nécessaire car éruption non prurigineuse. La maman vous questionne sur la rougeole. Quelles en sont les complications possibles ? a. Anévrismes coronariens b. Encéphalite aigüe c. Glomérulonéphrite aigüe d. Polyarthrite e. Purpura thrombopénique auto immun A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Encéphalite aigüe post-infectieuse avec troubles de la conscience, déficit neurologique, convulsions. Méningite lymphocytaire, ondes delta diffuses à l'EEG, oedème cérébral. Purpura thrombopénique auto immun vers J15 de l'éruption. Quelle est la prévention de cette maladie ? a. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole fraction protéique, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois b. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois c. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 9 mois, deuxième dose à 12 mois, rappel à 5 ans d. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois e. Vaccin rougeole-oreillons-rubéole vivant atténué, première dose à 12 mois, deuxième dose à 16-18 mois, rappel à 5 ans A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Calendrier vaccinal 2014. Vous recevez le patient suivant. Il s'agit d'un garçon, c'est le premier enfant d'un couple âgé de 20 ans. Il est âgé de 3 mois, et nourri par allaitement artificiel (lait premier âge). Il prend bien ses biberons et pèse 5,5 kg (pour un poids à 4,7 kg à la consultation des 2 mois). Il présente des vomissements alimentaires post-prandiaux de moyenne abondance, au moment où il est "recouché", selon la mère. Quelle devrait être sa ration alimentaire? a. Entre 200 et 300 ml par jour b. Entre 400 et 500 ml par jour c. Entre 600 et 700 ml par jour d. Entre 800 et 900 ml par jour e. Entre 1000 et 1100 ml par jour A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. REGLE D'APPERT: Ration à proposer à l'enfant (en ml) = (Poids en grammes/10)+250 ml. L’enfant boit 5x160 ml de lait premier âge par jour. Le transit est normal. Quelle est votre hypothèse diagnostique principale ? a. Intolérance aux protéines de lait de vache b. Invagination intestinale aigüe c. Oesophagite d. Reflux gastro-oesophagien non compliqué e. Sténose du pylore A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect. Dans l'intolérance aux protéines de lait de vache, on retrouve des signes assosiés (une éruption cutanée, un trouble du transit, une stagnation de la courbe pondérale...) L'invagination intestinale aiguë se révèle classiquement par un malaise douloureux avec pâleur, des rectorragies. En cas d'oesophagite l'enfant est douloureux à la prise des biberons, il a des difficultés à les finir, une hématémèse peut survenir. Sténose du pylore: âge non en faveur, absence de cassure de la courbe pondérale. Vous retenez un reflux gastro-oesophagien non compliqué. Quels moyens thérapeutiques prescrivez vous en 1 ère intention ? a. Changement du lait pour un hydrolysat de protéines de lait de vache b. épaississement du lait c. Inhibiteur de la pompe à protons d. Proclive dorsal 30° e. Prokinétique A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Pas d'indication de prokinétique en 1ère intention. En 1ère intention ce sont les règles hygiéno diététiques qui sont indiquées. L'IPP n'est en aucun cas le traitement du RGO non compliqué. Il est indiqué en cas d'oesophagite. Vous le revoyez pour l’examen des 9 mois. Quelles devraient être ses acquisitions psychomotrices ? a. A peur de l'étranger b. Donne sur ordre c. Marche à 4 pattes d. Tient debout avec appui e. Tient son biberon A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'enfant donne sur ordre à partir de 1 an. Vous le revoyez quelques mois plus tard, il est alors âgé de 3 ans et demi, il présente de la fièvre depuis 48 heures, bien tolérée. L'examen retrouve des adénopathies cervicales bilatérales, et une angine érythémateuse. Quel(s) examen(s) complémentaire(s) réalisez vous en première intention ? a. Aucun examen complémentaire b. Numération formule sanguine, protéine C réactive, procalcitonine c. Radiographie thoracique d. Sérologie Ebstein Barr Virus e. Test de diagnostic rapide du Streptocoque de groupe A A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Devant une angine érythémateuse ou érythémato-pultacée, il est recommandé de pratiquer un TDR chez tous les enfants à partir de 3 ans (AFSSAPS 2011). Vous posez l’indication du test de diagnostic rapide du Streptocoque de groupe A. Quelle serait votre prise en charge thérapeutique en cas de positivité du test ? a. Amoxicilline 100 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 6 jours b. Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 6 jours c. Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 prises par voie orale pendant 10 jours d. Paracétamol 60 mg/kg/6 heures par voire orale si température > 38.5°C e. Paracétamol 15 mg/kg/6 heures par voie orale si température > 38.5°C A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. TDR: Spécificité 95% Sensibilité 90% Traitement angine: AFSSAPS novembre 2011 Le traitement anti pyrétique contient le paracétamol et les mesures physiques (ne pas couvrir l'enfant, aérer la pièce, hydratation abondante) AFSSAPS janvier 2005. Le test diagnostic rapide est finalement négatif. Vous autorisez le retour à domicile avec un traitement antalgique antipyrétique et une surveillance de la fièvre. 4 jours plus tard, la maman consulte à nouveau aux urgences pédiatriques, car elle est très inquiète: son fils a une fièvre à 40°C, il est grognon, abattu, et depuis 2 jours présente une éruption cutanée, une conjonctivite et ses lèvres sont « très rouges et gonflées ». Quel diagnostic suspectez vous ? a. Angine herpétique b. Herpangine c. Maladie de Kawasaki d. Phlegmon péri-amygdalien e. Scarlatine A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Parallèlement à la fièvre, il existe 5 autres critères, le diagnostic de maladie de Kawasaki pouvant être retenu si la fièvre est associée à au moins 4 de ces 5 critères. - L’éruption cutanée est dans la majorité des cas polymorphe, non spécifique, diffuse et maculopapulaire. - La conjonctivite. - Les atteintes oropharyngées comprennent un érythème des lèvres, une sécheresse, des fissures et parfois des saignements. La langue est framboisée, avec des papilles saillantes et un énanthème. - Les adénopathies cervicales sont souvent antérieures, avec un diamètre supérieur à 1,5 cm, avec ou sans érythème. - Les atteintes des pieds et des mains comportent un érythème des paumes ou des plantes ainsi qu’un œdème. Vous suspectez une maladie de Kawasaki. Quelle en est la principale complication? a. Anémie auto-immune b. Anévrismes coronariens c. Cholestase hépatique d. Encéphalite e. Péricardite | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Les complications cardiaques surviennent chez 25 à 30 % des patients non traités. La complication la plus importante est représentée par des anévrismes coronaires, qui surviennent ha- bituellement entre 10 et 30 jours après le début de la maladie. Il existe des critères échographiques qui en permettent le diagnostic et la surveillance. 2 0. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 53 | 1 | 666 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Vous recevez en consultation Mme M, une femme de 46 ans, qui présente pour seuls antécédents une appendicectomie à l’âge de 7 ans et l’extraction de ses dents de sagesse à l’âge de 15 ans. La patiente dit ne pas fumer et boire occasionnellement. Elle vous consulte pour une lésion blanche de la face interne de la joue qui l’inquiète. Devant une lésion blanche de la cavité buccale, vous voulez éliminer en premier lieu une candidose. Parmi les propositions suivantes, laquelle est un signe sémiologique fortement en faveur d'une candidose de la cavité buccale? a. douleur b. saignement au contact c. décollement du dépot blanc au grattage d. ulcération en son centre e. aucune de ces propositions | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Devant une lésion blanche de la cavité buccale, le premier signe à rechercher est si la lésion se décolle à l’abaisse langue. Si la lésion se décolle, c’est une mycose (= candidose buccale) sinon c'est une leucokératose ou une leucoplasie. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 53 | 2 | 667 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Vous recevez en consultation Mme M, une femme de 46 ans, qui présente pour seuls antécédents une appendicectomie à l’âge de 7 ans et l’extraction de ses dents de sagesse à l’âge de 15 ans. La patiente dit ne pas fumer et boire occasionnellement. Elle vous consulte pour une lésion blanche de la face interne de la joue qui l’inquiète. Devant une lésion blanche de la cavité buccale, vous voulez éliminer en premier lieu une candidose. Parmi les propositions suivantes, laquelle est un signe sémiologique fortement en faveur d'une candidose de la cavité buccale? a. douleur b. saignement au contact c. décollement du dépot blanc au grattage d. ulcération en son centre e. aucune de ces propositions A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Devant une lésion blanche de la cavité buccale, le premier signe à rechercher est si la lésion se décolle à l’abaisse langue. Si la lésion se décolle, c’est une mycose (= candidose buccale) sinon c'est une leucokératose ou une leucoplasie. Vous vous orientez vers une candidose buccale, quels facteurs favorisants recherchez-vous? a. une secheresse buccale b. un traitement par corticoides inhalés c. une carence martiale d. une carence en vitamine C e. une langue noire villeuse | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Une carence martiale est à rechercher devant des érosions ou ulcérations endobuccales. La carence en vitamine C est responsable d'hypertrophie gingivale (il s'agit du scorbut). La langue noire villeuse est liée à un défaut de desquamation des papilles filiformes donnant à la langue l’aspect villeuse (chevelue). La pigmentation noire est liée à l’alimentation et au tabac. En soi, la langue noire villeuse n’est pas synonyme de candidose mais elle est un terrain à risque de développement d’une candidose buccale par défaut d’hygiène et prolifération microbienne. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 54 | 1 | 669 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Tôt ce matin, Kévin (originaire de Roubaix), 18 ans, est admis en urgence au décochage de votre hôpital. Il a été retrouvé à plusieurs mètres de son scooter : une vidéo YouTube de sa petite amie le montre au moment des faits sur la piste cyclable en train de faire du wheeling (roue arrière) sans casque. Victime de cet accident, les pompiers l'ont pris en charge en urgence. À son admission les pompiers vous annoncent un jeune homme dans un coma agité, ils vous apportent le matériel d'intubation de leur sac de secours. Vous examinez le patient : il ouvre les yeux à la stimulation verbale et bouge à la demande, mais difficilement au niveau des membres inférieurs (seulement contre pesanteur mais pas contre résistance). Il semble bien sentir ses jambes et son périnée, même si sur ce dernier point "il ne se laisse pas faire". Ses réponses verbales sont plutôt confuses. Avec ses données quelle(s) classification(s) pronostique(s) et/ou d'orientation pourriez vous établir ? a. le score de Glasgow Évalue la vigilance du patient b. le score ASIA Évaluation de l'activité motrice et sensitive des traumatisés médullaires c. la classification de MASTERS Cette classification est une aide indispensable pour la demande des examens d’imageries et pour la conduite à tenir Pages 185-186 du collège de neurochirurgie (2e édition) d. le score RTS (Revised Trauma Score) Permet le triage des patients traumatisés en pré-hospitalier avec la combinaison du score de Glasgow, de la pression artérielle et de la fréquence respiratoire e. la classification de Frankel stade Frankel D (atteinte neurologique incomplète avec force motrice supérieure ou égale à trois en dessous du niveau atteint) | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 54 | 2 | 670 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Tôt ce matin, Kévin (originaire de Roubaix), 18 ans, est admis en urgence au décochage de votre hôpital. Il a été retrouvé à plusieurs mètres de son scooter : une vidéo YouTube de sa petite amie le montre au moment des faits sur la piste cyclable en train de faire du wheeling (roue arrière) sans casque. Victime de cet accident, les pompiers l'ont pris en charge en urgence. À son admission les pompiers vous annoncent un jeune homme dans un coma agité, ils vous apportent le matériel d'intubation de leur sac de secours. Vous examinez le patient : il ouvre les yeux à la stimulation verbale et bouge à la demande, mais difficilement au niveau des membres inférieurs (seulement contre pesanteur mais pas contre résistance). Il semble bien sentir ses jambes et son périnée, même si sur ce dernier point "il ne se laisse pas faire". Ses réponses verbales sont plutôt confuses. Avec ses données quelle(s) classification(s) pronostique(s) et/ou d'orientation pourriez vous établir ? a. le score de Glasgow Évalue la vigilance du patient b. le score ASIA Évaluation de l'activité motrice et sensitive des traumatisés médullaires c. la classification de MASTERS Cette classification est une aide indispensable pour la demande des examens d’imageries et pour la conduite à tenir Pages 185-186 du collège de neurochirurgie (2e édition) d. le score RTS (Revised Trauma Score) Permet le triage des patients traumatisés en pré-hospitalier avec la combinaison du score de Glasgow, de la pression artérielle et de la fréquence respiratoire e. la classification de Frankel stade Frankel D (atteinte neurologique incomplète avec force motrice supérieure ou égale à trois en dessous du niveau atteint) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous examinez le patient : il ouvre les yeux à la stimulation verbale et bouge à la demande, mais difficilement au niveau des membres inférieurs (seulement contre pesanteur mais pas contre résistance). Ses réponses verbales sont plutôt confuses. Quel est son état de vigilance ? a. Glasgow 14 b. Glasgow 13 Ouverture des yeux à la stimulation verbale : Y=3 Réponse motrice sur commande : M=6 Réponse verbale confuse : V=4 Se reporter au collège des enseignants de neurologie c. Glasgow 12 d. Glasgow 11 e. Glasgow 10 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 54 | 3 | 671 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Tôt ce matin, Kévin (originaire de Roubaix), 18 ans, est admis en urgence au décochage de votre hôpital. Il a été retrouvé à plusieurs mètres de son scooter : une vidéo YouTube de sa petite amie le montre au moment des faits sur la piste cyclable en train de faire du wheeling (roue arrière) sans casque. Victime de cet accident, les pompiers l'ont pris en charge en urgence. À son admission les pompiers vous annoncent un jeune homme dans un coma agité, ils vous apportent le matériel d'intubation de leur sac de secours. Vous examinez le patient : il ouvre les yeux à la stimulation verbale et bouge à la demande, mais difficilement au niveau des membres inférieurs (seulement contre pesanteur mais pas contre résistance). Il semble bien sentir ses jambes et son périnée, même si sur ce dernier point "il ne se laisse pas faire". Ses réponses verbales sont plutôt confuses. Avec ses données quelle(s) classification(s) pronostique(s) et/ou d'orientation pourriez vous établir ? a. le score de Glasgow Évalue la vigilance du patient b. le score ASIA Évaluation de l'activité motrice et sensitive des traumatisés médullaires c. la classification de MASTERS Cette classification est une aide indispensable pour la demande des examens d’imageries et pour la conduite à tenir Pages 185-186 du collège de neurochirurgie (2e édition) d. le score RTS (Revised Trauma Score) Permet le triage des patients traumatisés en pré-hospitalier avec la combinaison du score de Glasgow, de la pression artérielle et de la fréquence respiratoire e. la classification de Frankel stade Frankel D (atteinte neurologique incomplète avec force motrice supérieure ou égale à trois en dessous du niveau atteint) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous examinez le patient : il ouvre les yeux à la stimulation verbale et bouge à la demande, mais difficilement au niveau des membres inférieurs (seulement contre pesanteur mais pas contre résistance). Ses réponses verbales sont plutôt confuses. Quel est son état de vigilance ? a. Glasgow 14 b. Glasgow 13 Ouverture des yeux à la stimulation verbale : Y=3 Réponse motrice sur commande : M=6 Réponse verbale confuse : V=4 Se reporter au collège des enseignants de neurologie c. Glasgow 12 d. Glasgow 11 e. Glasgow 10 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. À son admission les pompiers vous annonçaient un jeune homme dans le coma agité, ils vous apportent le matériel d'intubation de leur sac de secours. Connaissant maintenant son état de vigilance, vous vous gardez bien d'effectuer ce type de manoeuvre. Pendant que vous continuez de sauver la vie de Kévin, votre externe rappelle la définition du coma aux secouristes : a. un score de Glasgow inférieur à 10 mais avec des troubles de la tension artérielle et/ou un arrêt cardio-circulatoire b. un score de Glasgow compris entre 3 et 7 (inclus) c. un score de Glasgow strictement inférieur à 8 d. un score de Glasgow inférieur ou égal à 8 e. un score de Glasgow inférieur ou égal à 7 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 54 | 4 | 672 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Tôt ce matin, Kévin (originaire de Roubaix), 18 ans, est admis en urgence au décochage de votre hôpital. Il a été retrouvé à plusieurs mètres de son scooter : une vidéo YouTube de sa petite amie le montre au moment des faits sur la piste cyclable en train de faire du wheeling (roue arrière) sans casque. Victime de cet accident, les pompiers l'ont pris en charge en urgence. À son admission les pompiers vous annoncent un jeune homme dans un coma agité, ils vous apportent le matériel d'intubation de leur sac de secours. Vous examinez le patient : il ouvre les yeux à la stimulation verbale et bouge à la demande, mais difficilement au niveau des membres inférieurs (seulement contre pesanteur mais pas contre résistance). Il semble bien sentir ses jambes et son périnée, même si sur ce dernier point "il ne se laisse pas faire". Ses réponses verbales sont plutôt confuses. Avec ses données quelle(s) classification(s) pronostique(s) et/ou d'orientation pourriez vous établir ? a. le score de Glasgow Évalue la vigilance du patient b. le score ASIA Évaluation de l'activité motrice et sensitive des traumatisés médullaires c. la classification de MASTERS Cette classification est une aide indispensable pour la demande des examens d’imageries et pour la conduite à tenir Pages 185-186 du collège de neurochirurgie (2e édition) d. le score RTS (Revised Trauma Score) Permet le triage des patients traumatisés en pré-hospitalier avec la combinaison du score de Glasgow, de la pression artérielle et de la fréquence respiratoire e. la classification de Frankel stade Frankel D (atteinte neurologique incomplète avec force motrice supérieure ou égale à trois en dessous du niveau atteint) A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Vous examinez le patient : il ouvre les yeux à la stimulation verbale et bouge à la demande, mais difficilement au niveau des membres inférieurs (seulement contre pesanteur mais pas contre résistance). Ses réponses verbales sont plutôt confuses. Quel est son état de vigilance ? a. Glasgow 14 b. Glasgow 13 Ouverture des yeux à la stimulation verbale : Y=3 Réponse motrice sur commande : M=6 Réponse verbale confuse : V=4 Se reporter au collège des enseignants de neurologie c. Glasgow 12 d. Glasgow 11 e. Glasgow 10 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. À son admission les pompiers vous annonçaient un jeune homme dans le coma agité, ils vous apportent le matériel d'intubation de leur sac de secours. Connaissant maintenant son état de vigilance, vous vous gardez bien d'effectuer ce type de manoeuvre. Pendant que vous continuez de sauver la vie de Kévin, votre externe rappelle la définition du coma aux secouristes : a. un score de Glasgow inférieur à 10 mais avec des troubles de la tension artérielle et/ou un arrêt cardio-circulatoire b. un score de Glasgow compris entre 3 et 7 (inclus) c. un score de Glasgow strictement inférieur à 8 d. un score de Glasgow inférieur ou égal à 8 e. un score de Glasgow inférieur ou égal à 7 A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le score de Glasgow était initialement fait pour l'évaluation des traumatismes crâniens, cependant il permet de bien décrire l'état du malade à un instant donné et surtout de suivre l'évolution de son état de conscience. Le score de Glasgow se cote de 3 à 15 et doit être décomposé en ses trois paramètres noté Y + V + M = 3 à 15. Le patient se plaint de céphalées plutôt postérieures et sa coupe mulet est tâchée de sang. Quel(s) examen(s) devez vous demander en urgence face à ce polytraumatisé ? a. un body-scanner (TDM corps entier) avec injection la plupart du temps si possible b. un scanner cérébral c. une radiographie du crâne face et profil inutile d. un électromyogramme (EMG) ? totalement inutile à cette phase e. une ponction lombaire aucun intérêt | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 55 | 1 | 674 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. | A 17h, vous recevez aux urgences Monsieur Z, 45 ans, amenée par les pompiers pour perte de connaissance avec traumatisme crânien suite à la chute d'un arbre. Vous interrogez sa femme qui vous dit que son mari était monté dans l'arbre pour cueillir des cerises, mais qu'une branche a cédé sous son poids et que suite à la chute, il a perdu connaissance pendant 5-10 minutes environ. Votre examen clinique ne révèle pas de déficit neurologique, mais Monsieur Z. reste somnolent et un peu désorienté avec un Glasgow à 13. Il a également un hématome sous-cutané pariétal droit. Les constantes sont PA = 156/90 mmHg, FC = 116/min, SpO2 = 97%. Il n'a pas d'antécédent en dehors d'un tabagisme actif estimé à 20 paquets-année. Il ne prend pas de médicament. Quel(s) examen(s) d'imagerie demandez-vous en urgence devant ce tableau clinique ? a. Radiographie du crâne b. TEMP cérébrale de perfusion c. IRM cérébrale d. TDM cérébrale e. Echodoppler trans-crânien | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix correct et indispensable, E: Choix incorrect et inacceptable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 56 | 1 | 676 | null | Monsieur B., 52 ans, présente à 3h00 du matin le 23/10/13 un premier épisode de douleur thoracique soudaine le réveillant et motivant l'appel du SAMU à 3h30. Quels sont les 3 pathologies cardio-vasculaires à évoquer systématiquement en raison de leur gravité potentielle dans ce contexte en tant que médecin du SAMU ?. | dissaction aortique, syndrome coronarien aigu, embolie pulmonaire, Dissection aortique, embolie pulmonaire et syndrome coronarien aigu, infarctus du myocarde / embolie pulmonaire / dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu, dissection aortique, infarctus du mycarde, dissection aortique, embolie pulmonaire, dissection aortique, Syndrome coronarien aiguë, embolie pulmonaire., , syndrome coronarien aigu, embolie pulmonaire, dissection aortique, Syndrome coronarien aiguë, embolie pulmonaire, dissection aortique, IDM . EP . dissection, IDM dissection aortique SCA-, IDM, dissection aortique, embolie pulmonaire, IDM, embolie pulmonaire, dissection aortique, syndrome coronarien aigu dissection aortique embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigue, embolie pulmonaire, dissection aortique, SCA - Dissection aortique - Embolie pulmonaire, SCA - Embolie pulmonaire - dissection aortique, SCA, Embolie Pulmonaire, Dissection Aortique, SCA, dissection aortique et embolie pulmonaire, SCA, dissection aortique, EP, SCA, dissection aortique, embolie pulmonaire, SCA. Embolie Pulmonaire. Dissection Aortique, syndrome coronaire aigu, embolie pulmonaire, dissection aortique, syndrome coronaire aigu, embolie pulmonaire et dissection aortique, dissection aortique, infarctus du myocarde, embolie pulmonaire, embolie pulmonaire, infarctus du myocarde et dissection aortique, dissection aortique embolie pulmonaire SCA, dissection aortique, sca, embolie pulmonaire, embolie pulmonaire dissection aortique et SCA, embolie pulmonaire, dissection aortique infarctus, idm embolie pulmonaire dissection aortique, syndrome coronarien aiguë, embolie pulmonaire, dissection de l'aorte, sca , dissection aortique , embolie pulmonaire, sca dissection aortique embolie pulmonaire, sca dissection aortique, embolie pulmonaire, sca st+ ; embolie pulmonaire ; pericardite, sca, dissection aortique, embolie pulmonaire, sca, embolie pulmonaire, dissection aortique, infarctus du myocarde, embolie pulmonnaire, dissection aortique, dissection aortique, syndrome coronarien aigu, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu . dissection aortique . embolie pulmonaire, embolie pulmonaire et dissection aortique et syndrome coronarien aigu, infarctus du myocarde, embolie pulmonaire, dissection aortique, embolie pulmonaire, dissection aortique, syndrome coronarien aigu, Syndrome coronarien aigu (infarctus du myocarde), dissection aortique et embolie pulmonaire., infarctus du myocarde , dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronaire aiguë, embolie pulmonaire, dissection aortique, infarctus du myocarde embolie pulmonaire dissection aortique, infarctus du myocarde, dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigue (avec ou sans sus decalage persistant du st), dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu, une dissection aortique,embolie pulmonaire, dissection aortique, syndrome coronaire aigu avec sus decalage persistant du segment ST, embolie pulmonaire, Syndrome coronaire aigu, dissection aortique, embolie pulmonaire, SCA ST + , embolie pulmonaire , dissection aortique, syndrome coronarien aigu , dissection aortique, Embolie Pulmonaire, syndrome coronarien aigu,embolie pulmonaire,dissection aortique, Syndrome coronarien aigu, Dissection aortique, Embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu, dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu, dissestion aortique, embolie pulmonaire, IDM, Embolie pulmonaire, dissection aortique, SCA, Dissection aortique, Embolie pulmonaire, SCA, embolie pulmonaire, dissection aortique, dissection aortique, SCA, embolie pulmonaire, Infarctus du myocarde, Embolie pulmonaire, Dissection aortique, syndrome coronaire aigu, dissection aortique, embolie pulmonaire, Syndrome coronarien aigu, Dissection aortique, Embolie Pulmonaire. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 56 | 2 | 677 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, F: Choix correct, G: Choix incorrect, H: Choix correct. | Monsieur B., 52 ans, présente à 3h00 du matin le 23/10/13 un premier épisode de douleur thoracique soudaine le réveillant et motivant l'appel du SAMU à 3h30. Quels sont les 3 pathologies cardio-vasculaires à évoquer systématiquement en raison de leur gravité potentielle dans ce contexte en tant que médecin du SAMU ?. dissaction aortique, syndrome coronarien aigu, embolie pulmonaire, Dissection aortique, embolie pulmonaire et syndrome coronarien aigu, infarctus du myocarde / embolie pulmonaire / dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu, dissection aortique, infarctus du mycarde, dissection aortique, embolie pulmonaire, dissection aortique, Syndrome coronarien aiguë, embolie pulmonaire., , syndrome coronarien aigu, embolie pulmonaire, dissection aortique, Syndrome coronarien aiguë, embolie pulmonaire, dissection aortique, IDM . EP . dissection, IDM dissection aortique SCA-, IDM, dissection aortique, embolie pulmonaire, IDM, embolie pulmonaire, dissection aortique, syndrome coronarien aigu dissection aortique embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigue, embolie pulmonaire, dissection aortique, SCA - Dissection aortique - Embolie pulmonaire, SCA - Embolie pulmonaire - dissection aortique, SCA, Embolie Pulmonaire, Dissection Aortique, SCA, dissection aortique et embolie pulmonaire, SCA, dissection aortique, EP, SCA, dissection aortique, embolie pulmonaire, SCA. Embolie Pulmonaire. Dissection Aortique, syndrome coronaire aigu, embolie pulmonaire, dissection aortique, syndrome coronaire aigu, embolie pulmonaire et dissection aortique, dissection aortique, infarctus du myocarde, embolie pulmonaire, embolie pulmonaire, infarctus du myocarde et dissection aortique, dissection aortique embolie pulmonaire SCA, dissection aortique, sca, embolie pulmonaire, embolie pulmonaire dissection aortique et SCA, embolie pulmonaire, dissection aortique infarctus, idm embolie pulmonaire dissection aortique, syndrome coronarien aiguë, embolie pulmonaire, dissection de l'aorte, sca , dissection aortique , embolie pulmonaire, sca dissection aortique embolie pulmonaire, sca dissection aortique, embolie pulmonaire, sca st+ ; embolie pulmonaire ; pericardite, sca, dissection aortique, embolie pulmonaire, sca, embolie pulmonaire, dissection aortique, infarctus du myocarde, embolie pulmonnaire, dissection aortique, dissection aortique, syndrome coronarien aigu, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu . dissection aortique . embolie pulmonaire, embolie pulmonaire et dissection aortique et syndrome coronarien aigu, infarctus du myocarde, embolie pulmonaire, dissection aortique, embolie pulmonaire, dissection aortique, syndrome coronarien aigu, Syndrome coronarien aigu (infarctus du myocarde), dissection aortique et embolie pulmonaire., infarctus du myocarde , dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronaire aiguë, embolie pulmonaire, dissection aortique, infarctus du myocarde embolie pulmonaire dissection aortique, infarctus du myocarde, dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigue (avec ou sans sus decalage persistant du st), dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu, une dissection aortique,embolie pulmonaire, dissection aortique, syndrome coronaire aigu avec sus decalage persistant du segment ST, embolie pulmonaire, Syndrome coronaire aigu, dissection aortique, embolie pulmonaire, SCA ST + , embolie pulmonaire , dissection aortique, syndrome coronarien aigu , dissection aortique, Embolie Pulmonaire, syndrome coronarien aigu,embolie pulmonaire,dissection aortique, Syndrome coronarien aigu, Dissection aortique, Embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu, dissection aortique, embolie pulmonaire, syndrome coronarien aigu, dissestion aortique, embolie pulmonaire, IDM, Embolie pulmonaire, dissection aortique, SCA, Dissection aortique, Embolie pulmonaire, SCA, embolie pulmonaire, dissection aortique, dissection aortique, SCA, embolie pulmonaire, Infarctus du myocarde, Embolie pulmonaire, Dissection aortique, syndrome coronaire aigu, dissection aortique, embolie pulmonaire, Syndrome coronarien aigu, Dissection aortique, Embolie Pulmonaire. Parmi les signes cliniques suivants, lesquels sont considérés comme des signes de gravité chez un malade pris en charge dans une situation d'urgence ? a. Tension artérielle systolique < 90 mm Hg b. Fréquence cardiaque > 120/min c. Fréquence respiratoire < 10 /min d. Fréquence respiratoire > 30/min e. Fréquence respiratoire < 15/min f. Signes d'hypoperfusion périphérique g. Intensité de la douleur h. Hypovigilance | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect, F: Choix correct, G: Choix incorrect, H: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 1 | 679 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 2 | 680 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. Quels examens proposez-vous en dehors de l’échographie abdominale ? Noter les assertions vraies a. Ponction d’ascite b. Bili-IRM c. Sérologies virales IgM VHA, Ag HBs, Ac HBc Ac Hbs (+/- delta), Ac VHC, IgM VHE d. Hémocultures et ECBU systématiques, radiographie thoracique e. Cholangiopancrétographie rétrograde endoscopique | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En lien avec le commentaire précédent, les sérologies virales de dépistage sont incontournables, le bilan infectieux y compris la ponction d'ascite. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 3 | 681 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. Quels examens proposez-vous en dehors de l’échographie abdominale ? Noter les assertions vraies a. Ponction d’ascite b. Bili-IRM c. Sérologies virales IgM VHA, Ag HBs, Ac HBc Ac Hbs (+/- delta), Ac VHC, IgM VHE d. Hémocultures et ECBU systématiques, radiographie thoracique e. Cholangiopancrétographie rétrograde endoscopique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En lien avec le commentaire précédent, les sérologies virales de dépistage sont incontournables, le bilan infectieux y compris la ponction d'ascite. Le bilan infectieux est négatif y compris la ponction d’ascite (150 éléments/mm3, 15 polynucléaires neutrophiles/mm3, moins de 20 g/L de protéines, différence entre la concentration sérique et ascitique de l’albumine à 15 g/L). Les sérologies virales sont négatives.Quelles sont les assertions vraies ? a. Une corticothérapie doit être systématiquement discutée chez ce patient b. La ponction biopsie hépatique n’est pas recommandée c. La décision thérapeutique est basée sur le calcul du score de Maddrey incluant les transaminases et le TP d. La réponse au traitement par corticoides peut être évaluée à J7 par le score de Lille e. Une antibiothérapie systématique doit être proposée | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le diagnostic d'hépatite alcoolique aigue étant probable, il est recommandé de faire une PBH par voie transjugulaire, de calculer le score de Maddrey basé sur la bilirubine et le TP et si celui-ci est >32, proposer une corticothérapie. L'efficacité sera évaluée à 7J par le score de Lille ( reposant sur bilirubine, créatinine, albumine et TP). L'antibiothérapie ne sera proposée qu'en cas de point d'appel. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 4 | 682 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. Quels examens proposez-vous en dehors de l’échographie abdominale ? Noter les assertions vraies a. Ponction d’ascite b. Bili-IRM c. Sérologies virales IgM VHA, Ag HBs, Ac HBc Ac Hbs (+/- delta), Ac VHC, IgM VHE d. Hémocultures et ECBU systématiques, radiographie thoracique e. Cholangiopancrétographie rétrograde endoscopique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En lien avec le commentaire précédent, les sérologies virales de dépistage sont incontournables, le bilan infectieux y compris la ponction d'ascite. Le bilan infectieux est négatif y compris la ponction d’ascite (150 éléments/mm3, 15 polynucléaires neutrophiles/mm3, moins de 20 g/L de protéines, différence entre la concentration sérique et ascitique de l’albumine à 15 g/L). Les sérologies virales sont négatives.Quelles sont les assertions vraies ? a. Une corticothérapie doit être systématiquement discutée chez ce patient b. La ponction biopsie hépatique n’est pas recommandée c. La décision thérapeutique est basée sur le calcul du score de Maddrey incluant les transaminases et le TP d. La réponse au traitement par corticoides peut être évaluée à J7 par le score de Lille e. Une antibiothérapie systématique doit être proposée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le diagnostic d'hépatite alcoolique aigue étant probable, il est recommandé de faire une PBH par voie transjugulaire, de calculer le score de Maddrey basé sur la bilirubine et le TP et si celui-ci est >32, proposer une corticothérapie. L'efficacité sera évaluée à 7J par le score de Lille ( reposant sur bilirubine, créatinine, albumine et TP). L'antibiothérapie ne sera proposée qu'en cas de point d'appel. Le patient bénéficie d’une corticothérapie à 40 mg/J pendant 28 jours (score de Maddrey 54) après une ponction biopsie hépatique qui confirme le diagnostic d’hépatite alcoolique aiguë sur cirrhose) avec une excellente tolérance et une évolution favorable. Le patient sort rapidement du service et refuse l’endoscopie haute qui lui est proposée. A la consultation un mois après l’arrêt des corticoïdes, il est sevré avec sur le plan clinique et biologique : assèchement de l’ascite, bilirubine à 30 micromoles/l, albumine à 30g/l et INR à 60%. Cependant, trois mois plus tard, il est hospitalisé aux urgences pour hématémèse de sang rouge, abondante. La TA est à 100/70 mm Hg, la fréquence cardiaque à 95/mn. Il a pris des anti-inflammatoires non stéroidiens pour des douleurs lombaires pendant 8 jours. L’examen abdominal retrouve une ascite de moyenne abondance. Les examens d’urgence montrent : Hb = 7.5 g/dl, GB = 12 giga/L Plaquettes = 75 Giga/L, TP 55%, Créatininémie = 43 micromoles / l, ASAT = 2 x N – ALAT = 1.5 x N, bilirubinémie = 50 micromoles / l, albumine à 25 g/L. Citer la ou les causes les plus probables dans ce contexte d’hémorragie digestive chez ce patient a. Rupture de varices oesophagiennes b. Rupture de varices gastriques c. Gastrite de Ménétrier d. Ulcère duodénal e. Angiodysplasie gastrique | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les causes les plus probables sont en lien avec l'hypertension portale ou la prise d'AINS. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 5 | 683 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. Quels examens proposez-vous en dehors de l’échographie abdominale ? Noter les assertions vraies a. Ponction d’ascite b. Bili-IRM c. Sérologies virales IgM VHA, Ag HBs, Ac HBc Ac Hbs (+/- delta), Ac VHC, IgM VHE d. Hémocultures et ECBU systématiques, radiographie thoracique e. Cholangiopancrétographie rétrograde endoscopique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En lien avec le commentaire précédent, les sérologies virales de dépistage sont incontournables, le bilan infectieux y compris la ponction d'ascite. Le bilan infectieux est négatif y compris la ponction d’ascite (150 éléments/mm3, 15 polynucléaires neutrophiles/mm3, moins de 20 g/L de protéines, différence entre la concentration sérique et ascitique de l’albumine à 15 g/L). Les sérologies virales sont négatives.Quelles sont les assertions vraies ? a. Une corticothérapie doit être systématiquement discutée chez ce patient b. La ponction biopsie hépatique n’est pas recommandée c. La décision thérapeutique est basée sur le calcul du score de Maddrey incluant les transaminases et le TP d. La réponse au traitement par corticoides peut être évaluée à J7 par le score de Lille e. Une antibiothérapie systématique doit être proposée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le diagnostic d'hépatite alcoolique aigue étant probable, il est recommandé de faire une PBH par voie transjugulaire, de calculer le score de Maddrey basé sur la bilirubine et le TP et si celui-ci est >32, proposer une corticothérapie. L'efficacité sera évaluée à 7J par le score de Lille ( reposant sur bilirubine, créatinine, albumine et TP). L'antibiothérapie ne sera proposée qu'en cas de point d'appel. Le patient bénéficie d’une corticothérapie à 40 mg/J pendant 28 jours (score de Maddrey 54) après une ponction biopsie hépatique qui confirme le diagnostic d’hépatite alcoolique aiguë sur cirrhose) avec une excellente tolérance et une évolution favorable. Le patient sort rapidement du service et refuse l’endoscopie haute qui lui est proposée. A la consultation un mois après l’arrêt des corticoïdes, il est sevré avec sur le plan clinique et biologique : assèchement de l’ascite, bilirubine à 30 micromoles/l, albumine à 30g/l et INR à 60%. Cependant, trois mois plus tard, il est hospitalisé aux urgences pour hématémèse de sang rouge, abondante. La TA est à 100/70 mm Hg, la fréquence cardiaque à 95/mn. Il a pris des anti-inflammatoires non stéroidiens pour des douleurs lombaires pendant 8 jours. L’examen abdominal retrouve une ascite de moyenne abondance. Les examens d’urgence montrent : Hb = 7.5 g/dl, GB = 12 giga/L Plaquettes = 75 Giga/L, TP 55%, Créatininémie = 43 micromoles / l, ASAT = 2 x N – ALAT = 1.5 x N, bilirubinémie = 50 micromoles / l, albumine à 25 g/L. Citer la ou les causes les plus probables dans ce contexte d’hémorragie digestive chez ce patient a. Rupture de varices oesophagiennes b. Rupture de varices gastriques c. Gastrite de Ménétrier d. Ulcère duodénal e. Angiodysplasie gastrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les causes les plus probables sont en lien avec l'hypertension portale ou la prise d'AINS. Parmi les assertions suivantes sur l’hypertension portale, laquelle ou lesquelles sont vraies ? a. L’hypertension portale peut être responsable d’un épanchement pleural droit b. La gastrite d’hypertension portale peut-être responsable d’hémorragie digestive c. L’hémorragie digestive liée à l’hypertension portale peut être un facteur de décompensation oedémato-ascitique d. Les varices oesophagiennes ou gastriques peuvent témoigner d’une hypertension portale sans cirrhose e. La prévention primaire du saignement de varices oesophagiennes repose toujours sur la ligature de ces varices | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Une hypertension portale peut survenir en l'absence de cirrhose en cas par exemple de bloc sous-hépatique (thrombose portale) ou sus-hépatique (Budd Chiari) La prévention primaire de saignement des VO repose d'abord sur les bétabloquants non cardio-sélectifs en l'absence de contre-indication. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 6 | 684 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. Quels examens proposez-vous en dehors de l’échographie abdominale ? Noter les assertions vraies a. Ponction d’ascite b. Bili-IRM c. Sérologies virales IgM VHA, Ag HBs, Ac HBc Ac Hbs (+/- delta), Ac VHC, IgM VHE d. Hémocultures et ECBU systématiques, radiographie thoracique e. Cholangiopancrétographie rétrograde endoscopique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En lien avec le commentaire précédent, les sérologies virales de dépistage sont incontournables, le bilan infectieux y compris la ponction d'ascite. Le bilan infectieux est négatif y compris la ponction d’ascite (150 éléments/mm3, 15 polynucléaires neutrophiles/mm3, moins de 20 g/L de protéines, différence entre la concentration sérique et ascitique de l’albumine à 15 g/L). Les sérologies virales sont négatives.Quelles sont les assertions vraies ? a. Une corticothérapie doit être systématiquement discutée chez ce patient b. La ponction biopsie hépatique n’est pas recommandée c. La décision thérapeutique est basée sur le calcul du score de Maddrey incluant les transaminases et le TP d. La réponse au traitement par corticoides peut être évaluée à J7 par le score de Lille e. Une antibiothérapie systématique doit être proposée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le diagnostic d'hépatite alcoolique aigue étant probable, il est recommandé de faire une PBH par voie transjugulaire, de calculer le score de Maddrey basé sur la bilirubine et le TP et si celui-ci est >32, proposer une corticothérapie. L'efficacité sera évaluée à 7J par le score de Lille ( reposant sur bilirubine, créatinine, albumine et TP). L'antibiothérapie ne sera proposée qu'en cas de point d'appel. Le patient bénéficie d’une corticothérapie à 40 mg/J pendant 28 jours (score de Maddrey 54) après une ponction biopsie hépatique qui confirme le diagnostic d’hépatite alcoolique aiguë sur cirrhose) avec une excellente tolérance et une évolution favorable. Le patient sort rapidement du service et refuse l’endoscopie haute qui lui est proposée. A la consultation un mois après l’arrêt des corticoïdes, il est sevré avec sur le plan clinique et biologique : assèchement de l’ascite, bilirubine à 30 micromoles/l, albumine à 30g/l et INR à 60%. Cependant, trois mois plus tard, il est hospitalisé aux urgences pour hématémèse de sang rouge, abondante. La TA est à 100/70 mm Hg, la fréquence cardiaque à 95/mn. Il a pris des anti-inflammatoires non stéroidiens pour des douleurs lombaires pendant 8 jours. L’examen abdominal retrouve une ascite de moyenne abondance. Les examens d’urgence montrent : Hb = 7.5 g/dl, GB = 12 giga/L Plaquettes = 75 Giga/L, TP 55%, Créatininémie = 43 micromoles / l, ASAT = 2 x N – ALAT = 1.5 x N, bilirubinémie = 50 micromoles / l, albumine à 25 g/L. Citer la ou les causes les plus probables dans ce contexte d’hémorragie digestive chez ce patient a. Rupture de varices oesophagiennes b. Rupture de varices gastriques c. Gastrite de Ménétrier d. Ulcère duodénal e. Angiodysplasie gastrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les causes les plus probables sont en lien avec l'hypertension portale ou la prise d'AINS. Parmi les assertions suivantes sur l’hypertension portale, laquelle ou lesquelles sont vraies ? a. L’hypertension portale peut être responsable d’un épanchement pleural droit b. La gastrite d’hypertension portale peut-être responsable d’hémorragie digestive c. L’hémorragie digestive liée à l’hypertension portale peut être un facteur de décompensation oedémato-ascitique d. Les varices oesophagiennes ou gastriques peuvent témoigner d’une hypertension portale sans cirrhose e. La prévention primaire du saignement de varices oesophagiennes repose toujours sur la ligature de ces varices A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Une hypertension portale peut survenir en l'absence de cirrhose en cas par exemple de bloc sous-hépatique (thrombose portale) ou sus-hépatique (Budd Chiari) La prévention primaire de saignement des VO repose d'abord sur les bétabloquants non cardio-sélectifs en l'absence de contre-indication. Donner la ou les assertions vraies dans la situation de notre patient a. Le premier geste à l’arrivée est l’endoscopie haute pour diagnostic et hémostase b. Le premier geste est la pose de 2 voies veineuses périphériques de bon calibre avec mise en place d'O2 c. Après groupe sanguin et RAI, des transfusions de culots globulaires iso groupe iso rhésus sont nécessaires en urgence pour maintenir l’Hb au-dessus de 10g/l. d. Dans ce contexte un traitement par somatostatine ou octréotide en perfusion continue peut être proposé mais uniquement après la réalisation de l’endoscopie haute e. L’injection de 250 mg d'érythromycine vingt à trente minutes avant l’endoscopie est utile | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement par somatostatine ou octréotide en perfusion continue doit être immédiat dès les premiers gestes réalisés (voie veineuse) sans attendre les résultats de l'endoscopie haute L'Hb doit être maintenue à 8g/dL et la TA à 8 de systolique (recommandations HAS). |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 7 | 685 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. Quels examens proposez-vous en dehors de l’échographie abdominale ? Noter les assertions vraies a. Ponction d’ascite b. Bili-IRM c. Sérologies virales IgM VHA, Ag HBs, Ac HBc Ac Hbs (+/- delta), Ac VHC, IgM VHE d. Hémocultures et ECBU systématiques, radiographie thoracique e. Cholangiopancrétographie rétrograde endoscopique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En lien avec le commentaire précédent, les sérologies virales de dépistage sont incontournables, le bilan infectieux y compris la ponction d'ascite. Le bilan infectieux est négatif y compris la ponction d’ascite (150 éléments/mm3, 15 polynucléaires neutrophiles/mm3, moins de 20 g/L de protéines, différence entre la concentration sérique et ascitique de l’albumine à 15 g/L). Les sérologies virales sont négatives.Quelles sont les assertions vraies ? a. Une corticothérapie doit être systématiquement discutée chez ce patient b. La ponction biopsie hépatique n’est pas recommandée c. La décision thérapeutique est basée sur le calcul du score de Maddrey incluant les transaminases et le TP d. La réponse au traitement par corticoides peut être évaluée à J7 par le score de Lille e. Une antibiothérapie systématique doit être proposée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le diagnostic d'hépatite alcoolique aigue étant probable, il est recommandé de faire une PBH par voie transjugulaire, de calculer le score de Maddrey basé sur la bilirubine et le TP et si celui-ci est >32, proposer une corticothérapie. L'efficacité sera évaluée à 7J par le score de Lille ( reposant sur bilirubine, créatinine, albumine et TP). L'antibiothérapie ne sera proposée qu'en cas de point d'appel. Le patient bénéficie d’une corticothérapie à 40 mg/J pendant 28 jours (score de Maddrey 54) après une ponction biopsie hépatique qui confirme le diagnostic d’hépatite alcoolique aiguë sur cirrhose) avec une excellente tolérance et une évolution favorable. Le patient sort rapidement du service et refuse l’endoscopie haute qui lui est proposée. A la consultation un mois après l’arrêt des corticoïdes, il est sevré avec sur le plan clinique et biologique : assèchement de l’ascite, bilirubine à 30 micromoles/l, albumine à 30g/l et INR à 60%. Cependant, trois mois plus tard, il est hospitalisé aux urgences pour hématémèse de sang rouge, abondante. La TA est à 100/70 mm Hg, la fréquence cardiaque à 95/mn. Il a pris des anti-inflammatoires non stéroidiens pour des douleurs lombaires pendant 8 jours. L’examen abdominal retrouve une ascite de moyenne abondance. Les examens d’urgence montrent : Hb = 7.5 g/dl, GB = 12 giga/L Plaquettes = 75 Giga/L, TP 55%, Créatininémie = 43 micromoles / l, ASAT = 2 x N – ALAT = 1.5 x N, bilirubinémie = 50 micromoles / l, albumine à 25 g/L. Citer la ou les causes les plus probables dans ce contexte d’hémorragie digestive chez ce patient a. Rupture de varices oesophagiennes b. Rupture de varices gastriques c. Gastrite de Ménétrier d. Ulcère duodénal e. Angiodysplasie gastrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les causes les plus probables sont en lien avec l'hypertension portale ou la prise d'AINS. Parmi les assertions suivantes sur l’hypertension portale, laquelle ou lesquelles sont vraies ? a. L’hypertension portale peut être responsable d’un épanchement pleural droit b. La gastrite d’hypertension portale peut-être responsable d’hémorragie digestive c. L’hémorragie digestive liée à l’hypertension portale peut être un facteur de décompensation oedémato-ascitique d. Les varices oesophagiennes ou gastriques peuvent témoigner d’une hypertension portale sans cirrhose e. La prévention primaire du saignement de varices oesophagiennes repose toujours sur la ligature de ces varices A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Une hypertension portale peut survenir en l'absence de cirrhose en cas par exemple de bloc sous-hépatique (thrombose portale) ou sus-hépatique (Budd Chiari) La prévention primaire de saignement des VO repose d'abord sur les bétabloquants non cardio-sélectifs en l'absence de contre-indication. Donner la ou les assertions vraies dans la situation de notre patient a. Le premier geste à l’arrivée est l’endoscopie haute pour diagnostic et hémostase b. Le premier geste est la pose de 2 voies veineuses périphériques de bon calibre avec mise en place d'O2 c. Après groupe sanguin et RAI, des transfusions de culots globulaires iso groupe iso rhésus sont nécessaires en urgence pour maintenir l’Hb au-dessus de 10g/l. d. Dans ce contexte un traitement par somatostatine ou octréotide en perfusion continue peut être proposé mais uniquement après la réalisation de l’endoscopie haute e. L’injection de 250 mg d'érythromycine vingt à trente minutes avant l’endoscopie est utile A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement par somatostatine ou octréotide en perfusion continue doit être immédiat dès les premiers gestes réalisés (voie veineuse) sans attendre les résultats de l'endoscopie haute L'Hb doit être maintenue à 8g/dL et la TA à 8 de systolique (recommandations HAS). L’examen endoscopique montre des varices oesophagiennes de stade III hémorragiques. Donner la ou les assertions vraies a. Le traitement par octréotide mis en place est suffisant pour obtenir l’hémostase b. Les clips d’hémostase sont la référence pour contrôler le saignement c. Les ligatures élastiques des varices sont nécessaires d. Un TIPS de sauvetage est proposé en première intention compte tenu de l’importance de l’anémie e. Le TIPS n’est jamais proposé en urgence | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. HAS : En cas de récidive hémorragique malgré des traitements bien conduits ou en cas d'hémorragie massive : L’attitude dépend des constatations de l’endoscopie initiale, de la sévérité de la récidive et de la qualité du geste thérapeutique réalisé. Selon la situation hémodynamique du patient, il est recommandé de privilégier la répétition du geste thérapeutique par endoscopie. La pose d’ un TIPS peut être une alternative possible (grade B). En cas d’hémorragie massive, une sonde de tamponnement permet transitoirement d’attendre la pose d’un TIPS (grade C), plus ou moins associée à une embolisation des varices œsophagiennes, ou bien à une embolisation directe des VO. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 8 | 686 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. Quels examens proposez-vous en dehors de l’échographie abdominale ? Noter les assertions vraies a. Ponction d’ascite b. Bili-IRM c. Sérologies virales IgM VHA, Ag HBs, Ac HBc Ac Hbs (+/- delta), Ac VHC, IgM VHE d. Hémocultures et ECBU systématiques, radiographie thoracique e. Cholangiopancrétographie rétrograde endoscopique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En lien avec le commentaire précédent, les sérologies virales de dépistage sont incontournables, le bilan infectieux y compris la ponction d'ascite. Le bilan infectieux est négatif y compris la ponction d’ascite (150 éléments/mm3, 15 polynucléaires neutrophiles/mm3, moins de 20 g/L de protéines, différence entre la concentration sérique et ascitique de l’albumine à 15 g/L). Les sérologies virales sont négatives.Quelles sont les assertions vraies ? a. Une corticothérapie doit être systématiquement discutée chez ce patient b. La ponction biopsie hépatique n’est pas recommandée c. La décision thérapeutique est basée sur le calcul du score de Maddrey incluant les transaminases et le TP d. La réponse au traitement par corticoides peut être évaluée à J7 par le score de Lille e. Une antibiothérapie systématique doit être proposée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le diagnostic d'hépatite alcoolique aigue étant probable, il est recommandé de faire une PBH par voie transjugulaire, de calculer le score de Maddrey basé sur la bilirubine et le TP et si celui-ci est >32, proposer une corticothérapie. L'efficacité sera évaluée à 7J par le score de Lille ( reposant sur bilirubine, créatinine, albumine et TP). L'antibiothérapie ne sera proposée qu'en cas de point d'appel. Le patient bénéficie d’une corticothérapie à 40 mg/J pendant 28 jours (score de Maddrey 54) après une ponction biopsie hépatique qui confirme le diagnostic d’hépatite alcoolique aiguë sur cirrhose) avec une excellente tolérance et une évolution favorable. Le patient sort rapidement du service et refuse l’endoscopie haute qui lui est proposée. A la consultation un mois après l’arrêt des corticoïdes, il est sevré avec sur le plan clinique et biologique : assèchement de l’ascite, bilirubine à 30 micromoles/l, albumine à 30g/l et INR à 60%. Cependant, trois mois plus tard, il est hospitalisé aux urgences pour hématémèse de sang rouge, abondante. La TA est à 100/70 mm Hg, la fréquence cardiaque à 95/mn. Il a pris des anti-inflammatoires non stéroidiens pour des douleurs lombaires pendant 8 jours. L’examen abdominal retrouve une ascite de moyenne abondance. Les examens d’urgence montrent : Hb = 7.5 g/dl, GB = 12 giga/L Plaquettes = 75 Giga/L, TP 55%, Créatininémie = 43 micromoles / l, ASAT = 2 x N – ALAT = 1.5 x N, bilirubinémie = 50 micromoles / l, albumine à 25 g/L. Citer la ou les causes les plus probables dans ce contexte d’hémorragie digestive chez ce patient a. Rupture de varices oesophagiennes b. Rupture de varices gastriques c. Gastrite de Ménétrier d. Ulcère duodénal e. Angiodysplasie gastrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les causes les plus probables sont en lien avec l'hypertension portale ou la prise d'AINS. Parmi les assertions suivantes sur l’hypertension portale, laquelle ou lesquelles sont vraies ? a. L’hypertension portale peut être responsable d’un épanchement pleural droit b. La gastrite d’hypertension portale peut-être responsable d’hémorragie digestive c. L’hémorragie digestive liée à l’hypertension portale peut être un facteur de décompensation oedémato-ascitique d. Les varices oesophagiennes ou gastriques peuvent témoigner d’une hypertension portale sans cirrhose e. La prévention primaire du saignement de varices oesophagiennes repose toujours sur la ligature de ces varices A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Une hypertension portale peut survenir en l'absence de cirrhose en cas par exemple de bloc sous-hépatique (thrombose portale) ou sus-hépatique (Budd Chiari) La prévention primaire de saignement des VO repose d'abord sur les bétabloquants non cardio-sélectifs en l'absence de contre-indication. Donner la ou les assertions vraies dans la situation de notre patient a. Le premier geste à l’arrivée est l’endoscopie haute pour diagnostic et hémostase b. Le premier geste est la pose de 2 voies veineuses périphériques de bon calibre avec mise en place d'O2 c. Après groupe sanguin et RAI, des transfusions de culots globulaires iso groupe iso rhésus sont nécessaires en urgence pour maintenir l’Hb au-dessus de 10g/l. d. Dans ce contexte un traitement par somatostatine ou octréotide en perfusion continue peut être proposé mais uniquement après la réalisation de l’endoscopie haute e. L’injection de 250 mg d'érythromycine vingt à trente minutes avant l’endoscopie est utile A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement par somatostatine ou octréotide en perfusion continue doit être immédiat dès les premiers gestes réalisés (voie veineuse) sans attendre les résultats de l'endoscopie haute L'Hb doit être maintenue à 8g/dL et la TA à 8 de systolique (recommandations HAS). L’examen endoscopique montre des varices oesophagiennes de stade III hémorragiques. Donner la ou les assertions vraies a. Le traitement par octréotide mis en place est suffisant pour obtenir l’hémostase b. Les clips d’hémostase sont la référence pour contrôler le saignement c. Les ligatures élastiques des varices sont nécessaires d. Un TIPS de sauvetage est proposé en première intention compte tenu de l’importance de l’anémie e. Le TIPS n’est jamais proposé en urgence A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. HAS : En cas de récidive hémorragique malgré des traitements bien conduits ou en cas d'hémorragie massive : L’attitude dépend des constatations de l’endoscopie initiale, de la sévérité de la récidive et de la qualité du geste thérapeutique réalisé. Selon la situation hémodynamique du patient, il est recommandé de privilégier la répétition du geste thérapeutique par endoscopie. La pose d’ un TIPS peut être une alternative possible (grade B). En cas d’hémorragie massive, une sonde de tamponnement permet transitoirement d’attendre la pose d’un TIPS (grade C), plus ou moins associée à une embolisation des varices œsophagiennes, ou bien à une embolisation directe des VO. Parmi les mesures associées suivantes, la ou lesquelles apparaissent pertinentes a. une antibioprophylaxie systématique par quinolone ou amoxicilline acide clavulanique ou céphalosporine de 3ème génération b. Une prévention systématique de l’encéphalopathie hépatique par lactulose c. Un traitement béta-bloquant mis en route dans le même temps que le traitement par octréotide d. Une vitaminothérapie B1B6, PP et une prévention prudente du DT e. Une alimentation parentérale immédiate, riche en protides chez ce patient dénutri | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Indépendamment de l’origine de l’hémorragie digestive, une antibioprophylaxie est recommandée par norfloxacine per os (400 mg, 2 fois par jour pendant 7 jours) (grade A) afin de prévenir une éventuelle IL A (ou bien par ceftriaxone, amoxicilline-acide clavulanique, ofloxacine, ciprofloxacine). |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 57 | 9 | 687 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. | Mr X, 55 ans, arrive aux urgences pour l’apparition d’un ictère d’installation rapide dans un contexte fébrile à 38°5 c et d’une prise de poids avec oedèmes des membres inférieurs. Dans ses antécédents, on note un surpoids avec un IMC à 29, une HTA traitée par AA2, un diabète difficile à équilibrer, traité par hypoglycémiants oraux puis devenu rapidement insulino-nécessitant. Il est accompagné de sa femme qui déclare que son conjoint a une consommation d’alcool chronique à 100g/J. L’examen clinique montre un ictère franc, une pression artérielle à 130/70 mmHg, une fréquence cardiaque à 65/mn. L’abdomen est souple non douloureux ; on retrouve une hépatomégalie ferme avec une matité des flancs et des oedèmes modérés des membres inférieurs. Il n’y a pas d’astérixis, pas de sang au TR. Les examens d’urgence montrent : Hb =13.5 g/dl, GB = 15 giga/L Plaquettes = 90 Giga/L, TP 45%, Créatininémie = 45 micromoles / l, ASAT = 8 x N – ALAT = 5 x N, bilirubinémie = 220 micromoles / l de type mixte, albumine à 28 g/L. L’échographie faite en urgence montre un foie dysmorphique, une ascite, l’absence de dilatation des voies biliaires extra et intra-hépatiques, la vésicule est alithiasique, sa paroi discrètement épaissie. Quel est le diagnostic le plus probable ? a. Cholécystite aiguë b. Sepsis sévère avec atteinte hépatique c. Hépatite alcoolique aiguë d. Hépatite virale aiguë e. Angiocholite A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. Le patient présente une décompensation aiguë ictérique de son hépatopathie alcoolique, modérément fébrile et non douleoureuse avec insuffisance hépatocellulaire, hyperleucocytose et rapport ASAT/ALAT > 1, le tout étant compatible avec une hépatite alcoolique aigue L'épaississemnt de la paroi vésiculaire est en lien avec l'ascite. Il n'y a pas de dialatation des voies biliaires ni de lithiase ce qui écarte le diagnostic de cholécystite ou d'angiocholite. La cytolyse est compatible avec une hépatite aigue virale et les virus hépatotropes seront systématiquement recherchés Le sepsis devra également systématiquement être écarté. Mais ce ne sont pas les diagnostics les plus probables. Quels examens proposez-vous en dehors de l’échographie abdominale ? Noter les assertions vraies a. Ponction d’ascite b. Bili-IRM c. Sérologies virales IgM VHA, Ag HBs, Ac HBc Ac Hbs (+/- delta), Ac VHC, IgM VHE d. Hémocultures et ECBU systématiques, radiographie thoracique e. Cholangiopancrétographie rétrograde endoscopique A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. En lien avec le commentaire précédent, les sérologies virales de dépistage sont incontournables, le bilan infectieux y compris la ponction d'ascite. Le bilan infectieux est négatif y compris la ponction d’ascite (150 éléments/mm3, 15 polynucléaires neutrophiles/mm3, moins de 20 g/L de protéines, différence entre la concentration sérique et ascitique de l’albumine à 15 g/L). Les sérologies virales sont négatives.Quelles sont les assertions vraies ? a. Une corticothérapie doit être systématiquement discutée chez ce patient b. La ponction biopsie hépatique n’est pas recommandée c. La décision thérapeutique est basée sur le calcul du score de Maddrey incluant les transaminases et le TP d. La réponse au traitement par corticoides peut être évaluée à J7 par le score de Lille e. Une antibiothérapie systématique doit être proposée A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le diagnostic d'hépatite alcoolique aigue étant probable, il est recommandé de faire une PBH par voie transjugulaire, de calculer le score de Maddrey basé sur la bilirubine et le TP et si celui-ci est >32, proposer une corticothérapie. L'efficacité sera évaluée à 7J par le score de Lille ( reposant sur bilirubine, créatinine, albumine et TP). L'antibiothérapie ne sera proposée qu'en cas de point d'appel. Le patient bénéficie d’une corticothérapie à 40 mg/J pendant 28 jours (score de Maddrey 54) après une ponction biopsie hépatique qui confirme le diagnostic d’hépatite alcoolique aiguë sur cirrhose) avec une excellente tolérance et une évolution favorable. Le patient sort rapidement du service et refuse l’endoscopie haute qui lui est proposée. A la consultation un mois après l’arrêt des corticoïdes, il est sevré avec sur le plan clinique et biologique : assèchement de l’ascite, bilirubine à 30 micromoles/l, albumine à 30g/l et INR à 60%. Cependant, trois mois plus tard, il est hospitalisé aux urgences pour hématémèse de sang rouge, abondante. La TA est à 100/70 mm Hg, la fréquence cardiaque à 95/mn. Il a pris des anti-inflammatoires non stéroidiens pour des douleurs lombaires pendant 8 jours. L’examen abdominal retrouve une ascite de moyenne abondance. Les examens d’urgence montrent : Hb = 7.5 g/dl, GB = 12 giga/L Plaquettes = 75 Giga/L, TP 55%, Créatininémie = 43 micromoles / l, ASAT = 2 x N – ALAT = 1.5 x N, bilirubinémie = 50 micromoles / l, albumine à 25 g/L. Citer la ou les causes les plus probables dans ce contexte d’hémorragie digestive chez ce patient a. Rupture de varices oesophagiennes b. Rupture de varices gastriques c. Gastrite de Ménétrier d. Ulcère duodénal e. Angiodysplasie gastrique A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Les causes les plus probables sont en lien avec l'hypertension portale ou la prise d'AINS. Parmi les assertions suivantes sur l’hypertension portale, laquelle ou lesquelles sont vraies ? a. L’hypertension portale peut être responsable d’un épanchement pleural droit b. La gastrite d’hypertension portale peut-être responsable d’hémorragie digestive c. L’hémorragie digestive liée à l’hypertension portale peut être un facteur de décompensation oedémato-ascitique d. Les varices oesophagiennes ou gastriques peuvent témoigner d’une hypertension portale sans cirrhose e. La prévention primaire du saignement de varices oesophagiennes repose toujours sur la ligature de ces varices A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Une hypertension portale peut survenir en l'absence de cirrhose en cas par exemple de bloc sous-hépatique (thrombose portale) ou sus-hépatique (Budd Chiari) La prévention primaire de saignement des VO repose d'abord sur les bétabloquants non cardio-sélectifs en l'absence de contre-indication. Donner la ou les assertions vraies dans la situation de notre patient a. Le premier geste à l’arrivée est l’endoscopie haute pour diagnostic et hémostase b. Le premier geste est la pose de 2 voies veineuses périphériques de bon calibre avec mise en place d'O2 c. Après groupe sanguin et RAI, des transfusions de culots globulaires iso groupe iso rhésus sont nécessaires en urgence pour maintenir l’Hb au-dessus de 10g/l. d. Dans ce contexte un traitement par somatostatine ou octréotide en perfusion continue peut être proposé mais uniquement après la réalisation de l’endoscopie haute e. L’injection de 250 mg d'érythromycine vingt à trente minutes avant l’endoscopie est utile A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Le traitement par somatostatine ou octréotide en perfusion continue doit être immédiat dès les premiers gestes réalisés (voie veineuse) sans attendre les résultats de l'endoscopie haute L'Hb doit être maintenue à 8g/dL et la TA à 8 de systolique (recommandations HAS). L’examen endoscopique montre des varices oesophagiennes de stade III hémorragiques. Donner la ou les assertions vraies a. Le traitement par octréotide mis en place est suffisant pour obtenir l’hémostase b. Les clips d’hémostase sont la référence pour contrôler le saignement c. Les ligatures élastiques des varices sont nécessaires d. Un TIPS de sauvetage est proposé en première intention compte tenu de l’importance de l’anémie e. Le TIPS n’est jamais proposé en urgence A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix incorrect et inacceptable. HAS : En cas de récidive hémorragique malgré des traitements bien conduits ou en cas d'hémorragie massive : L’attitude dépend des constatations de l’endoscopie initiale, de la sévérité de la récidive et de la qualité du geste thérapeutique réalisé. Selon la situation hémodynamique du patient, il est recommandé de privilégier la répétition du geste thérapeutique par endoscopie. La pose d’ un TIPS peut être une alternative possible (grade B). En cas d’hémorragie massive, une sonde de tamponnement permet transitoirement d’attendre la pose d’un TIPS (grade C), plus ou moins associée à une embolisation des varices œsophagiennes, ou bien à une embolisation directe des VO. Parmi les mesures associées suivantes, la ou lesquelles apparaissent pertinentes a. une antibioprophylaxie systématique par quinolone ou amoxicilline acide clavulanique ou céphalosporine de 3ème génération b. Une prévention systématique de l’encéphalopathie hépatique par lactulose c. Un traitement béta-bloquant mis en route dans le même temps que le traitement par octréotide d. Une vitaminothérapie B1B6, PP et une prévention prudente du DT e. Une alimentation parentérale immédiate, riche en protides chez ce patient dénutri A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Indépendamment de l’origine de l’hémorragie digestive, une antibioprophylaxie est recommandée par norfloxacine per os (400 mg, 2 fois par jour pendant 7 jours) (grade A) afin de prévenir une éventuelle IL A (ou bien par ceftriaxone, amoxicilline-acide clavulanique, ofloxacine, ciprofloxacine). Après ligature des varices, le saignement aigu est contrôlé, l’ascite asséchée. Le patient est mis sous béta-bloquants en prévention secondaire. Il reste sevré depuis plus de six mois de toute prise d’alcool. Son médecin traitant qui craint un saignement chronique dans le cadre de l’hypertension portale contrôle sa ferritine qui revient à 3600 ng/ml. Le patient a une cytolyse mineure à 1,5N, une gamma GT à 5N, une bilirubine totale à 36 micromoles/l, une albumine à 29g /l, un TP à 59%, la CRP est normale, l’Hb à 13 g/dL avec des réticulocytes à 50 giga/l. Donner la ou les assertions vraies a. La prise d’alcool ancienne et la cirrhose expliquent l’hyperferritinémie b. Un taux aussi élevé de ferritine est en lien probable avec un syndrome paranéoplasique, par exemple un carcinome hépatocellulaire c. L’alcool associée au syndrome métabolique (IMC 29, HTA, Diabète) sont très probablement responsables de cette hyperferritinémie d. Les transfusions sanguines consécutives à l’hémorragie digestive sont très probablement responsables de cette hyperferritinémie e. La mesure du coefficient de saturation de la transferrine est un préalable à toute discussion étiologique | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Un taux aussi élevé de ferritine ne peut s'expliquer par l'alcool le syndrome métabolique et la cirrhose même associés En l'absence de signes cliniques le premier geste est l'évaluation de la saturation de la transferrine Si celle-ci est élevée >45%, il faut rechercher une surcharge en fer d'origine génétique et en premier lieu HFE1 Si celle-ci est basse < 45%, une mutation du gène de la L ferritine sera évoquée Les ferritines paranéoplasiques ou accompagnant certaines affections systémiques comme la maladie de Still sont en général symptomatiques. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 58 | 1 | 694 | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Mercredi, 3h50 du matin, vous recevez aux urgences M. Douglas C., 46 ans, conseiller financier. Ce patient, fumeur occasionnel, ne prend aucun médicament. Il n’a pas d’allergie, ni d’antécédent chirurgical. Il présente depuis l'âge de 15 ans des migraines avec auras ophtalmiques, 1 crise par mois déclenchée par le stress et le chocolat, sans traitement de fond. On note également un eczéma atopique sans autre antécédent médical. Son épouse vous explique qu’il a présenté des céphalées d’apparition brutale et un épisode de vomissements au cours d’un rapport sexuel 2 heures auparavant. Ceci l'a amené à prendre 1 gramme d'aspirine, sans effet. Lorsque vous vous approchez de Douglas, vous le trouvez prostré. Il ouvre les yeux lorsque vous criez son prénom, serre vos mains sur demande et répond brièvement à vos questions. Il pense être à la gare de votre ville et ne se souvient plus de la date. Vous constatez une déviation de la bouche du coté droit, la persistance des céphalées, des pertes de contact brèves mais récurrentes et une raideur de nuque. L'auscultation est normale, les pouls sont perçus. L'abdomen est souple, le patient est nauséeux. La température est à 37,5°C. La FC est à 100 bpm, la tension artérielle à 168/103 mmHg. Quel diagnostic simple doit être évoqué systématiquement devant tout trouble neurologique aigu ? a. Hypoglycémie b. Migraine avec aura c. Méningite aiguë d. Accident vasculaire cérébral e. Sclérose en plaques | A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. C'est quasiment sans commentaire. L'hypoglycémie peut se manisfester n'importe comment. À l'inverse, l'hyperglycémie est un des éléments des ACSOS. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 58 | 2 | 695 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Mercredi, 3h50 du matin, vous recevez aux urgences M. Douglas C., 46 ans, conseiller financier. Ce patient, fumeur occasionnel, ne prend aucun médicament. Il n’a pas d’allergie, ni d’antécédent chirurgical. Il présente depuis l'âge de 15 ans des migraines avec auras ophtalmiques, 1 crise par mois déclenchée par le stress et le chocolat, sans traitement de fond. On note également un eczéma atopique sans autre antécédent médical. Son épouse vous explique qu’il a présenté des céphalées d’apparition brutale et un épisode de vomissements au cours d’un rapport sexuel 2 heures auparavant. Ceci l'a amené à prendre 1 gramme d'aspirine, sans effet. Lorsque vous vous approchez de Douglas, vous le trouvez prostré. Il ouvre les yeux lorsque vous criez son prénom, serre vos mains sur demande et répond brièvement à vos questions. Il pense être à la gare de votre ville et ne se souvient plus de la date. Vous constatez une déviation de la bouche du coté droit, la persistance des céphalées, des pertes de contact brèves mais récurrentes et une raideur de nuque. L'auscultation est normale, les pouls sont perçus. L'abdomen est souple, le patient est nauséeux. La température est à 37,5°C. La FC est à 100 bpm, la tension artérielle à 168/103 mmHg. Quel diagnostic simple doit être évoqué systématiquement devant tout trouble neurologique aigu ? a. Hypoglycémie b. Migraine avec aura c. Méningite aiguë d. Accident vasculaire cérébral e. Sclérose en plaques A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. C'est quasiment sans commentaire. L'hypoglycémie peut se manisfester n'importe comment. À l'inverse, l'hyperglycémie est un des éléments des ACSOS. La glycémie capillaire de Douglas est de 5 mmol.L-1 Quel est selon vous dans ce contexte et avec la symptomatologie, le diagnostic à évoquer ? a. Méningite bactérienne b. Crise de migraine c. Hémorragie méningée d. Hématome sous-dural e. Tumeur cérébrale | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Céphalée brutale, inhabituelle chez le migraineux, il faut penser hémorragie sous arachnoïdienne par rupture anévrysmale en priorité. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 58 | 3 | 696 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Mercredi, 3h50 du matin, vous recevez aux urgences M. Douglas C., 46 ans, conseiller financier. Ce patient, fumeur occasionnel, ne prend aucun médicament. Il n’a pas d’allergie, ni d’antécédent chirurgical. Il présente depuis l'âge de 15 ans des migraines avec auras ophtalmiques, 1 crise par mois déclenchée par le stress et le chocolat, sans traitement de fond. On note également un eczéma atopique sans autre antécédent médical. Son épouse vous explique qu’il a présenté des céphalées d’apparition brutale et un épisode de vomissements au cours d’un rapport sexuel 2 heures auparavant. Ceci l'a amené à prendre 1 gramme d'aspirine, sans effet. Lorsque vous vous approchez de Douglas, vous le trouvez prostré. Il ouvre les yeux lorsque vous criez son prénom, serre vos mains sur demande et répond brièvement à vos questions. Il pense être à la gare de votre ville et ne se souvient plus de la date. Vous constatez une déviation de la bouche du coté droit, la persistance des céphalées, des pertes de contact brèves mais récurrentes et une raideur de nuque. L'auscultation est normale, les pouls sont perçus. L'abdomen est souple, le patient est nauséeux. La température est à 37,5°C. La FC est à 100 bpm, la tension artérielle à 168/103 mmHg. Quel diagnostic simple doit être évoqué systématiquement devant tout trouble neurologique aigu ? a. Hypoglycémie b. Migraine avec aura c. Méningite aiguë d. Accident vasculaire cérébral e. Sclérose en plaques A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. C'est quasiment sans commentaire. L'hypoglycémie peut se manisfester n'importe comment. À l'inverse, l'hyperglycémie est un des éléments des ACSOS. La glycémie capillaire de Douglas est de 5 mmol.L-1 Quel est selon vous dans ce contexte et avec la symptomatologie, le diagnostic à évoquer ? a. Méningite bactérienne b. Crise de migraine c. Hémorragie méningée d. Hématome sous-dural e. Tumeur cérébrale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Céphalée brutale, inhabituelle chez le migraineux, il faut penser hémorragie sous arachnoïdienne par rupture anévrysmale en priorité. Quelle est la valeur du score de Glasgow ? a. 15 b. 14 c. 13 d. 12 e. 10 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Yeux = 3, Verbal = 4, Moteur = 6 : total 13. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 58 | 4 | 697 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Mercredi, 3h50 du matin, vous recevez aux urgences M. Douglas C., 46 ans, conseiller financier. Ce patient, fumeur occasionnel, ne prend aucun médicament. Il n’a pas d’allergie, ni d’antécédent chirurgical. Il présente depuis l'âge de 15 ans des migraines avec auras ophtalmiques, 1 crise par mois déclenchée par le stress et le chocolat, sans traitement de fond. On note également un eczéma atopique sans autre antécédent médical. Son épouse vous explique qu’il a présenté des céphalées d’apparition brutale et un épisode de vomissements au cours d’un rapport sexuel 2 heures auparavant. Ceci l'a amené à prendre 1 gramme d'aspirine, sans effet. Lorsque vous vous approchez de Douglas, vous le trouvez prostré. Il ouvre les yeux lorsque vous criez son prénom, serre vos mains sur demande et répond brièvement à vos questions. Il pense être à la gare de votre ville et ne se souvient plus de la date. Vous constatez une déviation de la bouche du coté droit, la persistance des céphalées, des pertes de contact brèves mais récurrentes et une raideur de nuque. L'auscultation est normale, les pouls sont perçus. L'abdomen est souple, le patient est nauséeux. La température est à 37,5°C. La FC est à 100 bpm, la tension artérielle à 168/103 mmHg. Quel diagnostic simple doit être évoqué systématiquement devant tout trouble neurologique aigu ? a. Hypoglycémie b. Migraine avec aura c. Méningite aiguë d. Accident vasculaire cérébral e. Sclérose en plaques A: Choix correct et indispensable, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. C'est quasiment sans commentaire. L'hypoglycémie peut se manisfester n'importe comment. À l'inverse, l'hyperglycémie est un des éléments des ACSOS. La glycémie capillaire de Douglas est de 5 mmol.L-1 Quel est selon vous dans ce contexte et avec la symptomatologie, le diagnostic à évoquer ? a. Méningite bactérienne b. Crise de migraine c. Hémorragie méningée d. Hématome sous-dural e. Tumeur cérébrale A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Céphalée brutale, inhabituelle chez le migraineux, il faut penser hémorragie sous arachnoïdienne par rupture anévrysmale en priorité. Quelle est la valeur du score de Glasgow ? a. 15 b. 14 c. 13 d. 12 e. 10 A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct et indispensable, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Yeux = 3, Verbal = 4, Moteur = 6 : total 13. Quel(s) examen(s) demandez-vous en priorité ? a. Ponction lombaire b. Angio-scanner cérébral c. Echographie-Doppler trans-crânien d. Angiographie cérébrale e. Echographie-Doppler des troncs supra aortiques | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Le scanner simple va authentifier l'hémorragie sous-arachnoïdienne. L'angioscanner est susceptible de visualiser l'anévrysme (ou les anévrysmes rompus ou multiples). Ceci est souvent bien vu sur les reconstructions de la circulation intra-cérébrale. Elle guide rapidement le neuroradiologue pour l'embolisation. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 59 | 1 | 699 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Monsieur D, 72 ans, est adressé aux urgences en raison de l’apparition brutale d’un vertige, de troubles de l’équilibre et d’une hypoesthésie de l’hémicorps droit. Ce patient a pour antécédents une HTA, un diabète de type 2 non insulinodépendant, une cholécystectomie il y a 2 ans. A l’arrivée aux urgences, les constantes sont les suivantes : TA = 140/90 mmHg, poids : 70kg pour 175cm, température : 37,2 °C. La vigilance est normale. Quel examen réalisez-vous immédiatement ? (une seule réponse juste) a. angioscanner cérébral b. glycémie capillaire VRAI chez ce patient diabétique qui présente des signes neurologiques aigus et notamment des vertiges, il faut éliminer en premier une hypoglycémie qui amènerait à réaliser un resucrage urgent. c. angioRM cérébrale d. IRM cérébrale e. scanner cérébral sans injection | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 59 | 2 | 700 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Monsieur D, 72 ans, est adressé aux urgences en raison de l’apparition brutale d’un vertige, de troubles de l’équilibre et d’une hypoesthésie de l’hémicorps droit. Ce patient a pour antécédents une HTA, un diabète de type 2 non insulinodépendant, une cholécystectomie il y a 2 ans. A l’arrivée aux urgences, les constantes sont les suivantes : TA = 140/90 mmHg, poids : 70kg pour 175cm, température : 37,2 °C. La vigilance est normale. Quel examen réalisez-vous immédiatement ? (une seule réponse juste) a. angioscanner cérébral b. glycémie capillaire VRAI chez ce patient diabétique qui présente des signes neurologiques aigus et notamment des vertiges, il faut éliminer en premier une hypoglycémie qui amènerait à réaliser un resucrage urgent. c. angioRM cérébrale d. IRM cérébrale e. scanner cérébral sans injection A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. Concernant le score de Glasgow chez ce patient, quelle(s) est (sont) la (les) réponse(s) juste(s)? a. le patient a un score à 0 (réponses oculaire 0, verbale 0 et motrice 0) le Glasgow à 0 n'existe pas b. le patient a un score à 3 (réponses oculaire 1, verbale 1 et motrice 1) il serait alors en coma aréactif c. le patient a une réponse oculaire à 4 oui, ouverture spontanée des yeux (Y4/4) d. le patient a une réponse verbale à 4 non, il a une réponse verbale maximale, orientée (V5/5) e. le patient a une réponse motrice à 6 vrai, si la vigilance est normale, il se mobilise sur ordre, à la demande | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Si la vigilance est normale, son GCS est à 15, Y4/4, V5/5 et M 6/6. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 1 | 702 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 | A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 2 | 703 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 3 | 704 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 4 | 705 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 5 | 706 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 6 | 707 | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie | A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 7 | 708 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 8 | 709 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'hypoventilation alvéolaire constatée chez Mme B. peut être expliquée par a. Une bronchopneumopathie chronique décompensée b. Un oedème pulmonaire cardiogénique c. Le diabète non équilibré d. La fibrillation auriculaire e. La cyphoscoliose | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 9 | 710 | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'hypoventilation alvéolaire constatée chez Mme B. peut être expliquée par a. Une bronchopneumopathie chronique décompensée b. Un oedème pulmonaire cardiogénique c. Le diabète non équilibré d. La fibrillation auriculaire e. La cyphoscoliose A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les traitements de Mme B., quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peut(vent) induire une élévation des bicarbonates plasmatiques ? a. Le traitement bronchodilatateur b. Le traitement par metformine c. Le taritement par amiodarone d. Le traitement bronchodilatateur e. Le traitement par furosémide | A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 10 | 711 | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'hypoventilation alvéolaire constatée chez Mme B. peut être expliquée par a. Une bronchopneumopathie chronique décompensée b. Un oedème pulmonaire cardiogénique c. Le diabète non équilibré d. La fibrillation auriculaire e. La cyphoscoliose A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les traitements de Mme B., quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peut(vent) induire une élévation des bicarbonates plasmatiques ? a. Le traitement bronchodilatateur b. Le traitement par metformine c. Le taritement par amiodarone d. Le traitement bronchodilatateur e. Le traitement par furosémide A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le diagnostic retenu est celui d'une décompensation d'insuffisance respiratoire chronique à la faveur d'une poussée d'insuffisance cardiaque sur une myocardiopathie avec altération de fonction systolique (FEVG 25%). La prise en charge thérapeutique pour améliorer la ventilation alvéolaire est discutée. Parmi les propositions suivantes quelles sont celles qui sont vraies ? a. Une oxygénothérapie par voie nasale à haut débit est suffisante b. La ventilation non invasive est contre indiquée chez l'octogénaire c. La ventilation non invasive est contre-indiquée en cas d'hypoventilation alvéolaire d. La pression positive diminue la pression transmurale ventriculaire gauche e. La ventilation non invasive est une technique de ventilation à fuites | A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 11 | 712 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'hypoventilation alvéolaire constatée chez Mme B. peut être expliquée par a. Une bronchopneumopathie chronique décompensée b. Un oedème pulmonaire cardiogénique c. Le diabète non équilibré d. La fibrillation auriculaire e. La cyphoscoliose A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les traitements de Mme B., quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peut(vent) induire une élévation des bicarbonates plasmatiques ? a. Le traitement bronchodilatateur b. Le traitement par metformine c. Le taritement par amiodarone d. Le traitement bronchodilatateur e. Le traitement par furosémide A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le diagnostic retenu est celui d'une décompensation d'insuffisance respiratoire chronique à la faveur d'une poussée d'insuffisance cardiaque sur une myocardiopathie avec altération de fonction systolique (FEVG 25%). La prise en charge thérapeutique pour améliorer la ventilation alvéolaire est discutée. Parmi les propositions suivantes quelles sont celles qui sont vraies ? a. Une oxygénothérapie par voie nasale à haut débit est suffisante b. La ventilation non invasive est contre indiquée chez l'octogénaire c. La ventilation non invasive est contre-indiquée en cas d'hypoventilation alvéolaire d. La pression positive diminue la pression transmurale ventriculaire gauche e. La ventilation non invasive est une technique de ventilation à fuites A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le biologiste vous communique un taux élevé de NT pro-BNP à l'admission de la patiente. Quelles sont les conditions physiopathologiques de Mme B. qui permettent d'expliquer cette valeur ? a. Insuffisance cardiaque gauche b. Diabète c. Insuffisance cardiaque droite d. Insuffisance respiratoire chronique e. Insuffisance respiratoire aigue | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 12 | 713 | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'hypoventilation alvéolaire constatée chez Mme B. peut être expliquée par a. Une bronchopneumopathie chronique décompensée b. Un oedème pulmonaire cardiogénique c. Le diabète non équilibré d. La fibrillation auriculaire e. La cyphoscoliose A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les traitements de Mme B., quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peut(vent) induire une élévation des bicarbonates plasmatiques ? a. Le traitement bronchodilatateur b. Le traitement par metformine c. Le taritement par amiodarone d. Le traitement bronchodilatateur e. Le traitement par furosémide A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le diagnostic retenu est celui d'une décompensation d'insuffisance respiratoire chronique à la faveur d'une poussée d'insuffisance cardiaque sur une myocardiopathie avec altération de fonction systolique (FEVG 25%). La prise en charge thérapeutique pour améliorer la ventilation alvéolaire est discutée. Parmi les propositions suivantes quelles sont celles qui sont vraies ? a. Une oxygénothérapie par voie nasale à haut débit est suffisante b. La ventilation non invasive est contre indiquée chez l'octogénaire c. La ventilation non invasive est contre-indiquée en cas d'hypoventilation alvéolaire d. La pression positive diminue la pression transmurale ventriculaire gauche e. La ventilation non invasive est une technique de ventilation à fuites A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le biologiste vous communique un taux élevé de NT pro-BNP à l'admission de la patiente. Quelles sont les conditions physiopathologiques de Mme B. qui permettent d'expliquer cette valeur ? a. Insuffisance cardiaque gauche b. Diabète c. Insuffisance cardiaque droite d. Insuffisance respiratoire chronique e. Insuffisance respiratoire aigue A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'état clinique de la patiente s'améliore sous ventilation non invasive avec réveil progressif, amélioration de l'hématose et normalisation des chiffres tensionnels. Un traitement par dobutamine a été introduit sur les données hémodynamiques. La dobutamine possède les caractéristiques suivantes : a. Inotrope positif b. Inotrope négatif c. Chronotrope négatif d. Chronotrope positif e. Bathmotrope négatif | A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 13 | 714 | null | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'hypoventilation alvéolaire constatée chez Mme B. peut être expliquée par a. Une bronchopneumopathie chronique décompensée b. Un oedème pulmonaire cardiogénique c. Le diabète non équilibré d. La fibrillation auriculaire e. La cyphoscoliose A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les traitements de Mme B., quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peut(vent) induire une élévation des bicarbonates plasmatiques ? a. Le traitement bronchodilatateur b. Le traitement par metformine c. Le taritement par amiodarone d. Le traitement bronchodilatateur e. Le traitement par furosémide A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le diagnostic retenu est celui d'une décompensation d'insuffisance respiratoire chronique à la faveur d'une poussée d'insuffisance cardiaque sur une myocardiopathie avec altération de fonction systolique (FEVG 25%). La prise en charge thérapeutique pour améliorer la ventilation alvéolaire est discutée. Parmi les propositions suivantes quelles sont celles qui sont vraies ? a. Une oxygénothérapie par voie nasale à haut débit est suffisante b. La ventilation non invasive est contre indiquée chez l'octogénaire c. La ventilation non invasive est contre-indiquée en cas d'hypoventilation alvéolaire d. La pression positive diminue la pression transmurale ventriculaire gauche e. La ventilation non invasive est une technique de ventilation à fuites A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le biologiste vous communique un taux élevé de NT pro-BNP à l'admission de la patiente. Quelles sont les conditions physiopathologiques de Mme B. qui permettent d'expliquer cette valeur ? a. Insuffisance cardiaque gauche b. Diabète c. Insuffisance cardiaque droite d. Insuffisance respiratoire chronique e. Insuffisance respiratoire aigue A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'état clinique de la patiente s'améliore sous ventilation non invasive avec réveil progressif, amélioration de l'hématose et normalisation des chiffres tensionnels. Un traitement par dobutamine a été introduit sur les données hémodynamiques. La dobutamine possède les caractéristiques suivantes : a. Inotrope positif b. Inotrope négatif c. Chronotrope négatif d. Chronotrope positif e. Bathmotrope négatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. A J5 Mme B. présente un choc hémorragique avec déglobulisation à 55 g/l alors qu'elle se trouve sous héparine non fractionnée au pousse seringue. Quel est le nom du produit qui permet d'antagoniser l'héparine non fractionnée ?. | protamine, sel de protamine, sulfate de protamine, Protamine, SULFATE DE PROTAMINE, Sulfate de protamine,. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 14 | 715 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'hypoventilation alvéolaire constatée chez Mme B. peut être expliquée par a. Une bronchopneumopathie chronique décompensée b. Un oedème pulmonaire cardiogénique c. Le diabète non équilibré d. La fibrillation auriculaire e. La cyphoscoliose A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les traitements de Mme B., quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peut(vent) induire une élévation des bicarbonates plasmatiques ? a. Le traitement bronchodilatateur b. Le traitement par metformine c. Le taritement par amiodarone d. Le traitement bronchodilatateur e. Le traitement par furosémide A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le diagnostic retenu est celui d'une décompensation d'insuffisance respiratoire chronique à la faveur d'une poussée d'insuffisance cardiaque sur une myocardiopathie avec altération de fonction systolique (FEVG 25%). La prise en charge thérapeutique pour améliorer la ventilation alvéolaire est discutée. Parmi les propositions suivantes quelles sont celles qui sont vraies ? a. Une oxygénothérapie par voie nasale à haut débit est suffisante b. La ventilation non invasive est contre indiquée chez l'octogénaire c. La ventilation non invasive est contre-indiquée en cas d'hypoventilation alvéolaire d. La pression positive diminue la pression transmurale ventriculaire gauche e. La ventilation non invasive est une technique de ventilation à fuites A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le biologiste vous communique un taux élevé de NT pro-BNP à l'admission de la patiente. Quelles sont les conditions physiopathologiques de Mme B. qui permettent d'expliquer cette valeur ? a. Insuffisance cardiaque gauche b. Diabète c. Insuffisance cardiaque droite d. Insuffisance respiratoire chronique e. Insuffisance respiratoire aigue A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'état clinique de la patiente s'améliore sous ventilation non invasive avec réveil progressif, amélioration de l'hématose et normalisation des chiffres tensionnels. Un traitement par dobutamine a été introduit sur les données hémodynamiques. La dobutamine possède les caractéristiques suivantes : a. Inotrope positif b. Inotrope négatif c. Chronotrope négatif d. Chronotrope positif e. Bathmotrope négatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. A J5 Mme B. présente un choc hémorragique avec déglobulisation à 55 g/l alors qu'elle se trouve sous héparine non fractionnée au pousse seringue. Quel est le nom du produit qui permet d'antagoniser l'héparine non fractionnée ?. protamine, sel de protamine, sulfate de protamine, Protamine, SULFATE DE PROTAMINE, Sulfate de protamine,. Après antagonisation et transfusion, l'évolution est favorable. Le traitement anticoagulant est relayé par dabigatran. A J15 Mme B. est sortante pour un retour à domicile avec ventilation non invasive discontinue et oxygénothrapie 24/24h. Quels sont les autres traitements que vous reconduisez ? a. Amiodarone b. Salbutamol c. Metformine d. Furosémide e. Budésonide | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. |
Anesthésiologie - Réanimation - Urgences | 60 | 15 | 716 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. | Madame B., 87 ans, est prise en charge à son domicile suite à une ouverture de porte. Elle est transférée aux urgences par les pompiers. A l'examen clinique d'admission, la patiente ne répond pas à l'appel de son nom; ses yeux sont clos avec pupilles réactives et symétriques de taille normale. Il existe une réaction d'évitement lors de la stimulation douloureuse sans focalisation. La fréquence respiratoire est à 30/min, la pression artérielle à 200/120 mmHg avec fréquence cardiaque à 100/min, la température tympanique à 38°C. La SpO2 est à 88% sous 9 l d'oxygène. On note des jugulaires spontanément turgescentes, une hépatomégalie avec reflux hépato-jugulaire des odèmes des membres inférieurs bilatéraux et prenant le godet, une auscultation cardiaque irrégulière, des sibilants et crépitants bilatéraux dans les 2 champs pulmonaires jusqu'à mi-champs. Il existe aussi une déformation thoracique avec cyphoscoliose importante. Le reste de l'examen est sans particularité. Calculer le score de Glasgow de la patiente a. 3 b. 6 c. 9 d. 12 e. 15 A: Choix incorrect, B: Choix correct et indispensable, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix incorrect. pas d'ouverture des yeux :1 pas de réponse verbale : 1 reaction d'évitement : 4. Le score de Glasgow de la patiente est côté à 6. L'interrogatoire de l'entourage rapporte un malaise avec notion de chute la veille et permet de préciser les antécédents médicaux suivants : tabagisme à 60 paquets/année sevré depuis vingt ans, pathologie respiratoire avec suivi spécialisé depuis de nombreuses années, diabète non insulino-dépendant, fibrillation auriculaire et insuffisance cardiaque. Le traitement ambulatoire comporte furosémide, amiodarone, metformine, bronchodilataeurs inhalés et oxygénothérapie continue 24h/24h à raison de 3 l/min. Quelles sont les hypothèses diagnostiques plausibles permettant d'expliquer les troubles de consience à l'admission de Mme B. ? a. Accident vasculaire cérébral b. Décompensation diabétique c. Insuffisance respiratoire décompensée d. Hypoglycémie e. Encéphalopathie hypertensive A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. Les résultats biologiques suivants sont disponibles rapidement à l'admission : Glycémie capillaire : 10 mmol/l Gazométrie artérielle réalisée sous 02 4 l/min PaO2: 52 mmHg; PaCO2: 86 mmHg; pH 7,32; Bicarbonates 43 mmol/l; SaO2 : 86% Lactate : 1,2 mmol/l Natrémie : 140 mmol/l Kaliémie : 4 mmol/l Interprétez la gazométrie artérielle : a. Acidose lactique b. Acidose métabolique c. Hypoventilation alvéolaire d. Acidose respiratoire e. Alcalose ventilatoire A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi ces résultats biologiques disponibles à l'admission, quelles sont ceux qui peuvent expliquer les troubles de conscience ? a. PaO2 à 52 mmHg b. PH à 7,32 c. Lactate plasmatique à 1,2 mmol/l d. PaCO2 à 86 mmol/l e. Natrémie à 140 mmol/l A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Parmi les signes cliniques de la patiente, quels sont ceux pouvant être en lien avec la PaCO2 de 86 mmHg ? a. Fréquence cardiaque à 100/min b. Oedèmes c. PA à 200/120 mmHg d. Coma e. SpO2 à 86% A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. Quels sont les signes cliniques orientant vers une insuffisance cardiaque droite ? a. Sibilants b. Reflux hépato-jugulaire c. Crépitants d. Oedèmes périphériques e. Hépatomégalie A: Choix incorrect, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Quels sont les signes cliniques en faveur d'une insuffisance cardiaque gauche ? a. Crépitants b. Odèmes périphériques c. Hépatomégalie d. Sibilants e. Turgescence jugulaire A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. L'hypoventilation alvéolaire constatée chez Mme B. peut être expliquée par a. Une bronchopneumopathie chronique décompensée b. Un oedème pulmonaire cardiogénique c. Le diabète non équilibré d. La fibrillation auriculaire e. La cyphoscoliose A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix incorrect, E: Choix correct. Parmi les traitements de Mme B., quel(s) est(sont) celui(ceux) qui peut(vent) induire une élévation des bicarbonates plasmatiques ? a. Le traitement bronchodilatateur b. Le traitement par metformine c. Le taritement par amiodarone d. Le traitement bronchodilatateur e. Le traitement par furosémide A: Choix incorrect et inacceptable, B: Choix incorrect et inacceptable, C: Choix incorrect et inacceptable, D: Choix incorrect et inacceptable, E: Choix correct et indispensable. Le diagnostic retenu est celui d'une décompensation d'insuffisance respiratoire chronique à la faveur d'une poussée d'insuffisance cardiaque sur une myocardiopathie avec altération de fonction systolique (FEVG 25%). La prise en charge thérapeutique pour améliorer la ventilation alvéolaire est discutée. Parmi les propositions suivantes quelles sont celles qui sont vraies ? a. Une oxygénothérapie par voie nasale à haut débit est suffisante b. La ventilation non invasive est contre indiquée chez l'octogénaire c. La ventilation non invasive est contre-indiquée en cas d'hypoventilation alvéolaire d. La pression positive diminue la pression transmurale ventriculaire gauche e. La ventilation non invasive est une technique de ventilation à fuites A: Choix incorrect, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Le biologiste vous communique un taux élevé de NT pro-BNP à l'admission de la patiente. Quelles sont les conditions physiopathologiques de Mme B. qui permettent d'expliquer cette valeur ? a. Insuffisance cardiaque gauche b. Diabète c. Insuffisance cardiaque droite d. Insuffisance respiratoire chronique e. Insuffisance respiratoire aigue A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix correct. L'état clinique de la patiente s'améliore sous ventilation non invasive avec réveil progressif, amélioration de l'hématose et normalisation des chiffres tensionnels. Un traitement par dobutamine a été introduit sur les données hémodynamiques. La dobutamine possède les caractéristiques suivantes : a. Inotrope positif b. Inotrope négatif c. Chronotrope négatif d. Chronotrope positif e. Bathmotrope négatif A: Choix correct, B: Choix incorrect, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix incorrect. A J5 Mme B. présente un choc hémorragique avec déglobulisation à 55 g/l alors qu'elle se trouve sous héparine non fractionnée au pousse seringue. Quel est le nom du produit qui permet d'antagoniser l'héparine non fractionnée ?. protamine, sel de protamine, sulfate de protamine, Protamine, SULFATE DE PROTAMINE, Sulfate de protamine,. Après antagonisation et transfusion, l'évolution est favorable. Le traitement anticoagulant est relayé par dabigatran. A J15 Mme B. est sortante pour un retour à domicile avec ventilation non invasive discontinue et oxygénothrapie 24/24h. Quels sont les autres traitements que vous reconduisez ? a. Amiodarone b. Salbutamol c. Metformine d. Furosémide e. Budésonide A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix incorrect, D: Choix correct, E: Choix correct. Mme B. est réadmise 3 semaines après sa sortie pour nouvelle décompensation respiratoire. La perte d'autonomie est manifeste. Le diagnostic est celui d'un sepsis sévère sur pneumopathie droite extensive très hypoxémiante pour lequel le traitement médical optimisé est en échec. La patiente n'est pas en état d'exprimer ses attentes. Le niveau de prise en charge est discuté. a. Une escalade thérapeutique est discutable b. Les préférences de la patiente doivent être recherchées c. Un prise en charge de confort est souhaitable d. La personne de confiance doit être informée e. L'intubation oro-trachéale ne se discute pas 0 0 | A: Choix correct, B: Choix correct, C: Choix correct, D: Choix correct, E: Choix incorrect. |